lundi 7 septembre 2015

« Le rire met le cerveau en état de méditation » Sandra Véringa & vidéo d'humour





Le rire pourrait considérablement améliorer votre santé, et pourrait être aussi bon qu’un état de méditation profonde. Ce résultat corrobore avec ce que certains chercheurs ont mis en lumière.
En étudiant la production de cortisol sur le cerveau, l’hormone du stress, les chercheurs à l’université de Loma Linda aux États-Unis ont décidé d’enquêter sur le rire pour savoir si oui ou non il avait un impact destructeur sur le corps.
Ils ont constaté que le rire réduit les effets néfastes du cortisol et pourrait être utilisé comme thérapie, offrant ainsi une solution agréable aux patients souffrant d’hypertension, de diabète ou de problèmes cardiaques.

« Les choses sont aussi simples que cela: Si une personne diminue son stress, sa mémoire se portera mieux », explique le Dr Lee Berk, qui a pris part à l’étude. 

« L’humour réduit l’action destructrice des hormones liées au stress telles que le cortisol, qui agit sur les neurones de l’hippocampe responsables du fonctionnement de la mémoire, et réduit les niveaux de pression artérielle, améliorant ainsi notre humeur », explique le chercheur.

« Un aperçu de 2016 » Magali Magdara





L'année 2016 ne sera pas une année civile dans le sens du 1er janvier au 31 décembre. 
Elle débute maintenant, avec l'énergie de transmutation qui imprègne la planète et l'unification du plasma terrestre. 

Cheminer sur une croix est du passé. Nous sommes aujourd'hui sur un hexagone qui nous apporte la complémentarité de nos pouvoirs célestes et terrestres. Et 2016 va nous faire plonger au sein de cet hexagone.

Nous avons observé à quel point les changements progressent vite, de façon exponentielle. Nous avons ressenti un éveil intérieur, vibré sur de nouvelles gammes de fréquence. 
Nous avons embrassé la Paix et ouvert nos bras à la Joie. 
Nous apprenons à nous faire confiance, à expanser notre Foi intérieure vers l'extérieur. Et nous dansons sur une musique qui appelle à nous relier à l'autre, afin d'abandonner le jugement et la défiance. Nous pansons nos plaies.

Nous voici au seuil d'une porte ouverte à partir de laquelle nous entendons un appel. 
Il provient de nous-même, de cette partie de notre individualité qui réfléchit le soleil.  
Il nous ramène à notre unité cosmique, et au renouveau de nos espoirs.

« Faire confiance à la sagesse en soi » & vidéos de Boris Cyrulnik





Il est maintenant clairement établi, grâce à Boris Cyrulnik, entre autres, que les premiers mois de la vie d’un humain déterminent sa capacité à réagir face aux difficultés de la vie mais aussi que celui-ci peut se reconstruire et acquérir la confiance et l’estime de soi, en trouvant des substituts affectifs et en exprimant ses souffrances, ça s’appelle la résilience. 

Les facteurs de résilience sont donc la capacité de dire ce qui a été traumatique, de l’écrire, de le chanter, de le peindre, le dessiner ou encore de l’exprimer au travers de personnages de roman, de théâtre…puis de trouver des êtres qui comblerons le manque affectif.

L’écriture, la tenue de ce journal, les animaux qui m’accompagnent ont été les moyens de reconstruire ma vie tout comme la lecture des messages d’êtres de lumière qui m’ont aidé à prendre conscience du divin intérieur. 
La confiance en soi se construit normalement dès l’état de fœtus comme le décrit Boris Cyrulnik dans les deux vidéos ci-dessous, mais la capacité de résilience de l’humain est bien réelle.
Ce constat est pour moi, une preuve de la multidimensionnalité de l’humain divin.
De l’intelligence tant émotionnelle, affective que mentale et spirituelle. 
La preuve indéniable que chacun est constitué d’amour et de lumière qui je le répète inlassablement sur ce blog, sont la capacité d’aimer et la sagesse innée, intérieure.

« Les effets de la méditation validés par les neurosciences » Paul Molga





Inspirées de la pratique des moines bouddhistes, les techniques méditatives agissent sur le fonctionnement et même sur la structure du cerveau, selon de nouvelles études.
 
Jusqu’à présent, le bénéfice de la méditation sur le vieillissement avait seulement été suggéré par certains travaux de la Nobel de médecine Elizabeth Blackburn. 
Une large étude américaine, conduite par l’université californienne de Davis sur 100 individus âgés de 24 à 77 ans, vient de fournir un nouvel argument à cette thèse. 
Révélée par l’imagerie par résonance magnétique (IRM), l’anatomie comparée du cerveau de la moitié d’entre ceux pratiquant régulièrement cette discipline a clairement montré une moindre altération de la matière grise que dans l’autre groupe, étranger à la pratique. 

Selon les auteurs de l’étude, l’intensité de la méditation stimulerait les dendrites (le prolongement filamenteux des neurones servant à conduire l’influx nerveux) et les synapses (la connexion des neurones entre eux). 
Cette puissante sollicitation cérébrale agirait également sur le stress, délétère pour les cellules.