La
lecture de l'article de Chantal Attia arrive au moment où j’envisage les
bouffées de chaleur comme une forme d’auto-régulation énergétique que
j’ai choisi d'accompagner. Plutôt que de râler, de me plaindre et de cette façon, d’y
résister, j’expérimente l’acceptation de ce qui est, par le dialogue avec le
corps physique, les corps subtils, afin d’accompagner ce travail interne.
Je
pensais hier, qu’il était dommage d’attendre de souffrir, qu’il y ait un
dysfonctionnement interne, pour oser s’adresser à cette intelligence divine qui
habite le corps humain. D’un autre côté, c’est assez logique dans ce monde de
contraste où nous agissons par stimulation.
Lorsqu’on
est malheureux, on cherche l’amour, le bien-être et c’est souvent là qu’on
trouve la paix. De la même façon une émotion dite négative nous pousse à
chercher son contraire. Puis par l'alchimie des pensées émotions, on découvre, par effet contraste, en prenant du recul, la source d'amour lumière que nous sommes en vérité.
Savoir
que les différents corps qui nous composent sont intelligents, vivants,
autonomes et réceptifs, a changé ma perception de ce que je suis et me pousse à
dialoguer avec ces aspects de l’être dont chacun est indispensable au bon
fonctionnement de l’ensemble.
C’est l’intuition, le ressenti, qui m’ont amené à
agir de cette façon à leur égard et là encore, c’est un signe de cette
intelligence, de cette sagesse innée, qui habite chacun.
Et
ce qui me pousse à persévérer en ce sens, c’est que ça marche !