jeudi 6 octobre 2016

« Dans le contraste de la dualité ; apprendre à aimer sans condition » & films "miroirs"






La journée d’hier a révélé que la culpabilité et le jugement demeuraient en moi, enfin que ces énergies continuaient de bloquer le flux naturel de la Vie, de l'amour, de la joie..., alors j’ai offert à la source, ces pensées. 
Je suis allée à la réunion de présentation de l’association « agir ensemble » et comme je suis hypersensible, dès la veille au soir, des remontées émotionnelles se manifestaient sans que je puisse les accueillir pleinement. Je les entendais ces pensées et les offraient à la source mais le bagage émotionnel demeurait "au fond". Enfin je ne m’en suis pas rendue compte de suite puisque j’étais relativement en paix mais cette paix bien souvent, est mentale, elle résulte de la compréhension de l’intérêt de vivre sur cette fréquence. 

Il s’agit là d’une stratégie d’évitement du mental mais c’est déjà mieux que de vibrer sur la fréquence du rejet conscient, du déni et de la peur. La façon dont je me suis réveillée en colère la nuit a révélé ce refoulement émotionnel et là encore plutôt que de cogiter, j’ai confié à la source la charge de ce matériel énergétique. Cela m’a permis de me rendormir et de pouvoir me lever suffisamment tôt pour me préparer à aller sereinement à ce rendez-vous. 
Savoir se raisonner est déjà énorme parce que ça évite de ressasser mais tant que l’émotion n’est pas vécue dans la neutralité, c'est-à-dire en se positionnant en observateur neutre, les comportements d’évitement, de refoulement perdureront. 
Mais déjà en agissant au niveau de la pensée, on élève sa fréquence et l’amour circule mieux en soi. On sera prêt à regarder en face les émotions sans les craindre ou les juger.

« La vertu et le chemin de croix » Simon Leclerc





Bonjour à tous,
En transit entre deux projets de coopération internationale, je reviens vers vous pour vous partager une expérience spirituelle parmi les plus stimulantes qu’il m’ait été donné de vivre jusqu’à présent dans cette incarnation. Je vous la partage dans le but de stimuler votre propre parcours d’éveil.

Quand j’ai débuté mon cheminement spirituel, l’une des premières choses que j’ai apprises est que nous avons tous expérimenté, à divers degrés, des états de conscience expansifs, et d’autres beaucoup plus lourds, qui ont été vécus alors que nous étions, en apparence, déconnectés de notre lumière. Je dis « en apparence », car en réalité, il est impossible de vraiment se séparer de l’être de lumière que nous sommes. Mais durant l’incarnation, l’illusion de cette sensation de séparation nous paraît bien réelle.

J’ai appris que nous avons vécu des vies d’amour et de partage, mais aussi que nous avons eu d’autres expériences plus lourdes qui nous ont traumatisés. Peu importe les rôles joués, que nous ayons été victimes ou bourreaux, certaines expériences passées continuent d’être ressenties intérieurement comme des éléments à oublier de nous-mêmes. Dans ce contexte, il peut être difficile de reconnaître que nous ayons été voleur-volé, abuseur-abusé, tueur-tué, violeur-violé, traitre-trahi, etc. Cette vérité peut faire peur à priori, mais paradoxalement, lorsqu’acceptée, elle libère d’un poids important. Elle permet de revisiter une croyance populaire qui suggère que pour « revenir à la maison de Dieu », il faille redevenir pur et parfait.