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vendredi 1 février 2013

FEVER

J'ai grande envie de vous représenter une personne qui compte beaucoup pour moi.
Un exemple de ce que peux être l’affirmation de soi, de ses talents.
L'expression de la liberté incarnée.
Mêlant masculin et féminin sans complexe.
 Même si son côté exhibitionniste peut choquer, elle a le mérite d'être sincère, authentique, honnête dans sa façon d'être, de ne pas se conformer aux exigences de la société.
Elle honore tous ces aspects et ça, c'est beau.

Je vous laisse apprécier, "Fever" la reprise d'un tube de je ne sais plus qui, qu'elle a su s'approprier, revisiter à sa façon. Je ne sais pas l'âge qu'elle a mais il me semble qu'elle ne vieillisse pas.


Comme le soleil se montre encore aujourd'hui, je vais faire un tour au jardin, histoire de connecter mon soleil intérieur à l'astre haut perché dans le ciel. Je reviendrais peut-être avec une photo pour partager cette luminosité et cette chaleur naturelles.

dimanche 20 janvier 2013

Samedi 29 décembre, Joie des retrouvailles! "My way", Nina Hagen



Quel pied de retrouver mon petit clavier ! Il faut encore que j’aille chercher un écran ! Merci à Jean François de m'avoir amené cet écran qui, bien qu'il soit volumineux et que par ce fait, j'ai le nez collé dessus, me dépanne bien.
Déjà, le fait d’avoir retrouvé ma musique, mon journal de bord et mes contacts, ça va mieux !
C’est là que je me dis qu’en plus de ce que j’ai déjà vu comme « bénédictions » découlant de cette galère, s’ajoute un truc auquel je n’avais pas pensé...

jeudi 17 janvier 2013

Mercredi 19 décembre 2012, "Pureté" & Nina Hagen: "Naturträne"






Le début de ce message a été publié dans La presse galactique, le 26 décembre 2012, sous le titre: "Ton corps dit: aimes-toi"
Ce matin, tombée du lit à 3h30, je suis allée voir où en était le poêle et me suis mise à le raviver. Résultat, je suis debout. Remarque, hier soir, j’ai piqué du nez de 21h à 23h.
 J’ai rigolé de me réveiller deux ou trois fois, la tête à un centimètre de la table ! 
J’ai mon compte de sommeil. De toute façon, si mon corps me le demande, j’irais me recoucher.
C’est mon luxe personnel que de pouvoir disposer librement de mon temps. Bien que je culpabilise encore de temps en temps du fait de ne pas travailler, je reviens vite à la raison en me disant que je n’ai pas à juger le choix de mon âme mais plutôt à voir les bénédictions qu’il y a dans tout ça. 
Honnêtement, j’aime tellement la liberté que je préfère avoir un budget limité mais disposer pleinement de mon temps. Ainsi, je peux écouter mes corps et leur répondre sans contrainte. 
Il faut bien sortir des vieux schémas et ils sont nombreux. 
Le travail, dont l’origine latine est « tripallium » qui signifie engin de torture, montre bien le sens que l’humanité lui donne. Or, le travail devrait être une offrande, un don de soi. 
Il l’est pour certain, non pas selon le type d’emploi occupé mais dans la façon de le faire. On mets souvent en  avant les médecins, les infirmières, les pompiers…
Mais qu’en est-il du boulanger qui chaque jour se lève, je devrais dire chaque nuit, pour nourrir la population ? 
Celui qui se distingue et a le plus de succès, c’est certainement celui qui fait son travail avec amour. L’artisan, rien que le mot me plait, devrait être beaucoup mieux valorisé, lui qui fait son travail avec art. 
Autrefois, les artisans français étaient réputés pour leur savoir faire. J’ai toujours été admirative devant un cordonnier, un ébéniste, un luthier, un travailleur manuel qui par ses gestes précis, montre son amour pour la matière qu’il travaille. Même un boucher.