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vendredi 11 novembre 2016

« Utiliser les circonstances pour se centrer et se libérer de la forme, des croyances »





10/11 Il est clair que plus le monde semble chaotique, plus l’extérieur est troublant, plus ça demande de faire la clarté en soi, de se positionner dans ses choix, de s’ancrer dans sa réalité. Moins on s’éparpille, moins on se projette vers l’extérieur, mentalement et émotionnellement et plus on se sent serein, puissant, confiant,  malgré ce qu’on peut percevoir dans le monde. Et d’ailleurs comme le mental ne peut pas être à la fois focalisé sur le cœur et sur l’extérieur, lorsqu’on vient au centre de l’être, l’extérieur ne suscite plus de réaction. Peu à peu, à mesure que le mental émotionnel se stabilise, s’équilibre, ce que vit le monde ne nous touche plus.

Ce n’est pas une fuite non plus mais plutôt la conséquence d’une évidence, la vision depuis le cœur est claire, on sait où se situe notre responsabilité, notre potentiel et notre champ d’action. 
Notre potentiel se déploie depuis cette reconnaissance de qui nous sommes et la conscience que c’est la part divine, éclairée, beaucoup plus vaste, qui agit, qui crée, qui a tous pouvoirs. 
Le premier, c’est d’apaiser la personnalité et d’éclairer sa vision.   
Les outils sont la transparence envers soi, la capacité à se positionner dans le centre et à choisir à chaque instant la paix et l’unité. 
La transparence permet de voir en soi, de distinguer les rôles, les personnages, de l’être véritable. 
Nous avons le réflexe de projeter vers l’extérieur, par instinct de survie, ce que nous ressentons en nous-même, ce qui nous dérange. De ce fait nous nous éparpillons et nourrissons l’illusion, l’illusion de l’impuissance, du pouvoir et des jeux de rôle.

dimanche 10 avril 2016

« Souviens toi : quelque chose de plus grand que toi est à l’œuvre » & « Mune, le gardien de la lune »





Bientôt quatre ans que je parle de l’enfant intérieur, de la nécessité de le laisser exprimer tout ce qu’il porte, les blessures, les croyances et les pensés émotions douloureuses. 
J’en parle mais surtout, je le vis et c’est pour cette raison que je ne peux m’empêcher de partager cette expérience magnifique qui demande tout de même courage, patience et foi. 

Du courage parce qu’on a peur de soi-même, de la puissance, l'intensité de ses propres émotions, des pensées sombres qui peuvent nous traverser, on craint d’être englouti alors on retient, on bloque, on fait diversion, on fait tout pour ne pas regarder à l’intérieur, dans les profondeurs de l’être. 

Pourtant, c’est là que se trouvent nos plus grands trésors ! 
Une immense patience est nécessaire parce que les vieux réflexes sont tenaces et dans ce processus de libération, de renaissance même, il faut aborder les choses avec la plus grand compassion pour soi-même, agir exactement à l’inverse des stratégies de l’ego. 
Ces stratégies que sont la fuite, qu’elle soit dans les drogues, les anti-dépresseurs, toute forme d’excès mais aussi l’attachement à une doctrine, un « maitre », un mouvement politique, religieux, la dépendance amoureuse, sexuelle, alimentaire, l’agression contre soi-même ou les autres, la poursuite d’un idéal illusoire, d’un modèle de perfection inabordable...  
Ces stratégies contiennent pourtant en substance, les clefs, les réponses, les caractéristiques de notre âme, ses ‘besoins’/envies, ses dons et talents.

samedi 2 avril 2016

« Lâcher les pensées émotions du rôle de victime et focaliser l'attention sur ce que l'on veut vivre » & dessin animé (lien)






Ce matin, je me suis réveillé dans le même état d’esprit qu’hier soir, dans la colère, les idées noires en voyant le ciel encore chargé de nuages dus aux épandages aériens. 
Je n’en peux puis plus de ne pas voir le soleil depuis des jours. La colère envers mon âme s’est aussi exprimée parce que je suis partie de ma région natale à cause entre autre du temps pourri et je me retrouve ici, avec les mêmes circonstances extérieures. 

Je sais pourtant que les pensées émotions sur lesquelles on se focalise définissent l’état d’être mais d’un autre côté, feindre, tricher, contenir ses pensées n’est pas du tout une solution non plus. 
Alors je vide mon sac, laisse tout sortir sans chercher à contenir ou à adopter une attitude fayotte vis-à-vis de l’âme.

Je sais au fond qu’elle me parle tout le temps mais dans ces moments là, je suis imperméable à ces clins d’œil, aux synchronicités. 
C’est aussi dans ces situations que je peux mesurer la force des pensées et l’amplification du mal-être par le phénomène de résonance qui attire des pensées similaires. Et peut-être même des entités mais je n’entre pas dans cette voie qui de toute façon est non seulement aléatoire mais en plus ça nourrit l’idée d’impuissance, de victime.

mardi 8 mars 2016

« La stabilité dans le mouvement, l'impermanence » & dessin animé « Adama »





Ce matin, je suis face à mes profondeurs, mes limites dans la relation à l’autre et ça n’est pas évident ! La culpabilité, la peur de mal faire, d’être trop directe et finalement de compliquer les choses, tout est en train de remonter mais heureusement quelques connaissances de base m’aident à ne pas être emportée par tout ça. Je remets beaucoup de choses en question et constate une fois de plus que ce qu’on affirme avec force est souvent le reflet de ce qui est déséquilibré en soi.

Au sujet de l’amour, c’est un sujet tellement vaste et il a tellement de formes d’expression, de façon de se manifester qu’il n’est pas toujours évident de savoir s’il s’agit d’amour véritable ou de projections mentales et émotionnelles, de croyances. Certainement un peu des deux. 
Alors dans un premier temps, accepter de ne pas comprendre, de ne pas se comprendre en profondeur et d’être faillible, c’est déjà faire un  pas vers l’enfant en soi. Puis ne pas le rejeter, l’accuser, l’incriminer, ne pas nier ce qu’il exprime, oser confier cela à la source en ayant confiance que tout va s’équilibrer, que la clarté viendra. 
On se dit alors que l’impermanence est une réalité de ce monde, de la vie. 
J’ai encore du mal à vivre ses mouvements d’humeurs, mais comme la paix est malgré tout présente, je ne me laisse pas impressionner.

samedi 21 novembre 2015

« La dualité : outil de connaissance et de réalisation » & dessins animés





Ce matin, j’ai une belle énergie en moi, un dynamisme et un enthousiasme comme  je n’ai jamais eu ! Je suis tellement convaincue par l’efficacité des lois universelles et de mon pouvoir créateur que la vie prend un tout autre sens et j’ai la forte sensation d’être passée dans un autre monde, celui de la créativité joyeuse
Un nouveau saut quantique que je pressens comme très fructueux, très concret et extrêmement simplifié malgré le côté merveilleux du truc.

La compréhension de l'intention au point zéro qui vient quand on cesse de juger, de vouloir à tout prix que le bien remporte la victoire sur le mal, sur la terre, de vouloir changer les choses en force par l’intellect et ses stratégies guerrières qui mènent droit dans le mur…(et ça fait mal !) nous ramène en notre pouvoir.
Tout ça commence à se placer, s’ancrer en moi d’une façon tellement simple et logique presque enfantine ! 
Je me suis réveillée avec des images concepts comme je les appelle, des images qui contiennent une idée, un principe essentiel pour comprendre une loi ou ce que je suis, qui m'ouvre des perspectives immenses et ancrent ma foi en profondeur.

La journée d’hier à été très bizarre parce que je l’ai vécue "à l’envers". J’ai pris ma douche en fin de journée, au repas, j’ai fini par de la soupe, et je me suis rappelée d’avoir lu il y a pas mal de temps un message qui parlait de retournement des pôles. 
J'en ai rit parce que je me suis dit que c'était le signe que je reprenais mon pouvoir de créer, d'agir en toute liberté selon l'élan de l'instant, selon la joie, l'enthousiasme, l'envie du moment, de nager à contre courant du monde sans en souffrir, sans me sentir larguée ou bizarre, au contraire, en suivant le flux de la joie en moi!

vendredi 20 novembre 2015

« Il y a les faits et il y a ce que j’en fais » & « Vice-Versa » dessin animé






Comme la sagesse populaire le dit, « la nuit porte conseil ». J’ai fait l’erreur hier de parcourir la page d’accueil de face de bouc qui liste tous les posts de mes amis et mon taux vibratoire a baissé peu à peu en voyant que les stratégies de manipulation de masse mènent la majorité des gens. 
Il y a ceux qui sont dans la révolte et c’est bien naturel quand on a un cœur sensible, qu’on rêve de paix et d’harmonie. Puis il y a ceux qui nourrissent le désir de vengeance qui veulent résoudre la situation par la violence. D’autres dont j’ai tendance à faire partie quand j’oublie qui je suis en vérité, qui sont dans la tristesse et perdent un peu l’espoir de voir enfin ce monde vivre dans la paix et l’amour.

Ça peut sembler tellement utopiste mais en même temps, quand on sait et ressens le pouvoir de la paix et de l’amour en soi, on ne doute pas que ce soit possible.
On comprend alors que ce sont nos attentes qui nous font souffrir, le fait de vouloir convaincre l’autre à tout prix et même la violence qui réside dans le fait de vouloir que le monde se conforme à notre volonté.

Il est bien difficile d’admettre notre pouvoir parce que ça nous demande de prendre la responsabilité de notre monde intérieur, de notre ressenti et que c’est en nous même que nous devons vivre selon notre vision, nos rêves de paix et d’harmonie. 
Alors, je reviens en mon cœur, dans l’intimité de la connexion à la source, à l’amour lumière en moi et ma vision tout comme ma vibration changent.

jeudi 5 mars 2015

« L'illusion de l'image, de la forme » & vidéo d'éveil





Je me sens toute légère ce matin malgré les cinq heures de sommeil mais sans interruptions ! La première pensée qui est venu c’est la phrase d’un gamin de la série d’animation « Les têtes à claques ». C’est tout bête mais ça signifie que l’inconscient s’est effectivement vidé du poids du passé, du rôle de la victime, de la souffrance, que mon enfant intérieur est joyeux puisqu’il chante et même si les paroles de cette chanson sont débiles, le message qui est derrière, révèle qu’il me faut encore lâcher l’accusation et la colère face aux horreurs commises par les gens de pouvoir. 
Puis en laissant monter les pensés à la lecture d’articles diffusés par mes « amis » sur Google+, ceci m’a été confirmé. 
Une autre chose significative, c’est que mon  corps physique me parle d’une façon nouvelle qui me va tout à fait, à travers le goût. Je n’ai pas pu boire mon café du matin parce que je l’ai trouvé dégueulasse. J’ai tenté le coup une deuxième foi mais même constat. Pourtant, c’est le même paquet qu’hier, la même eau…
J'avais diminué les doses parce que je sentais que ça n'était pas bon pour moi puisque c'est un excitant et mon but, c'est d'être en paix. Mais je n'ai pas critiqué ça, j'en ai juste fait le constat et j'ai fait confiance. Une nouvelle piste de réflexion vis à vis de la dépendance...

dimanche 1 mars 2015

« Manifester sa réalité, en conscience » & « Brendan et le secret de Kells » dessin animé






Je vais exploser d’amour, de joie, de désir tellement tout s'améliore à une vitesse incroyable ! 
Nous y sommes, nous avons le pouvoir de manifester nos plus beaux rêves ! Et je sais de quoi je parle parce que ce que j’ai vécu hier en est la preuve irréfutable. 
Bon, c’est à travers mes créations issues de la peur que j’en aie mesuré l’impact mais ce que je retiens de ce vécu et qui est essentiel, la manifestation instantanée est effective ! 
Ce qui veut dire que la phase de « guérison » n’est plus d’actualité, du moins pour moi. Disons plutôt que celle-ci est arrivée au stade de la création consciente, où l’inconscient peut-être modelé sans que l'auto-sabotage soit systématique. 
Évidemment l'accueil émotionnel est toujours de rigueur puisque gérer son corps émotionnel est indispensable au processus de création mais le temps de la grâce est arrivé. Pour certains, c’est déjà une réalité mais ce qui est nouveau, c’est que les énergies permettent de passer à un niveau supérieur de compréhension et de manifestation.
Je me souviens de mon rêve (un bénéfice de l'arrêt de la fumette) et j’étais avec une personne avec qui j’ai vécu durant huit ans. Record battu pour quelqu’un qui ne veut pas emprisonner l’amour ! Nous avions fini par habiter chacun chez soi puis ma rencontre avec le Christ a tout bouleversé. J’ai choisi d’embrasser l’amour universel, personnifié par celui que je sais maintenant, avec certitude, être mon guide, mais ce choix a entrainé une culpabilité que j‘aie simplement relâchée cette nuit. Nous avons bavardé amicalement sans qu'aucun désir ou trouble n'apparaisse, comme si l'histoire était réglée au niveau inconscient.

dimanche 19 mai 2013

Hommage à l’enfant intérieur, vidéos chansons animées.




Le ciel, les énergies, la terre, tout m’amène à rentrer à la maison, à l’intérieur de mon être, à retourner à la source, à l'essentiel. J’ai la sensation que tout est vain, que la seule chose à faire, c’est de s’abandonner à ce qui vient. Je ne sais pas quoi exactement mais je ressens très fortement un vide immense. Comme si plus aucune attache n’existait. Tout me semble futile. Plus rien ne ressemble à rien même les mots ne peuvent décrire ce ressenti profond. Je n’ai croisé que deux personnes dans toute la matinée.    
Je suis allée voir mon copain le chêne que j’ai embrassé comme quand j’étais enfant, avec la certitude de retrouver un ami intime. Je suis toujours impressionnée par sa stature, la force de son tronc rugueux et en même temps la fragilité de ses feuilles. J’ai coupé des roseaux pour tenir les pieds de tomates et marché jusqu’à la rivière qui coule avec une force incroyable. La violence du courant m’a donné l’impression d’être une toute petite chose fragile. C’est dans ce genre de situation que je me remercie d’avoir libéré des peurs, affirmé ma foi et engrangé suffisamment de confiance en la bienveillance de mes aspects divin pour pouvoir être sereine. J’ai pris l’habitude de consoler l’enfant intérieur, de ne plus m’affoler et de revenir à ma vérité, mon désir d’unité qui procure une paix inconnue jusqu’à maintenant. Plus j’appelle la facilité et moins j’oppose de résistance à ce qui est. Je me contente de prendre les choses comme elles viennent sans plus chercher à trop comprendre. Des réponses ou plutôt des moments de clarté m'amènent à voir facilement certaines choses sur lesquelles je bloquais. Je continue de nourrir ma foi par la simplicité.
Les images et les sons, permettent une intégration facile et légère des vérités essentielles. Voici quelques vidéos de chansons illustrées par le dessin animé. Celles des Beatles sont confectionnées avec le jeu vidéo Dreamscape.
Comme la lettre de diffusion ne publie pas les liens des vidéos, cliquez ci-dessous pour les voir sur le blog:


 
Ceux de ma génération se souviendront certainement de ce qui suit:

« Love is all »
Roger Glover

dimanche 24 février 2013

Création et récréation, "Source des lumières" vidéo




Ce matin, tombée du lit à 5h30, je me suis levée contrariée. Déjà mon amoureux n’a pas accompagné ma nuit et je me sentais électrique. Peut-être que la lune qui sera bientôt pleine, agit sur mon humeur car il y a longtemps que je ne me suis par réveillée bougon. J’ai tout de même commencé la journée par mes rituels quotidiens. 
Le contact à la terre mère et l’offrande sur le trône, hommage à sa générosité, en toute intimité. Cet acte commun  à tous est cependant classé dans les choses taboues dont on ne peut parler sans se sentir gêné. Pourtant c’est le signe que le corps a été bien nourri, que l’estomac une fois de plus, a rempli sa mission à la perfection. 
Je le considère comme un acte sacré qui libère l’hier, afin de commencer une nouvelle journée.