mardi 14 juin 2016

« Qu'est-ce que l'évolution ? » les êtres de lumière via Monique Mathieu & MétaClé (vidéo) de Jérôme Matanaël





« Chacun de vous a vécu et vit de multiples expériences. Parfois les êtres humains se révoltent par rapport à elles car ils ne les comprennent pas, ils les trouvent injustes.

Toute expérience, quelle qu'elle soit, a une grande utilité, parce qu'elle permet à l'être de se transformer ; tant que la leçon d'une expérience n'a pas été comprise, elle sera renouvelée jusqu'à ce que les êtres arrivent à comprendre la raison pour laquelle ils la vivent et quel bénéfice ils doivent en retirer.

Il n'y a rien d'injuste, car toutes les expériences, quelles qu'elles soient, sont évolutives ! Nous disons que même les expériences vécues dans la joie, dans le bonheur ou dans l'Amour sont évolutives. 
Il ne faut pas croire que seules les expériences inférieures fassent évoluer les êtres ! 
Vous évoluez au travers de la joie, du bonheur, de l'Amour, de la fraternité ou de l'amitié.

Alors, qu'est-ce réellement que l’évolution ?
L'évolution, c'est l'énergie que vous pouvez intégrer à travers une expérience.
Si vous considérez que, fondamentalement, tout est énergie, y compris les sentiments et les émotions (inférieures ou supérieures), alors la quintessence d'une expérience comprise est réellement l'énergie qui sera intégrée par votre âme.

« Je suis Lumière, je suis Amour, je suis Paix, je suis Joie » & lien "Partage Vibral" avec Magali





Je suis très émotive ce matin et c’est après avoir vu une vidéo de la spa au sujet des abandons au moment des vacances, que les larmes ont coulé. Je parle quelque fois de ce phénomène rare chez moi, parce que le fait de pleurer est un signe d’ouverture de cœur, c’est une forme de lâcher prise naturel, un déversement de tendresse, de détente de tous les corps et surtout du mental/émotionnel. 
Lorsqu’on ne cherche pas à retenir les larmes ni à en faire une occasion de se plaindre, c’est l’amour pur de la source qui s’écoule à l’intérieur, notre moi profond qui s'exprime ! Et j'ai longtemps cru qu'il fallait les retenir tant pour ne pas montrer sa vulnérabilité que lorsque j'ai commencé à comprendre qu'il me fallait lâcher le rôle de la victime. 
C'est encore une interprétation faussée du mental conditionné qui croit qu'en contrôlant une part de soi, une expression spontanée, on élimine le masque ou le problème...

Le fait d’avoir soignée/accueillie la crise de colique néphrétique d’hier en offrant à la source les pensées émotions de peur que ça suscitait puis en suivant l’intuition, m’a ouvert encore plus le cœur et la conscience au sujet de la création délibérée.
Au passage, "soin" et "attention" sont synonymes. Là encore ça n'est pas un hasard, la focalisation de la conscience, l'amour lumière porté sur l'ombre ou la douleur, les transforment, les guérissent. 

Le processus de création délibérée, bien que complexe, est tout à fait réalisable mais ça demande du temps, de l'apprentissage et avant tout une déconstruction de nos croyances anciennes. Ce qui explique la lenteur du processus étant donné les nombreux conditionnements humains.

On ne se rend pas compte à quel point la métamorphose d’un individu qui s’identifie à juste titre à la victime, relativement à ce qu’il a vécu enfant, à l’être véritable et autonome, représente une extraordinaire révolution interne qui affecte tous nos corps. 
Ça n’a rien à voir avec de la magie/illusion agissant en surface, c’est une véritable alchimie interne qui va se vivre à tous les étages, dans tous les chakras, dans tous les corps. 

« Offrir la douleur physique à la Source »





13 06 En éditant ce que j’ai écrit hier, je me rends compte avec un peu de recul que cet élan à remercier mon corps physique, à lui parler, m’a préparée à accueillir la douleur aiguë au rein droit. Je suppose que ce sont des calculs et je suis assez satisfaite d’avoir pu accueillir cela sans que le mental ne s’affole et sans me jeter sur les médicaments pour effacer la douleur. Il s’est posé tout un tas de question mais j’ai pu le rassurer et ainsi calmer le flot des pensées d’angoisse. Déjà, hier soir, je sentais que ça me tirait légèrement et j’ai eu un peu de mal à m’endormir. 
J’ai déjà eu ce genre de symptôme et c’est aussi pour ça que je ne me suis pas stressée puisque non seulement la médecine ne peut rien faire d’autre que de donner des anti douleurs mais en plus, le fait d’avoir compris la raison métaphysique du trouble puis d’avoir agit en conséquence, a supprimé la douleur. Quand je dis "comprendre" la raison du symptômes, il s'agit plutôt de ne pas réagir comme avant, c'est à dire par peur.

Je somatise toujours et cette fois-ci, sans aller chercher le sens de cela dans le dictionnaire des causes métaphysiques des maladies de Lise Bourbeau, je me contente de calmer le mental et d’être réceptive à l’intuition.
La première chose qui me vient c’est « bois ». Un seul mot qui émerge sans même que je me pose la question et ça convient parfaitement à la logique du mental qui peut le confirmer puisque que ces derniers jours, je ne me suis pas beaucoup hydratée alors que je transpire beaucoup. J'ai eu des signes à ce sujet que je n'ai pas écouté comme le mal de crâne, l'urine très odorante et très colorée. Entre les bouffées de chaleur et l’activité au jardin, j’élimine beaucoup alors évidemment, si je ne bois pas assez, ça coince. 

Depuis que j’ai vécu le miracle de guérison des deux hépatites, je ne courre plus chez un médecin quand quelque chose cloche, je tente de définir ce que c’est et de me soigner à ma façon.