Affichage des articles dont le libellé est Eduquer autrement. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Eduquer autrement. Afficher tous les articles

mardi 12 novembre 2013

Quand le « je » et le « Je » jouent ensemble et se confondent



Caras Ionut


Ce matin, je mesure à quel point je suis « isolée » du reste du monde. Non que je me sente renfermée mais plutôt différente. J’ai toujours eu cette sensation d’être en décalage. Pas forcément au-dessus des autres mais autrement, comme si ma conscience était plus « ouverte ». Loin d’être un sentiment de supériorité, ça m’a longtemps porté préjudice de me sentir autant « à part ». Déjà, à la maternelle, je me souviens m’être dit étonnée et déçue : « c’est ça qu’on nous apprend ? » Comme si j’imaginais que j’allais en savoir plus sur la nature de l’humain, le sens de la vie, la quête existentielle. 
En allant sur la presse galactique pour essayer de penser à autre chose, je suis tombée sur un article qui parle des enfants surdoués* et je m’y suis totalement reconnue, mais dans les aspects les plus « négatifs » comme l’estime de soi à regagner , le fait de n’avoir pas eu à forcer pour avoir de bons résultats à l’école jusqu’en 5ème, d’avoir appris à lire et écrire dès la maternelle et de ne pas avoir fait de primaire mais de ne pas avoir appris à apprendre ce qui m'a vite fait décrocher dès la quatrième, le fait de se sentir seul et incompris, pas même de sa propre famille, d’utiliser son intuition plutôt que le cerveau droit, l’intellect ; les émotions exacerbées, la capacité à ressentir les émotions des autres, à « lire » leurs pensées, la sensibilité à l’injustice, la quête de vérité, la lucidité qui amène beaucoup de désillusions, le fait de se lier d’amitié avec des plus âgées, l’impertinence vis-à-vis des adultes, des professeurs, le problème que pose l’orientation au lycée...Autant de capacités qui peuvent rendre inadapté socialement.

vendredi 8 novembre 2013

S'AIMER VRAIMENT, ENTIEREMENT



A Andrew Gonzales


Bien que je me sois dit au réveil que je n’écrirai pas aujourd’hui, impulsivement, je m’y colle. Même si la question suivante émerge : que peux-ton avoir à dire chaque jour ? Je me mets au clavier sans complexe et même enthousiaste à l’idée de diffuser de l’énergie d’amour véritable de soi, de confiance en soi, de joie et d’abondance. Je ne sais plus qui disait dans « Les guignols de l’info », je crois, « on nous aurait menti ? » Et bien oui ! Et le plus gros mensonge auquel nous avons cru et que nous nous plaisons à nourrir avec le plus grand masochisme, c’est l’idée de la séparation, du bien et du mal, de la nécessité de servir l’autre pour gagner le ciel...On va me dire, et c'est la réaction première de tous, "Oui mais s'il n'y a plus de mal, c'est la porte ouverte à tous les excès...." Et je répondrais une porte ouverte, c'est la possibilité de changer. Puis l'humain n'est pas fou!
Toutes ces croyances n’amènent que souffrances, division, distance, bref nous éloignent de nos aspects divin, de notre cœur et de la vérité de la source ; elle est AMOUR INFINI. Les notions de devoir, de mérite, de récompense, de privilège ne font que nourrir la jalousie, la haine, l’amertume et les regrets. Or nous sommes l’amour et nous avons pour seule responsabilité, celle de nous aimer en totalité. Je proclame ceci avec une certaine assurance parce que mon expérience quotidienne en est la preuve flagrante. Je n’ai jamais autant progressé que depuis que j’ai balayé les fausses croyances de 3D. C’est le plus bel acte d’amour que je me sois donné et qui m’ouvre sur tant de potentiels, de perspectives que je ne cesserais jamais d’en témoigner, même si parfois mon mental se fatigue dans la répétition, si mon ego se « choque »...
J’en suis à un stade où mon cœur grandit au point de couvrir mon enveloppe corporelle. C’est une image mais pas seulement. Comment peut-on amplifier l’amour de soi si ce n’est en s’autorisant à répondre à toutes les demandes d’amour de nos différents corps. A ce propos voici une citation de Marshal Rosenberg, trouvée sur Facebook :

mardi 5 novembre 2013

Message du Peuple des Chevaux, reçu par Caroline Leroux



Nicola Tancrel


Salutations! Nous sommes le peuple des Chevaux et nous faisons UN avec le Vent! De tous les animaux terrestres, vous ne trouverez pas un animal plus connecté que nous à l’élément air car lorsque nous galopons, nous devenons une partie intégrante du vent. Saviez-vous que le vent est vivant, saviez-vous qu’il y a des êtres qui habitent dans le vent? Ces êtres s’appellent les windwalkers, et ils sont nos alliés et nos guides. Ce sont eux qui murmurent à nos oreilles, qui nous avertissent des changements de température, des mouvements de la terre et du danger, même lointain. Ce sont eux qui nous guident à travers la noirceur, celle de la vie et celle de la nuit... Ce sont aussi eux qui nous maintiennent connectés à l’âme collective de nos ancêtres-chevaux. Les windwalkers sont des messagers, des anciens eux aussi.
Nous sommes le peuple des Chevaux, et notre plus grand cadeau à l’humanité est l’enseignement de ce qu’est la véritable liberté! Pas la liberté «débridée» qui erre sans but et se laisse distraire par le moindre courant d’air... La véritable liberté est celle qui est basée sur l’équilibre des choix intérieurs.
Nous, chevaux, sommes toujours connectés avec l’immatérialité de l’âme et nous savons que la vie terrestre constitue une évolution en mouvement, un retour vers ce que vous êtes depuis toujours. De ce point de vue, la liberté est un attribut divin car elle repose sur votre droit et votre obligation à faire des choix conscients et à en prendre la responsabilité à titre de créateur.
La liberté exige de vous que vous soyez toujours congruents avec ce que vous ressentez! C’est en agissant avec cohérence et avec responsabilité qu’un Être évolue et peut, un jour, connecter avec une grande vérité: nous sommes incarnés, divinités dans la matière et la mort est une illusion, un passage, l’ultime transformation!

dimanche 3 novembre 2013

Je suis ce que je suis, je n’ai rien à prouver...vidéo Isabelle Padovani: "Purification et pratiques spirituelles"



Akiko Hoshino


Malgré une nuit de sommeil relativement longue, j’étais tendue au réveil. Il y a bien longtemps que je n’avais pas fait la gueule de bon matin. Puis, au fur et à mesure que j’ai accueillies avec douceur, toutes les parts intérieures, la paix est revenue. La tendresse s’écoule maintenant par mes yeux en des larmes réconfortantes. Tant que je cherchais à comprendre ce que me reflétait la situation, j’étais mal à l’aise à l’idée de reproduire les mêmes vieux schémas. Les reproches que je me faisais amplifiaient le mal-être puis j’ai lâché tout questionnement. En écoutant une des deux dernières vidéos* mises en ligne par Isabelle Padovani, j’ai senti peu à peu mon enfant intérieur retrouver la joie qui découle de se sentir accepté, accueilli.
Le plus grand tort qu’on puisse se faire, c’est de se critiquer, de rejeter les parts les plus sensibles de soi-même tout comme les plus rigides, nos extrêmes.
Quand nous sommes face à un autre qui nous reflète nos ombres,-dans le sens où elles étaient cachées et se révèlent et non dans une notion de bien ou de mal-, nous avons tendance à croire que c'est l’autre qui marche de travers. Tout le temps que nous passerons à comprendre ce qui nous dérange en l’autre créera une distance avec notre cœur et la réalité, jusqu’au moment où nous reprendrons conscience qu’il nous reflète ce que nous ne voulons pas voir en nous. Ce qui nous dérange le plus et que nous voulons à tout prix changer.
On a beau le savoir et y croire, pour l’avoir vérifié des milliers de fois, on retombe très souvent dans le panneau ! C’est le moment d’accueillir ces voix qui répètent ; 


« Tu devrais, il faudrait, comment peux-tu continuer d’ignorer, de ne pas appliquer ce que tu sais ? Comment peux-tu encore te faire avoir, t’identifier à ce qui n’est pas ta nature véritable »...

Tant qu’on entretient ce dialogue interne, en s’identifiant à une de ces voix, on reste coincé. Je sais, je répète encore et encore les mêmes choses. Mais comme rien n’est vécu ou dit par hasard, je laisse aller mes doigts sur le clavier sans chercher à savoir qui lira ces mots, à qui ça pourra profiter et surtout qui les rejettera en se disant : « elle rabâche encore ». 

jeudi 31 octobre 2013

Animal Totem 2013 Le Condor, reçu par Caroline Leroux



Condor, mâle adulte


Un nouveau message reçu par Caroline Leroux que je publie seulement parce qu’il dépeint tout à fait ce que nous vivons présentement. Les « prédictions » ont pour but de nous guider et elles ne me sont utiles que pour vérifier que je suis sur le chemin. Mais cette route unique et personnelle est à tracer au jour le jour, selon l’inspiration du cœur. C’est à mon sens tout l’intérêt de ce voyage au cœur de tout ce que nous sommes. Nous avons tout en nous et lire ces mots me le confirme. En suivant sa propre guidance nous empruntons un chemin unique où nous rejoignions tous ceux qui vivent à partir du cœur. Suivre son cœur, c’est être assuré que tout se déroulera pour notre plus grand bien. Même si ce mot "cœur" tout comme "amour" ont été galvaudés, ils restent la seule direction qui a le pouvoir de tout réunir en un lieu commun. Faisons en sorte de retrouver la juste valeur de ces énergies, de leur redonner toute la noblesse, la beauté, la profondeur...qu'elles portent en les invitant à circuler et à rayonner en tout notre être. Effectuons donc un tour d'horizon, un voyage dans les profondeurs en prenant la hauteur nécessaire au recul, au détachement, en compagnie des énergies de cet animal majestueux.

mercredi 30 octobre 2013

Message du Peuple des Chiens reçu par Caroline Leroux






Nous voilà enfin! C’est à notre tour de vous parler! Nous sommes si heureux de partager notre joie avec vous. Pourquoi sommes-nous si heureux? Mais parce que la vie est un grand jeu, voyons donc! Voulez-vous venir dehors avec nous? Il y a tant d’odeurs à humer, de courses folles à faire, de balles bondissantes à attraper, de gazon frais à fouler, d’amis canins qui nous attendent, et quoi dire de l’air frais, du vent qui nous chatouille, nous pousse, nous freine et joue avec nous...
Qu’attendez-vous donc, l’air renfrogné? Il n’y a pas un instant à perdre. Il nous faut aller de l’avant dans le redécouverte constante du moment présent qui nous appelle. Il n’y a jamais un moment pareil à l’autre, il n’y a qu’une suite d’instants remplis de sensations affriolantes. Venez jouer, chers amis humains. Sortez de votre inquiétude et vous découvrirez un nouveau monde. C’est là que nous vivons, nous les chiens, et c’est là que nous tentons de vous amener le plus souvent possible! Au diable les soucis, allons faire un tour. La vie n’est pas soucis, elle est. Point. Pour la capter dans sa plus grande beauté, il vous faut jouer. Les enfants l’ont bien compris, et c’est pourquoi nous aimons bien leur compagnie! Tous deux -chiens et enfant- nous savons partager la magie du moment présent. Ceux d’entre vous qui avez eu la compagnie d’un Être canin dans l’enfance savent bien qu’il n’est pas facile de retrouver une telle complicité!
Nous les chiens, nous nous ancrons dans le jeu, la joie du moment présent, la conscience du corps et l’amour inconditionnel ou, si vous préférez, l’acceptation. Nous sommes incapables de juger les humains qui se présentent à nous car nous n’avons pas de barème de jugement du bien ou du mal. Nous vivons à l’extérieur de cette conscience qui est d’abord sociale.

Un jour nouveau de plus...vidéos Isabelle Padovani et Caroline Leroux




Féliz "dérangé"en séance minutieuse de toilettage

« Meo », Voilà le son qui m’a sortie de mon sommeil à trois heures du mat’ ! « Poufion de Pouton » (un des nombreux noms de ce chat, l'amoureux reflet de mon cœur) à été ma réponse. La journée commençait bien, dans la spontanéité, sans complexes ni culpabilité, même pas honte d’en parler ! Je n’avais pas remis le radio réveil à l’heure après la coupure électrique d’hier et du coup, je me suis levée comme je me sentais suffisamment reposée. Il faut dire que j’étais couchée à 21h hier soir. Je ne me fie plus du tout au temps de la société préférant suivre les mouvements intérieurs, les envies et besoins de mes corps. Bien que je réponde encore, en premier, à celui qui s’exprime le plus fortement, j’apprends à pacifier tous ces aspects invisibles mais néanmoins réels, de ma personnalité. Enfin de mon être puisque tout ce que je suis est l’humain divin et que je me considère entière, intègre dans l’unité de ce qui me compose. Comme mes intentions sont l’amour, la paix et la joie, je m’exerce à accueillir ce qui est, dans la neutralité, disons plutôt dans l’acceptation. La neutralité peut être confondue avec l’indifférence, l’insensibilité or la sensation émotionnelle de la tendresse est essentielle. Les côtés fragiles de l’humain permettant la connexion aux forces divines intérieures par le cœur, dans cet espace où tout s’unifie, je ne m’en prive surtout pas. Disons plutôt que j'apprends à laisser cette vulnérabilité exister en moi, peu à peu, par la désagrégation de la carapace chimique . Je suis heureuse d’avoir retrouvé l’assurance née de la clarté et mon « discours » d’hier avec « l’invisible » a porté ses fruits amenant détente, calme et sensation d’être enfin moi-même. Je reste convaincue de m'être adressée à des entités égarées puisque je fais le même constat à chaque fois. La différence de mon état d'esprit avant et après le "contact", est indéniable. Toutefois, ça reste une expérience et une "méthode" dont le seul but est de retrouver la paix intérieure et l'intégrité. En même temps, ça conforte ma foi en l'humain divin éternel et en la mort qui est juste une porte d'accès à une autre dimension, une transformation comme une autre, faisant partie du cycle évolutif de la création.