samedi 21 mars 2015

« Jean Jacques Crèvecœur…la 5e vidéo : "La pédagogie" et une autre: résumé des précédentes »





Voilà qui va sûrement faire plaisir à ceux qui ont zappé les quatre premières vidéos puisqu’on peut voir un résumé des précédentes conférences et la cinquième de la série qui aborde le thème de la pédagogie. C'est sympa de sa part d'avoir tenu compte des commentaires.
Je ne l’ai pas encore visionnée mais cette fois-ci, j’essaierai de le faire avant son retrait, le dimanche 29 mars, sans attendre le dernier moment. De toute façon ce dimanche là, c’est le jour de mes cinquante ans ! 
Déjà un demi siècle sur cette terre et quelle ‘ascension’, des profondeurs de la peur en passant par les feux des psychotropes, la fuite dans le rêve New âge, la redescente consciente et volontaire dans mes profondeurs, guidée en tous temps par l’essence d’amour et de lumière intérieure, jusqu’au cœur de l’amour, en mon propre cœur et dans la lumière de son espace infini, sans changer de corps ! 
Une vie bien remplie et maintenant la paix de l’esprit.

« Utiliser les circonstances pour puiser en moi ce dont j'ai besoin...et reconnaitre l'abondance de ressources intérieures et extérieures »





Depuis hier, je suis décalée dans le temps, je pensais qu’on était samedi, pour cette raison, j’avais décidé d’aller au marché et c’est la boulangère qui m’a ramenée au présent. Heureusement que j’ai passé beaucoup de temps dans la salle de bain, ce qui m’a obligée à revoir mon planning sinon je serais arrivée sur une place déserte ! Et aujourd’hui, rebelote, j’ai dans l’idée qu’on est dimanche ! Il y a quelque chose en moi qui se libère, se détend mais qui côtoie l’habitude de courir. 
La conscience et l’inconscient ne sont pas encore en phase mais ça ne suscite aucune colère, tristesse, sentiment de perte ou encore des critiques. Et pour le moment ça me va bien, je n’ai pas envie de forcer quoi que ce soit, j’accepte ce décalage naturel qui m’invite juste à être plus présente à mon corps physique, à l’instant. 
Ce n’est qu’une question d’équilibre, de stabilité que je ne vais pas tenter de créer mentalement en expliquant par exemple à mon mental, l’importance d’être alignée, centrée, ancrée…
Je continue de suivre l’élan du moment et d’écouter les idées spontanées, éclairs, qui se manifestent lorsque le mental est en paix. Je continue de « consoler » l’enfant intérieur s’il manifeste le sentiment d’injustice, sachant que c’est mon aspect pensant-émotionnel qui se stabilise dans l’acceptation de ce qui est. 
J’ai encore quelques résistances mentales mais mon âme me guide toujours à revenir au cœur, à calmer les pensées et les émotions mais c’est beaucoup moins intellectualisé. C'est-à-dire que je n’ai plus besoin de « parlementer » avec les aspects intérieurs. Je fais de plus en plus confiance à la vie, aux différents corps qui me constituent et aux énergies masculine et féminine qui ne sont plus trop en conflit. Mon sommeil semble aussi profiter de cette acceptation générale parce que mes nuits s’allongent de plus en plus.