J’ai
envie de parler de ce que les messages postés ce matin suscitent en moi mais
comme j’ai pas mal de choses à faire, on
verra plus tard. Pour le moment, je vais faire ma balade dans la nature, offrir
au soleil et à la terre, via la rivière, ce qui remonte à la surface depuis 24
heures.
Je pourrais même dire depuis toujours mais j’en suis consciente depuis quatre
ou cinq ans et sait le gérer depuis deux ans, à peu près. Si je parle de dates
c’est pour évoquer la ‘lenteur’ du processus d’intégration des énergies de la
source, de l’ouverture de cœur et de conscience que ça provoque. C’est encore
une chose à libérer à donner au divin en soi afin qu’il l’absorbe; l'impatience!
La notion de
temps est très relative et celle d’urgence continue de me manipuler en
coulisse. Je suis obligée de freiner, de me poser et de respirer pour retrouver
la raison, le savoir du cœur ; je suis un être éternel.
Il n’y a aucune
urgence et en se laissant porter par le désir, l’enthousiasme qui vient lorsqu’on
s’ancre à la terre, qu’on se connecte au divin intérieur, dans cet espace de
paix où rien ne vient perturber, où tout est perçu comme adéquate, le mental se
calme.
C’est le genre de croyance solidement ancrée qui nait de la peur de la
mort et qu’on porte en soi avant même de naitre.
C’est inscrit en nos gènes
mais un autre programme coexiste en ce lieu, c’est celui de la croissance éternelle,
de l’évolution et lorsqu’on libère la peur de la mort, on peut alors percevoir
l’équilibre entre ces deux programmations et l’éternité qui les sous-tend.
C’est
difficile à concevoir pour le mental mais le seul fait de savoir que je suis un
être de lumière, éternel, suffit à calmer le jeu des pourquoi et comment.
Bon
je dois aller faire quelques courses que je reporte depuis deux jours à cause
de la chaleur.