mardi 30 avril 2013

La claque! photos et vidéo d'humour Guy Montagné




J’ai enfin mis le doigt sur le pourquoi de ma colère de ces derniers jours et du manque total de motivation à assumer le quotidien. Une lectrice me l'avait d'ailleurs suggéré. Je mettais évidemment ça sur le dos du temps extérieur ! Il est vrai que ça n’aide pas de se trouver enfermé à cause de la pluie mais ça ne m’a pas empêché de sortir, à d’autres périodes de ma vie.
Ce sont tout naturellement les conséquences de ma consommation d’herbe. Quelle conne ! J’ai pourtant déjà noté, les effets négatifs et secondaires de ce produit qui est vraiment un piège. Le fait de me rendre compte de la connerie que j’ai faite, a amplifié la culpabilité, les émotions négatives que j’ai déjà du mal à lâcher. Pas la culpabilité vis à vis d'un dieu extérieur ni même vis à vis de mon âme non, vis à vis de ma personnalité humaine, de mon désir de m'aimer et de me respecter.

Nouveau scénario, nouvelle vie et vidéo du livre audio: "les 4 accords toltèques" de Don Miguel Ruiz.




Ce matin, plus que jamais, je suis décidée à aller à l’essentiel. J’ai écouté les 4 accords Toltèques dans la continuation du "travail" que je me suis proposée de faire. A savoir libérer les anciens schémas en totalité et connaissant la puissance de la parole tout comme quelques unes de mes vies passées, les serments contractés lors de nombreuses vies. Notamment et non des moindres, celui de « payer » pour mes erreurs. Il semble que j’ai nourri trop longtemps, une fausse idée à propos du karma.
Ce n’est pas une punition, ce sont des choix de vie afin de comprendre dans la chair la conséquence de tout acte. Une fois que la "leçon" est comprise, intégrée, il est inutile de continuer de se punir, de rester dans la position de victime. Il est clair que ce qui suit, s'adresse aux parts endormies, non éclairées de ma personnalité.
J’ai voulu connaître des aspects passés de ma personne afin de mieux comprendre ce que je vis aujourd’hui et de guérir en profondeur.  Maintenant que je sais où ça bloquait, je choisi de changer le scénario de cette vie. Je considère que ce que je devais apprendre par le ressenti est totalement intégré. (le rôle de la victime)
Je décide de passer à l’action en changeant le scénario de ma vie. 
Comme je me plais à faire du sur-mesure, en être conscient de son pouvoir créateur et du caractère unique de qui je suis, je me propose d’intégrer ces nouveaux accords dans ma vie de tous les jours.

lundi 29 avril 2013

« A la découverte de vos vies antérieures » de Denise Linn



Alex Fitch


Comme je me suis proposé de partager ici, une grande part de mon expérience terrestre, pour ne pas dire la totalité, je tiens à publier la seconde vidéo du livre audio que j’ai utilisé cette semaine et que je continue d'écouter. Une fois de plus, il est clair que ce qu’elle contient ne s’adresse pas à l’intellect et son usage nécessite votre discernement.
Je voudrais aussi vous dire de ne pas vous décourager et persévérer dans votre désir d’unifier les contraires. Il est sûr que ça n’est pas de tout repos mais la délivrance est toute proche. C’est peut-être les moments où le doute est le plus présent que nous sommes à même d’avancer et d’amplifier la connexion avec nos parts invisibles. 
J’ai de plus en plus de mal à trouver les mots concernant notre aspect divin. Le nom du Christ porte tant de souffrances et de fausses croyances que j’hésite souvent à l’utiliser. Cependant je suis totalement convaincue que cette énergie est précisément celle qui nous unit. Elle nous unit intérieurement et extérieurement.
En parallèle des exercices de connexion aux vies antérieures, je continue ma lecture du livre de Paméla Kribbe. J’en suis à la biographie de Paméla et ce que je lis résonne très fortement et me donne le courage de continuer de témoigner sur ce blog. 
J’étais arrivée à un stade de colère, de dépression et de peur relatés dans le chapitre « Les gardiens », qui m’ont poussés à exprimer tout ce que je ressentais auprès du christ intérieur, sans aucune retenue. Puis une fois calmé, j'ai pu m'exprimer à partir du cœur et la délivrance et la paix ont remplacé la confusion et la colère.

"Libérez vous de votre karma", livre audio de Doreen Virtue





Dimanche après midi et lundi matin
Encore une matinée radieuse suivie d’une après midi pourrie !
J’ai passé deux heures à tourner en rond avant d’oser aller dire au voisin de baisser le volume. Il joue de la musique sur des instruments électriques et chante avec un micro et je l’entends comme s’il était chez moi. 
D’habitude, je fais avec, je vais au jardin ou je mets de la musique pour couvrir le bruit. Mais là, avec la pluie, pas d’échappatoire possible. Depuis une semaine, pas moyen de faire de méditation dans le calme.

J’ai encore beaucoup de mal à savoir quelle attitude adopter. Je passe par tous les questionnements. Avant d’avoir foi en l’humain divin et aux lois d’attractions, c’était plus simple, je réagissais en gueulant et c’était "réglé".

Maintenant que je sais que je créé les situations, je cherche ce qui est titillé en moi pour savoir quoi faire. Le commentaire de Salvia pourtant "sympa" m’a carrément agressé. Elle a mis le doigt sur ce qui me hante depuis l’enfance, la peur de vivre.

Évidemment, j’ai eu une première réaction directement inspirée par l’ego. Il m’a fallu un certain temps pour dépêtrer tout ça. Reprendre confiance en moi en allant voir le voisin pour lui dire sans m’énerver que je n’en pouvais plus.
Heureusement, le silence revenu, j’ai pu voir les choses autrement et finalement me dire que la peur de vivre, était dissimulée derrière ces émotions et réactions.
Je n’ai rien mangé de la journée tant tout ça m’a chamboulée mais une fois la lumière revenue en moi, j’ai pu y voir plus clair. Le soleil s’est montré quelques minutes et j’en ai profité pour capter ses rayons à travers la fenêtre fermée.
C’est le moment d’appliquer ce en quoi je crois :
Quand une peur se montre, c’est pour être vue et le simple fait de la laisser sortir, la libère et guérit.

dimanche 28 avril 2013

S'aimer sans conditions



 
Leo Buscaglia
Réveil difficile, ce matin ! Je n’arrête pas de bailler, de m’étirer. J’ai été parcourue par un frisson quand je me suis adressée à mon âme, tout à l’heure. La relation est devenue très familière et même si je suis toujours un peu frustrée de ne pas voir cet aspect de ce que je suis, je ressens sa présence de façon très réelle, indéniable. C’est un sentiment magnifique de se savoir accompagné intimement par son « double », de pouvoir lui parler naturellement, simplement comme je le ferais avec un ami, une sœur. Et encore, on n’est jamais totalement intime avec des proches humains. Notre âme nous colle à la peau depuis des siècles et nous connaît jusqu’au bout des ongles. Elle connaît des parts de nous qui ne sont pas encore dans notre conscience et fait tout pour que nous puissions accéder aux faces cachées du diamant que nous sommes. Même si parfois tout ça me semble bien loin de la réalité visible, je me dis que ce qui compte, c’est que ma foi m’élève, me rende joyeuse et me permette de diriger mes pensées vers ce qui est le plus beau, le plus lumineux afin de l’amener dans la matière. Puisque nous créons notre état d’esprit selon nos pensées, autant les diriger vers ce qui nous fait le plus vibrer, vers ce qui nous épanouit. La réalité est si aléatoire ! Selon nos pensées, nos croyances, nous interprétons ce que nous voyons avec plus ou moins d’amour, de lucidité. En tout cas, je me félicite d’avoir déprogrammé mon cerveau des croyances populaires restrictives, limitatives nées de la peur et du manque d’amour de soi. D’avoir libéré bon nombre de schémas de pensée totalement destructeurs même si je continue de fumer des clopes. Je me dis qu’un geste devient néfaste quand il est motivé par quelque chose de négatif. Je n’ai pas envie de "lutter" pour me défaire de ce geste, je préfère cultiver ma foi. De toute façon, connaissant la pureté et le pouvoir de l‘être divin qui m’habite, je sais que ça n’est pas quelque grammes de nicotine qui peuvent altérer ce que je suis. Peu à peu, le goût n’est plus si agréable et je compte là-dessus pour m’en libérer naturellement. Je veux faire les choses par amour parce que je sais que seule cette motivation tient la route.

samedi 27 avril 2013

Le principe Christique, extraits du livre "Anna, grand-mère de Jésus"




Chacun porte en lui, l’étincelle christique qui ne demande qu’à s’épanouir. Plus on s’ouvre à la spiritualité en ouvrant son cœur et plus on reconnaît sa "filiation" au personnage historique que fût Jésus Christ. Même si les évangiles, qui ne sont d’ailleurs que des témoignages et non les écrits de cet humain divin exceptionnel par sa conscience et sont cœur ouverts à la vérité divine, ont été interprétés de mil et une façons, l’essence même de son message est : L’amour inconditionnel.
C’est écrit noir sur blanc. Chaque parole prononcée est de l’amour pour toute vie, sans conditions. Il dinait avec les "pêcheurs", il aimait tout le monde, jusqu’à ces bourreaux et pardonnait sincèrement tout le monde.
Il a dû suivre plusieurs enseignements avant d’être à même de communiquer ce message essentiel. La bible ne parle pas de son enfance ni de son adolescence pour en faire un personnage à part, unique. Mais nous portons tous le principe christique.  
Heureusement nous avons aujourd’hui accès à cette connaissance par certains livres, certaines révélations reçues par des channels. Je peux citer, entre autres, Claire Heartsong qui a écrit « Anna, grand-mère de Jésus » qui relate cette part cachée et essentielle de la vie de Jésus. Oui, il a été humain avant de reconnaître pleinement le divin en lui-même. Il a reçu des enseignements et des initiations qui l’ont amené à reconnaître son potentiel afin de canaliser les énergies d’amour inconditionnel pour la planète entière. Il a été assisté par Marie Madeleine à part égale afin de réaliser l’unité des contraires par la fusion des corps physiques, dans la relation sexuelle divine et consciente pour ensemencer la terre de cette énergie d’unité, pour tout humain de la planète, éternellement. 

Être dans le monde mais pas du monde...



Naomi Mc Leod


Cette phrase comme d’ailleurs tous les enseignements de Jésus Christ ont une forte résonance en moi, surtout en ce moment. J’ai vraiment l‘impression de plus en plus forte de ne pas être d’ici. Quand je me suis fait baptiser et quand j’ai lu les évangiles, j’ai été très étonnée de connaître presque par cœur tous les versets, alors que je n’ai pas reçu d’éducation religieuse. Ma mère était communiste et mon père anarchiste. La familiarité ressentie avec Jésus Christ date de mon adolescence lorsque que j’ai vu le film "Jésus de Nazareth" de Dino Zafarelli, chez des gens chez qui j’étais allée seulement une fois et que je n’ai jamais revus d’ailleurs. J’étais bien défoncée ce soir là et pourtant, je suis restée scotchée devant ce film, en pleurs devant ce personnage. C'est cette révélation qui m'a évité de tomber dans l'alcoolisme. Plus tard, quand j’ai commencé à fréquenter un peu les psys, je me suis dit que la résonance ressentie devait provenir du fait qu’il éveillait les souffrances d’injustice que j’avais vécues enfant. Puis un peu avant mon baptême, j’ai ressenti cette présence si fortement que ma vie en a été bouleversée.
Depuis l’enfance, je me sens comme étrangère sur cette planète. Il y a un tel décalage dans ma façon de considérer les choses avec mon entourage et le monde en général, que j’ai longtemps eu le sentiment que j’étais inadaptée à ce monde. Malgré la distance, je me sentais différente mais pas "anormale". Mon niveau scolaire me préservait d'être considérée comme débile même si je n'ai jamais voulu "profiter" de mes capacités pour me faire une place privilégiée dans la société.

vendredi 26 avril 2013

Trouver le divin en soi.



 
Google +

Je ne sais pas si c’est le temps pluvieux et le fait d’avoir été enfermée toute la journée mais j’ai des douleurs aux crânes par moments qui sont assez inhabituelles.
Je vais aller interroger mon âme, la douleur...
Je disais ce matin que je n’aimais pas les pubs mais celle-ci vaut le détour!

Pub redevenir enfants


C’est ce dont je rêve, la spontanéité naturelle de l’enfant. Un monde où chacun serait ce qu’il est en son cœur. Il est une trop forte tendance à vouloir ressembler aux autres, à se conformer à la norme pour plaire, être aimé. C’est encore pire avec les médias qui mettent toujours l’accent sur ce que doit être un humain, sur ce qui doit le rendre heureux. Les hommes comme les femmes et même les enfants depuis quelques temps, sont exhibés et évalués selon des critères de beauté. Selon leur compte en banque, leurs possessions matérielles. Non seulement c’est d’un ennui terrible mais ça ne peut qu’engendrer l’envie, la discorde, le manque d’estime personnel dû aux frustrations.
L’intérêt de savoir qu’il y a une étincelle divine en chacun, c’est de pouvoir la trouver en soi et en même temps en chacun. Il n’est pas question de trouver son soi et de se sentir au-dessus des pauvres non-initiés. Ce n’est que la répétition des schémas du vieux monde de compétition.

jeudi 25 avril 2013

La liberté et l’amour sont là quand on lâche la notion de bien et de mal



Pixieled

Je me suis couchée tard hier soir, chose qui ne m’était pas arrivé depuis longtemps. Mon chat préféré, docteur « Poupoute » (un de ses nombreux noms!), est venu dormir avec moi. C’est hallucinant l’effet que me fait ce chat ! La façon dont il est apparu dans ma vie, le jour de mes 42 ans. Ce que je vivais à cette époque et comment il a su me guérir de nombreuses de douleurs vécues à ce moment où je vivais une histoire d’amour passionnelle (comme à chaque fois), qui avait fait remonté beaucoup de choses enfouies. C’est d’ailleurs à cette période que j’ai commencé à faire pousser de l’herbe dans la cave de la vieille maison que j’habitais. Je considère que ça m’a beaucoup aidé à ne pas sombrer mais en même temps, j’ai bien ramé et morflé. Je sortais à peine de l’église et me demandait encore si j’avais "droit" d’exprimer mes sentiments sexuellement ! Et ce chat magnifique qui est venu quatre mois après la mort de mon Doberman, que j’aimais beaucoup, a comblé le vide tout en m’aidant à surmonter des peurs d’abandon, de rejet...Il faisait le clown sans arrêt et ronronne dès que je l'approche. A cette époque, les deux chattes de la maison pas encore opérées avaient eu chacune, une portée à deux mois d’intervalle. Monsieur Féliz a réussi à s’incruster à l’heure de la tétée avec les chatons de l’autre mère !

mercredi 24 avril 2013

Avec un peu de recul et beaucoup d'amour


John Welwood


Comme je l’ai dit à beaucoup de ceux qui m’ont écrit, j’ai été submergée par un grand nombre de mail juste pendant ma semaine « fumette ». C’est mal tombé, du coup, j’ai cafouillé à répondre, je me suis emmêlée les pinceaux mais finalement j’espère avoir répondu à chacun. Comme je le disais à Nathalie, une personne qui m’a écrit longuement et à qui je viens de répondre, je considère le lecteur au même niveau que moi. Ni au-dessus, ni en-dessous. Nous sommes égaux, dotés des mêmes capacités. Celle d’aimer est la plus grande, la plus puissante mais il ne s’agit pas d’aimer l’autre avant ou plus que soi-même, ce n’est pas cohérent. C’est le signe d’un manque affectif, d’un besoin d’être aimé. Il n’y a pas de "mal" à cela, c’est juste que ça rend dépendant des autres et que ça fausse totalement les relations entre humains. 
Nous avons tous une étincelle divine intérieure qui brille plus ou moins fort. 
Elle s’illumine quand nous aimons tout ce que nous sommes, quand nous acceptons nos "défauts", quand nous cessons de vouloir nous améliorer.
Les vieilles croyances dont nous avons à nous défaire, sont celles qui nous font penser que nous ne sommes rien, que nous sommes mauvais, méchants... 
Nous sommes multidimensionnels et tout ce que nous sommes est divin, créé par la source. 

Passage du monde de la pensée à celui du ressenti.




C’est ce que je me propose de vivre à chaque instant. Il ne s’agit pas de cesser de penser puisqu’en plus, c’est impossible mais de prendre l’habitude d’habiter pleinement son corps, d’être le témoin de ce qui se vit à l’intérieur.
Puisque j’ai foi en l’humain divin, en la réalité de l’unité de tout ce que je suis, j’ai décidé de franchir une étape sur mon chemin spirituel.
J’ai cherché longtemps, par la lecture, la prière, la visualisation...à rencontrer le divin en moi. Evidemment bien que je conçoive que l’être de lumière qui est en moi, soit constitué d’énergie, je ne l’ai jamais vu de mes yeux. Il semble que je sois arrivée aux limites du mental. Il y a bien des textes qui traitent la question du divin mais ça me semble si éloigné du quotidien, de la réalité, que c’est finalement une fuite du moment présent qui est presque plus dangereuse que la prise de drogue parce qu’au moins, avec des produits, on revient vers soi quand les effets disparaissent. Mais quand on passe des heures devant son écran, à essayer de comprendre la source, on s’en éloigne totalement puisque celle-ci est une énergie amoureuse qui circule en nous, en permanence. C’est à partir du ressenti, des émotions, dans la simple observation de ce qui est que l’on peut réellement approcher le divin intérieur. Ressentir la joie simple d'être.

L'âme nous parle à travers notre corps physique, extrait du message de Jeshua: "Maladie et santé"


Alfredas Jurevicius


Dans ma lecture du livre écrit par Paméla Kribbe, qui reçoit les messages de Jeshua, j’arrive au chapitre qui traite de la maladie et c’est très intéressant. J’en copie colle quelques passages qui me semblent des clefs de compréhension de la communication avec notre âme. En tout cas, ça me donne encore plus envie d'écouter mon corps physique, mes émotions, avant que mon âme ait à s'exprimer à travers la douleur.

Extrait du message:

« ...Toute maladie a une origine spirituelle.
 J'expliquerai cela en faisant une distinction entre vos différents corps. En plus de votre corps physique visible par tous, vous possédez aussi un corps émotionnel, un corps mental et quelque chose que vous pourriez appeler un corps spirituel.
La maladie débute principalement dans le corps émotionnel. C'est de là que certains blocages s'installent dans le corps physique au niveau matériel. Bien souvent, des croyances provenant du corps mental contribuent au développement de blocages émotionnels et à la manifestation de maladies. Je parle de croyances profondément enracinées ou d'habitudes mentales. Ce sont souvent des croyances à propos de ce qui est bon ou mauvais en vous.

La grâce c'est l'amour inconditionnel que le divin rayonne




Je repense au texte de Murielle Robert qui parait du chiffre 13 de la purification, dans laquelle nous sommes cette semaine. Il semble qu’une fois de plus, elle ait raison dans son interprétation de ce numéro comme des autres d’ailleurs. Ce qui veut dire que les désagréments, les flottements, les doutes, les remontées d’énergies lourdes sont d’actualité. Une chose à retenir dans ce processus c’est qu’il est loin de vouloir nous maintenir dans la souffrance mais bien de nous en extirper. Quand on prend conscience de ses fausses croyances, pour peu que l’on soit honnête avec soi-même, on peut constater le "chantier" que représente un tel nettoyage. Il parait clair qu’avec notre seule perception physique, à partir de cette dimension, nous ne pouvons appréhender ce qui se passe dans l’invisible et il est évident que notre mental seul ne puisse réaliser un tel bouleversement. Il est question de vivre à partir du cœur, de son ressenti et plus de calculer, d’anticiper, de jouer à gagner. Tant qu’on nous peignait un tableau idéal où les "méchants" seraient punis, et qu’évidemment on se situait du coté des gentils, le scénario nous excitait. Toutes nos souffrances et surtout les bourreaux qui ont pourri notre vie, seraient enfin punis ! 
La réalité est toute autre. 

mardi 23 avril 2013

Toujours présente !




Aujourd’hui, ma foi et mon enthousiasme sont presque palpables et c’est bien agréable. Quand je repense à hier, je me dis : oh, on est aujourd’hui !
J’ai commencé la journée en appelant la puissance du soleil à remplir mon plexus solaire, face à lui, dans le calme. J’ai appelé l’amour inconditionnel à me remplir, avec une séance d’EFT puis j’ai commencé la lecture d‘un cours en miracles. C’est un ouvrage dont beaucoup de gens, dont Eckhart Tolle parlent comme une référence en matière de spiritualité. Comme je crois aux miracles puisque j’en ai vécu, ce livre est fait pour moi. J’ai comme la sensation d’une irrésistible envie d’évoluer, d’avancer, de continuer de libérer les fausses croyances de base telles que l’idée de séparation et évidemment la fausseté du concept bien/mal. C’est toujours les mêmes techniques mais cette fois, la motivation a redoublé et l’envie de faire un grand bon en avant, se manifeste de plus en plus.
Un premier truc à libérer :
Je libère l’idée qu’il faille souffrir pour grandir.
Puisqu’au niveau de l’esprit ou la conscience, là encore, je divise. 
Puisque je suis d’essence divine, j’appelle celle-ci à s’exprimer dans chaque pensée, geste...

lundi 22 avril 2013

Merci ma foi



 
Bev Doolittle
Il est 18h50 et j’ai passé l’après midi à dormir ! Trop dégoûtée par l’arnaque du contrôle technique. Ce n’était pas le père mais le fils. Il ne s’est pas gêné de me demander 58 euros pour une demie heure à bidouiller la voiture, à la secouer dans tous les sens. C’est vraiment du foutage de gueule !
J’en veux à la terre entière et surtout à moi-même à me demander quelle pourriture j’ai pu être dans une autre vie pour tomber encore et toujours sur des voleurs, des situations dans ce foutu triangle victime/bourreau/sauveur ! 
Je ne vole pas, ne fais chier personne, j’ai une parole, quand je dis quelque chose, je le fais. Remarque il est vrai que je ne m’engage pas beaucoup mais d’un autre côté, quand je le fais, ça n’est pas du pipeau. 
Je suis fatiguée de ce monde porté par son ego où tout ce qui compte c’est d’avoir raison, de gagner ! Comment je peux attirer encore des gens de ce style ! Combien de fois je devrais appeler l’harmonie intérieure ? 

Petits progrès vidéo Inti Illimani « Alfonsina y el mar »


Steve Hanks

Aujourd’hui, je suis censée aller passer la voiture au contrôle technique. Je ne sais pas si j’aurais un rendez vous. Je suis contente de ne plus avoir de beu. Je vais retrouver ma vraie nature que ce produit a su effacer sournoisement. Il y a eu comme un plaisir à s’accorder le droit de "craquer" mais à part ça, le sentiment de baisser ma fréquence vibratoire avec une grande facilité, est plus à retenir. Il y a tout de même certains points positifs dans cette expérience. Le fait de m’être autorisée à suivre une envie, sans juger, sans définir si c’est bien ou mal. Le constat de la perte de connexion avec mon âme, du moins la difficulté à reconnaître ses inspirations. Quand on fait le tour d’une expérience, on peut finalement choisir si c’est valable pour soi ou non. Si c’est mon aspect rebelle qui s’est exprimé ici, je peux voir que la rébellion est envers moi-même, que je n’ai plus besoin d’imposer ma volonté à quiconque moi-même comprise et que la liberté doit se vivre intérieurement. Comme si j’avais eu besoin de retrouver un certain cynisme pour imposer ce que je veux. Mais, c’est un comportement de 3D qui ne colle plus avec ce en quoi je crois et ce que je veux. 

dimanche 21 avril 2013

Voici un nouveau message de Simon Leclerc.



Un éclairage qui détaille bien le processus de la création.

L'amour et la manifestation
Par Simon Leclerc
Écrit le 11 avril 2013




"Mosaïque 7 milliards d’autres", vidéo Yann Arthus Bertrand


Amanda Clark



En voyant la vidéo qui suit, je me dis que la solution c’est le dialogue. Qu’est-ce qui éloigne le plus les humains? La peur de l’inconnu. Quand on écoute l’autre, on se rend compte qu’il aspire à la même chose que soi. Que nous sommes tous en quête de "bonheur". La plupart du temps, on espère un avenir meilleur mais on ne sait pas apprécier ce que l’on a déjà. Quand on entend les raisons qui rendent les gens heureux, et que parmi eux, une dit : « je suis contente d’avoir de l’eau dans la maison » C’est là où on peut se dire que le bonheur, les différentes façons de le concevoir, changent d’une culture à  l’autre, d’un point de vue à l’autre, mais ce qui reste évident pour tout le monde, c’est le besoin d’amour. Mais comme le dit Eckhart Tolle, les conditions de vie ne créent pas le bonheur et ne sont pas qui nous sommes en vérité. Ce n’est que le décor dans lequel se joue une pièce, dont nous sommes acteurs, scénariste et réalisateur. 

"Mosaïque 7 milliards d'autres".
Yann Arthus Bertrand 
Vidéo transmise par le site http://epanews.fr

samedi 20 avril 2013

Matin d’avril, musique


Helena Nelson Reed

Ce matin, le réveil à 6h m’a permise de dormir mes 7 heures. J’ai été sortie de ma somnolence à 23h par la sonnerie du téléphone portable que je ne reconnais toujours pas. Le mécano qui m’appelait pour me dire qu’il viendrait ce matin vers 10h...
Je viens de sortir la chienne et le vent souffle glacial !
Je suis encore énervée d’avoir constaté que mes premières fraises ont été volées. J’espère que c’est un rongeur ! De toute façon, un voisin a du grillage et je vais lui demander s’il peut m’en vendre un bout que je sépare les deux jardins. J’ai plusieurs raisons à ça. Mon chat qui va caguer dans le jardin des voisins, la chienne que je suis obligée d’attacher pour ne pas qu’elle vadrouille partout et les risques d’oubli comme l’année dernière quand les sangliers sont rentrés parce que le voisin avait oublié de fermer sa porte ! Au moins, depuis le temps que ça me démange, ce sera un bon moyen de poser des limites.

vendredi 19 avril 2013

La joie, facteur essentiel de progression spirituelle.




Ce titre est plus un appel à la joie qu'une constatation!
Ce matin, après avoir répondu aux divers commentaires, je me rends compte que je suis encore dans l’auto critique. Il est bon de porter un regard extérieur sur soi-même mais on a vite fait de tomber dans le jugement. Mon objectif actuel et relativement récent, bien que ça fasse pas loin de six mois que je sois sur le dossier, c’est l’acceptation de tout ce que je suis et de tout ce qui est. Doute, faiblesses comprises, si tant est qu’on puisse les qualifier de faiblesses. Par expérience, je peux voir que les blocages principaux sont relatifs à l’auto-critique. D’ailleurs ma "mission" auprès des âmes égarées, consiste principalement à rappeler la nécessité de lâcher la culpabilité et que les notions de bien et de mal, sont totalement erronées, que celles-ci les empêche d’accéder à leur propre lumière. Je témoigne de la même façon que je le fais ici. Je le fais naturellement, sans risquer de me la péter mais en voyant plutôt ça, comme un échange de service.

jeudi 18 avril 2013

La balade à vélo, vidéo chansons françaises, photos



Ce matin, j’ai décidé d’aller en courses à vélo. Le soleil est bien présent et la journée s’annonce chaude. Il y a un petit vent qui fait du bien. Voici quelques chansons que j’ai écoutées, ce matin.

"Les vieux amants" Juliette Gréco
Ce n'est pas ma version préférée. 
 

mercredi 17 avril 2013

Hommage aux fleurs, à la terre mère




J’ai envie de vous montrer ces quelques photos de fleurs prises au jardin. 
Juste pour le plaisir de la vue. Dommage qu’il n’y ait pas l’odeur !
Ce coquelicot au pollen doré est magnifique!

Les joies du jardinage





Centimètre par centimètre, je désherbe et ça commence à se voir ! Je fais de même à l’intérieur et pour ce qui est du masculin, le silence au jardin a été rompu par une débroussailleuse ! Le voisin à qui j’ai donné des pieds de fraises et qui laisse crever de soif, tous les plans qu’il n’a toujours pas mis en terre ! Il était censé bosser au village à côté mais s’est arrêté à cause d’un mal de dos et le voilà ici, à débroussailler ! 

Il semble que mon appel à l’unité de tout à l’heure n’ait pas encore porté ses fruits ! J’ai vraiment du mal à trouver des références masculines vers qui me tourner dans ce genre de situation où en plus je m’énerve à ne pas arriver à être en paix à l’intérieur ! 
Il est temps de se calmer ! Je vais aller chercher le steak que j’ai mis à décongeler dans la voiture.

Appel à l'unification



 
Yarek Godefrey
Comment ça fait trop du bien de ne pas cogiter ! Comme c’est bon de prendre les choses une par une, tranquillement, sans courir. J’ai enfin reçu les pièces de voiture ! 5 jours pour venir ! Maintenant, reste à contacter le mécano ! C’est une autre histoire. J’ai laissé un premier message...
Je ne m’en fais pas plus que ça, on verra. Je tenterais de le joindre à nouveau, dans la soirée.
J’ai passé deux heures au jardin et cette fois-ci, ça n’est pas la pluie qui m’a arrêtée mais le soleil ! Il fait déjà bien chaud ! J’ai ma ceinture de laine autour de la taille pour finir de guérir la douleur aux reins. Depuis vendredi soir, ça ne me lâche pas ! Remarque, c’est déjà beaucoup moins douloureux et handicapant que la semaine dernière. J’arrive à être un peu plus souple. Je me demande si la raideur qu’impose la douleur, ne serait pas l’image de la façon dont je me traite avec la culpabilité. C’est un poison mortel.

Voila ce que j’ai écrit hier ! Aucune inspiration, rien à dire.
C’est comme si je n’entendais plus la connexion à mon âme. Je ne remets pas ma foi en question mais je constate que je suis plus dans le mouvement que dans ma tête. Ce qui en soi est une bonne chose.

lundi 15 avril 2013

"Du coeur au ventre" message de la Terre reçu par Paméla Kribbe. Vidéo Nature





Le réveil, ce matin, est un peu laborieux. Encore toute ensuquée, j’ai le cerveau ramollo ! Pas vraiment inspirée à écrire, je voudrais partager ce message de la terre mère, reçu par Paméla Kribbe. Je vais y aller mollo avec la beu si je veux retrouver toute ma tête ! Il est vrai que c’est agréable d’avoir des moments de silence au niveau du mental mais là, c’est trop. Je me sens toute molle !

Du cœur au ventre
Accomplir le voyage de l’âme
Message de  la Terre à Pamela – Août 2009
http://jeshua.net/fr 

Chers enfants humains,
C'est moi, la Terre qui vous parle. Je suis votre mère et je vous porte en mon sein tout au long de votre vie. Je vous chéris, même si vous n'en avez pas conscience et que vous êtes trop occupés et trop pris par vos affaires quotidiennes. Je vous soutiens et vous invite à vous connecter à moi, alors que je souhaite raviver votre mémoire et vous rappeler quelque chose. Il s'agit d'une chose ancienne et précieuse qui semble avoir été oubliée dans ce monde moderne. Cela concerne la sécurité naturelle de l'existence sur la Terre.

dimanche 14 avril 2013

J'ai appelé à tendre vers la liberté, l'harmonie, la transparence et l'authenticité




Il m’a fallu près de 24h pour oser publier le texte écrit hier après midi ! La peur d’être jugée, décrédibilisée. Puis, je me suis dit, mais qu’est-ce que je me fous d’être crédible ou pas, le propos n’est pas celui-ci, c’est l’envie d’authenticité qui me motive à m’exprimer sur ce blog. Puisque le truc c’est de témoigner de ma façon d’intégrer ma foi, au quotidien. Il est vrai que depuis quelques textes, j’ai tendance à perdre le ton témoignage mais il n’est jamais trop tard pour revenir à mon style premier. Primaire, diraient certains !
Toujours est-il que l’expérience d’hier a été fort instructive. Les appréhensions que j’avais se sont avérées inutiles et c’est logique puisque celles-ci étaient motivées par la peur. La peur de ne pas savoir gérer mes émotions. Pas de souci, je n’ai eu aucun désir tant nous nous sommes éloignés l’un de l’autre. Je me suis trouvée face à quelqu’un à l’esprit étroit et fermé. Rigide à souhait et aucun désir n’est remonté à la surface ! De ce côté, je peux vois que je n’ai absolument rien à craindre de mon corps émotionnel qui en fait réagit par rapport au corps mental. Je peux voir ici, que celui-ci est activé par les pensées, les croyances profondes. Il est donc question d’amour conditionnel.

samedi 13 avril 2013

Application de" l'acceptation de tout ce que je suis"



Helena Nelson Reed

 Ce matin, le soleil semble vouloir offrir sa présence pour la journée. Je suis toute excitée à l’idée de profiter du dernier jour où je peux circuler en voiture, sans craindre les contrôles policiers. J’ai décidé d’aller chercher de l’herbe. Dans ma volonté d’être dans l’acceptation de ce qui est, je cède au désir qui est venu il y a quelques jours, de m’offrir ce plaisir. J’espère pouvoir doser. C’est une chose que je n’ai jamais su faire. C’est comme si j’avais toujours oscillé entre culpabilité de fumer ce produit que la majorité qualifie d’illicite et le plaisir qu’il procure. Je me dis que j’ai amplifié la culpabilité en associant le produit à un genre d’adhésion au mal, mais comme ce concept devient totalement faux, pour moi, maintenant, je me dis qu’il est temps de tester ma capacité d’acceptation de ce qui est. En l’occurrence, est-ce que je m’autorise à aller au bout de mon envie, sans m’identifier au personnage de "drogué", sans culpabiliser de vouloir ce plaisir ? Quand j’étais ado, je n’avais pas de notion de culpabilité, je considérais que le fait de fumer était avant tout un plaisir et il marquait mon désaccord avec la société où l’effort, la souffrance et le sacrifice sont récompensés par des médailles. Celle du travail, celle du sacrifice à la nation, celle pour les familles nombreuses...Autant de récompenses qui amplifient l’idée de petitesse de limitation de l’humain "intégré" dans la société mais désintégré en lui-même.

vendredi 12 avril 2013

Les cheveux, parure, antennes féminines et masculines




Je viens de trouver ces deux textes qui parlent des cheveux et bien que ça puisse sembler « léger » comme sujet, je pense que c’est important et que ça appuie l’idée que chaque partie du corps a sa raison d’être, sa fonction particulière. 
J’ai toujours "senti" que le cheveu était comme une antenne et lire ces textes me conforte dans mon idée. On peut voir le changement d’état d’esprit chez les femmes qui à la quarantaine, coupent leurs cheveux. Elles deviennent non seulement moins féminines mais perdent aussi une certaine sensibilité. Pas étonnant non plus que les systèmes patriarcaux voilent les femmes. Les catholiques, les juifs, les musulmans. 
Quand on sait la capacité d’intuition naturelle chez la femme, on comprend mieux pourquoi ce pouvoir a été diminué par ce genre de pratique. De même que les teintures outre le fait que ça abime le cheveu et puisse brûler le cuir chevelu, est aussi une façon de nier sa vraie nature. J’ai toujours été attirée par les hommes aux cheveux longs qui montrent souvent une grande ouverture d’esprit et accueillent plus facilement leur aspect féminin. Les Hippies, baba cools sont en général beaucoup plus pacifistes. Même si c’est une généralité, il me semble que ça ait un sens.

LA VÉRITÉ SUR LES CHEVEUX ET POURQUOI LES INDIENS LES GARDENT LONGS

L’importance d’être authentique en toutes circonstances




Il est une fâcheuse tendance chez l’être humain, à user même abuser de la formule « faites ce que je dis mais ne faites pas ce que je fais. »
Depuis l’enfance, j’ai pu constater combien ceux qui se targuent de savoir, d’enseigner, de prêcher, affirment des idées, des concepts, des choses, qu’ils sont incapables de vivre. L’épisode avec le mécano m’a montré que je rencontrais encore ce genre de personnes dans ma vie, qui parle d’amour, qui ont de grandes théories sur l’amitié mais dont l’attitude n’est pas en accord avec le discours. Le voisin qui veut dominer tout le monde dans le quartier, qui veut contrôler, a affiché près de sa porte d’entrée, un texte de je ne sais plus qui, qui relate les qualités et vertus de l’amitié. En général, plus on affirme quelque chose avec force et plus ça veut dire qu’on a besoin de se le répéter longtemps pour pouvoir l’intégrer. Je sais de quoi je parle et ça peut facilement être vu dans ma façon de répéter certains concepts. Je suis consciente de ne pas être parfaite puisque nous sommes ici pour apprendre, ce qui veut dire que nous sommes ignorants de nous mêmes. Tout comme le fait de parler d’éveil de l’humanité implique que nous soyons endormis.

jeudi 11 avril 2013

Le bien et le mal, un concept humain contraire à l'amour divin





Le décor est planté pour que cette journée soit des plus désagréables. Un ciel gris, plombé de brume,  l’humidité et le manque de clarté extérieure, les chemtrails dans le ciel bleu d’hier qui me reviennent en mémoire, des pensées de trouille à propos de la voiture, les amortisseurs toujours pas expédiés, le bruit des travaux dans le couloir...pourtant, je ne m’y attache pas plus que ça. 
Une mésange a cherché à rentrer plusieurs fois dans la maison et j’ai ouvert la fenêtre pour ne pas qu’elle s’explose sur la vitre. Elle revient se poser sur le ficus de temps en temps et égaye cette journée dont la bizarrerie me fait plus sourire qu’autre chose. C’est souvent que des oiseaux se mangent les vitres. Des pigeons dont je voie la marque de l’impact du corps et des ailes sur les carreaux de la chambre. Il doit y avoir une signification mais je ne cherche pas.
Je suis allée chercher des beaux pieds de tomates et des paquets de haricots secs à planter, j’ai fait des courses et mis de l’essence pour mon expédition de samedi. Chaque fois que j’y pense et que le risque de croiser les flics me vient en tête, je me dis "eh, on est jeudi, il sera temps de flipper le jour venu", à chaque jour suffit sa peine comme disait un certain Jésus. 

Le désir sexuel, un business qui répond à notre propre démission.





Plus on s’interroge dans un domaine particulier et plus notre aspect divin nous répond. Que ce soit au travers de situation de vie qui nous donneront l’occasion de voir nos réactions et ainsi de mieux nous comprendre ou en nous inspirant directement des pensées ou encore en faisant jouer le "hasard" qui mettra en nos mains, des textes, des messages d’êtres de lumière ou d'humains qui seront les réponses à nos questions. C’est le mail d’une lectrice puis la vidéo des bonhommes allumettes qui décrit l’exercice à faire entre ses aspects masculins et féminins, qui m’ont amené à réfléchir encore plus longuement sur la question de la sexualité.
Je savais en théorie que d’appliquer les recommandations du message de Jeshua serait la solution mais il me manquait l’outil concret pour ce faire. On ne peut faire plus simple que l’exercice de jacques Martel. J’ai donc fait l’exercice des bonhommes allumettes avec les deux aspects de ma personnalité. Je me suis contentée d’écouter la vidéo tout en faisant les dessins puis, ce matin, alors que je me suis couchée à 1h, j’étais réveillée à 6h, prête à bondir, à me jeter dans cette nouvelle journée. Le fait que je persiste à vouloir me libérer de la dépendance aux cachets m’éclaire la vision bien que ça créé des désagréments. Je ne m’en occupe plus me contentant de faire tout mon possible pour intégrer l’amour inconditionnel en moi.

mercredi 10 avril 2013

Les joies de l’acceptation, "Les petits bonhommes allumettes" Jacques Martel, vidéo





Ce matin, l'élan de l'action est encore présent et je me suis mise à l'ordi pour faire ma part dans la résolution du problème de la voiture.
Il m’a fallu surmonter quelques vieilles peurs pour oser commander seule, les pièces pour réparer la voiture. J’espérais le faire avec le voisin mais comme par "hasard", il n’était pas là de la matinée. Je me suis dit que mon âme me tendait une perche ! J’ai tellement pris l’habitude de contourner mes peurs qu’il n’est pas si simple de les affronter. Enfin, d’oser parce qu’une fois que c’est fait, je me dis, "comment j’ai pu bloquer à ce point" ? C’est pourtant tout bête ! 
Plutôt que de recourir à l'aide et de retomber encore dans le schéma victime sauveur, il vaut mieux affronter ses peurs et ainsi reprendre confiance en soi et aller vers plus d'autonomie. Je suis plutôt dégourdie mais dès qu'il s'agit de faire quelque chose impliquant un homme, ça devient délicat. 
C'est fait, les pièces devrait être là dans 24h et je n'aurai plus qu'à aller chez mon ex compagnon, samedi. le seul hic, c'est que je me suis plantée dans les dates et que j'aurais dû passer le contrôle, le 14 avril! Il habite un village qui m'oblige à passer par un axe friand des flics! Il va falloir appeler la confiance en soi! Ce sera l'occasion de se centrer!

mardi 9 avril 2013

"Sexualité et spiritualité" message de Jeshua reçu par Paméla Kribbe




Cette canalisation a été présentée à une séance publique le 17 Avril 2005 à Haaren, Pays-Bas,). Le texte a été légèrement remanié pour une meilleure lecture.

Chers amis, je me réjouis d'être à nouveau parmi vous. Lorsque je vous vois, ce n'est pas en tant que corps physiques, ceux que vous apercevez dans un miroir. C'est votre aspect intérieur que je perçois, les mouvements internes de vos pensées, de vos sentiments et de vos émotions. Je suis ici pour vous soutenir dans votre voyage.
Le sujet dont j'aimerais parler aujourd'hui a eu un grand impact sur vous tout au long de votre histoire terrestre. Il s'agit de la sexualité et comment elle est vécue par les hommes et par les femmes.
Ce n'est pas un sujet facile. La sexualité s'est chargée de beaucoup de jugements, de peurs et d'émotions. Il n'y a presque plus d'aspects en elle qui soit spontané et évident. Cela revient à dire que l'aspect candide de la sexualité, celui de l'enfant innocent qui explore librement, a été perdu. Vous êtes pleins de peurs et d'émotions quand il s'agit de vous exprimer sexuellement.
C'est de ce fardeau que je veux parler dans ce message, mais j'aimerais d'abord dire un mot sur ce que signifie la sexualité dans une perspective spirituelle.
La sexualité, ce sont les énergies masculine et féminine qui dansent ensemble. A l'origine, c'était plus qu'un acte physique. Elle était conçue pour être une danse où tous les niveaux ou aspects de vous-même et de votre partenaire participent.
Je distinguerai quatre niveaux ou aspects qui peuvent jouer un rôle dans cette danse des énergies.

Le renouveau du printemps




Je viens de regarder la deuxième partie de la vidéo que j’ai mise en ligne tout à l’heure, enfin, le lien et comme elle me semble encore prise dans le jeu de la dualité, je ne mets pas le lien. L’appel à se connecter, à créer une communauté, à réunir...me semble être encore à côté de la plaque. Les groupements comportent toujours des risques. Puisque chacun possède un cœur et une conscience lui permettant d’accéder à sa propre vérité, et que nous sommes essentiellement constitués d’énergies, le "rassemblement" devrait tout naturellement se faire au niveau du cœur et de la conscience. On se rejoint par notre conscience, quand on réalise que nous sommes UN. Mais cette expérience ne peut se vivre qu’à l’intérieur de soi-même et la seule chose qui me semble avoir une "utilité", c’est de témoigner, de rendre compte de ce que l’on vit. Tout comme le fait d’informer de ce qui est dans le monde pour enrichir sa compréhension et non pour prendre parti, se situer par rapport au monde mais plus, pour mieux être en soi-même, en son propre centre. 
Par résonance énergétique, la réunification intérieure amène la réunification avec les autres. Il n’y a donc pas à vouloir mais à être et rencontrer.

Vouloir ou accepter? Film d'animation, "Les 5 légendes" et Revelations – Part 1 of 2 -


Vladimir Kalinin


Rien de tel qu’une, longue nuit de repos pour avoir la frite ! Depuis quelques jours, le réveil était moyen. Comme l’impression de ne pas être parvenue à un accord pendant mes rencontres nocturnes. Avec qui ? Aucune idée mais la sensation de résister, de manquer d’éléments de compréhension pour accueillir quelque chose de nouveau. Qu’il me fallait libérer quelques vieux schémas. Le fait de recommencer à me lever la nuit pour pisser m’indique que des libérations s’effectuent au niveau des mémoires cellulaires. Les oppositions et résistances étant moins fortes la nuit puisque le mental est au repos, il semble qu’un lâcher prise puisse être réalisé plus facilement. Je me suis levée deux fois, très tôt ce matin comme pour évacuer des blocages en me recouchant et m’endormant de suite comme pour reprendre la conversation en cours. Tout ceci est évidemment de l’ordre du ressenti profond et comme je m’y fie de plus en plus, ça me donne le "culot" de le dire. De toute façon, je n’ai rien à gagner si ce n’est que de rassurer ceux qui vivent des choses similaires.

lundi 8 avril 2013

Se laisser porter par ses envies, sans culpabilité et vidéos d’humour, Abraham

Pensée du jardin


"J’ai appliqué la loi du moindre effort tout l’après midi, après quelques heures passées au jardin. Comme je n’ai plus de télé depuis maintenant trois ans, j’ai perdu l’habitude des divertissements. Trop de temps à lire les messages, à "penser" présence divine, lois universelles...
J’ai complètement zappé la séance de connexion divine de Monique Lapointe. En même temps, je me dis que ça ne m’est plus utile comme je "sais" le faire moi-même et le fait que 70 personnes aient lu ce texte me montre que j’ai bien fait de mettre cette invitation qui aura servi à quelqu’un. Et même si une seule personne y a participé, ça valait la peine de diffuser l’info.
J’étais au jardin entre midi et deux, totalement connectée à la terre mère, dans mon petit monde, mon petit coin de terre avec la chienne, les chats et le soleil éclatant, digne d’un beau jour de printemps. J’ai de quoi m’occuper, l’herbe a bien profité de la pluie et de la douceur.
Ma méditation quotidienne s’est terminée en sommeil avec un rêve qui m’a montré que je n’étais pas encore au point avec l’énergie masculine, l’autorité...

dimanche 7 avril 2013

« La loi du moindre effort »





J’avoue que j’improvise totalement sur ce thème puisque je l'intègre pas à pas mais tout ce que j’écris vient du cœur, enfin j'écris de façon spontanée. C’est peut-être les énergies des 4 accords toltèques que j’ai commencé à écouter hier. Je n’ai retenu que ce qui suit.
« Nous avons perdu la joie de l’enfant de trois ans qui est tout simplement. »

J’insiste beaucoup sur l’amour inconditionnel, la transparence, l’authenticité, ce n’est pas par hasard ni pour être à la mode, dans le mouvement « New âge ».

Plus je vis dans ces énergies et plus je me dévoile à moi-même, sans effort. 
Le seul truc que je fais, c’est de me dire tout est bien, tout est parfait. 
Seule ma vision limitée m’empêche de le voir mais ma présence divine qui s’installe chaque jour un peu plus, me le souffle, me l’inspire, me le montre.

samedi 6 avril 2013

L’amour inconditionnel de soi amène l’équilibre cœur/ego et "Vous êtes les enseignants de la société" de Jeshua reçu par Paméla Kribbe



Tomasz Alen Kopera

Le temps glacial m’a maintenue enfermée pour me protéger du vent. Cet hiver qui se prolonge me pousse à croire que nous avons tous besoin d’introspection afin d’être en mesure de finir de libérer les vieux schémas de trois D. Ceux qui concernent les définitions que nous avons des maîtres, des enseignants, les notions de supériorité, d’infériorité. Ce n’est que lorsqu’on intègre l’acceptation totale de soi qu’on est en mesure d’en faire de même avec toute vie et à moins de réaliser cela, l’élévation planétaire semble difficile à réaliser. Il n’est plus l’heure de savoir qui a tort, qui a raison mais de se tourner vers son cœur et de le laisser nous enseigner en particulier, l’amour inconditionnel qui est la seule voie qui permet la manifestation du divin en soi. Je vois que le film que j’ai posté hier, « conversation avec dieu », n’a pas eu le succès que j’escomptais. Pourtant, bien qu’il montre un homme qui enseigne dans des églises, l’idée majeure est celle que l’amour est la porte du divin en soi. Il montre aussi que le dépouillement permet de revenir à l'essentiel, l'amour inconditionnel.

Freine ! Prends conscience de tes priorités et de la valeur de tout ton être. Tony Melendez, vidéo



Jnek
Il va falloir que j’intègre vraiment la notion de priorité dans ma vie. J’avais prévu d’aller en ville pour poster la facture Internet puis à la clinique pour voir Aicha, une voisine, faire quelques courses, acheter des pieds de tomates et des graines de haricots secs qui bien qu’ils provoquent des flatulences, sont un délice. D’ailleurs là encore, ça n’est qu’une question de croyance populaire parce que ceux que je fais pousser sont si tendres qu’ils sont tout à fait digestes. De plus, les flatulences, selon Lise Bourbeau, sont le signe d’une inquiétude provoquée par la peur de manquer de quelque chose. Comme l’heure tourne et que je commençais à devoir courir pour sortir avant la fermeture des magasins, je me suis posée deux minutes pour réfléchir et revoir mon programme.
Ce qui me poussait à courir, c’était la nécessité de poster la facture pour ne pas risquer d’être coupée d’Internet. Je me suis dit que la peur motivait cet élan et que je devais réviser mes priorités, en mettant l’amour de soi en avant.
Qu’est-ce que mon corps physique dit de la situation ? Il est mon plus fidèle allié, le véhicule de mon âme, l’enveloppe sacrée qui supporte mes tâtonnements avec un amour inconditionnel exemplaire. En chacune de ces cellules vibre l’éternité, l’étincelle divine, il est le monde intérieur dont je suis le locataire...

L’ouverture du cœur élargi la vision, la compréhension




Comme chaque fois que je passe par des moments de lâcher prise et que j’y arrive, il en résulte toujours une ouverture de cœur et de conscience, j’ai une patate d’enfer, ce matin ! Je laisse les mots venir naturellement et celui –ci « enfer » est posé pour exprimer le caractère puéril de l’interprétation que la majorité des gens s’en fait. Il n’y a d’enfer que l’état d’esprit dans lequel on se situe quand on se critique, quand on se juge, que l’on ferme son cœur à l’immense amour inconditionnel dont la puissance est infinie. L’enfer, c’est la matérialisation des peurs, des énergies lourdes que tant d’êtres humains aiment à nourrir. Je ne blâme personne puisque j’ai passé les trois quarts de ma vie à porter des énergies négatives, de basses vibrations et ayant quelques éclairs de lucidité provoqués par le bien-être physique induit par les drogues qui amène une forme d’ouverture de cœur. Bien que celle-ci soit artificielle, elle m’a permise de trouver un équilibre souffrance/plaisir pour maintenir mon envie de rester sur terre.
L’ignorance de ce que nous sommes, nous plonge dans une obscurité telle qu’il devient difficile de discerner la clarté dans ce que nous vivons. L’expérience et le vécu revisité, le recul que nous prenons, nous permettent d’y voir que l’amour possède des vertus extraordinaires et que même nos ombres ont constitué un chemin qui nous a amené à ouvrir notre cœur et en même temps notre conscience. 

vendredi 5 avril 2013

Fin de soirée calme, "Conversations avec Dieu" le film d'après le livre de Neale Donald Walsch



 
Flowers World Facebook
Cette journée a vraiment été très spéciale. Elle a commencé avec beaucoup de tristesse que l’amour de soi, par le non jugement et l’acceptation de pensées et émotions négatives a rendu plus douce. Beaucoup de larmes ont coulé et plutôt que de chercher à comprendre, je me suis contentée de maintenir mon humeur égale en laissant aller la peine, la tristesse et en me disant de temps en temps, "je libère". Puis j’ai suivi mon envie, celle de ne rien faire de ce que j’avais prévu, dans un premier temps et en écoutant le moindre de mes désirs sans me tracasser. J’ai regardé un dessin animé après m’être allongée au calme sans même chercher à faire quoi que ce soit, pas de cohérence cardiaque, pas de focalisation, de visualisation, pas de questions...
Rien, juste manger, et ne pas nourrir les pensées négatives et le manque de joie que le temps gris et humide suscitaient. J’ai lu un peu puis j’ai somnolé devant l’écran. 
J’ai eu de drôles de sensation d’ouverture de conscience, d’infini, de quelque chose d’inconnu à peine identifiable et descriptible.

"Je t’aime Lydia", Marie Madeleine reçu par Paméla Kribbe: "Se sentir chez soi sur terre", vidéo Darpan et extrait "Angel-A" de Luc Besson



The return of the feminine

Pas facile à se dire en face, pourtant ces quelques mots ont un immense pouvoir guérisseur. Il m’a fallu deux heures pour "remonter la pente", pour arriver à lâcher prise et retrouver la joie d’être, tout simplement, sans justification, sans doute d’être à la bonne place, au bon endroit, au bon moment et dans Ma vérité, sur Mon chemin. La réception de cette vidéo par le site Epanews, (de la part de Laëtitia Ludivine), a fini de me convaincre d’effectuer ce lâcher prise en portant un regard amoureux sur moi-même, en sortant de l’auto-critique, du jugement. Sortez vos mouchoirs ! Si des larmes vous viennent, elles seront le signe d’un appel de votre âme, de votre enfant intérieur qui manque de reconnaissance pour exprimer pleinement la joie de vivre. Accueillez-vous à bras ouvert. La tendresse que l’on s’accorde c’est la porte grande ouverte à l’amour que nous sommes en vérité mais comme le dit l’ange dans cet extrait de film, il faut l’exprimer, il faut qu’il puisse circuler pour s’amplifier et revenir multiplié.

Extrait du film de Luc Besson :
« Angel-A »

Réaliser l’harmonie par l’acceptation de soi, "Être le pont vers la nouvelle Terre" message de Jeshua reçu par Paméla Kribbe


"The return of the divine feminine"



Ce matin, le réveil a été difficile. Des sentiments de doute, de colère. Un genre de rébellion envers mes guides. Une volonté de tout envoyer balader, de laisser tomber, d’arrêter d’écouter mon monde intérieur, de ne plus suivre les inspirations de mon cœur. J’étais écœurée de ne toujours pas pouvoir sentir l’amour, la chaleur en mon cœur, de sentir autant de résistance. J’ai appelé mes guides à se manifester. Il me semble que l’un d’eux soit Jeshua. Je me fie à mon cœur et au fait que je me sois toujours sentie portée élevée par ses messages et son énergie qui me semble si familière. Il a le don de m’attendrir, d’ouvrir mon cœur comme personne. Puis le "hasard" m’a guidé sur le site de Paméla Kribbe où j’ai eu la joie de trouver trois nouveaux messages que je me suis empressée de lire et même d’écouter. Puis les larmes ont coulé. 
J’étais en colère contre moi-même, reprochant à mon mental de m’embarquer dans des délires que je sais pourtant être ma vérité. Craignant les réactions extérieures face à mes affirmations. Redoutant d’être taxée d’opportuniste, d’être critiquée à parler d’argent de désir de servir et d’être rétribuée pour ça. Le doute revenu, a commencé à me pousser à en vouloir à mes guides de ne pas ressentir l’amour, à ne pas voir concrètement pour être certaine que je ne me laisse pas berner par mon mental ego...