mardi 9 février 2016

« La relation de couple divin » Fabrice Palmer…commence en soi-même…





Ce matin, je me suis levée tôt parce que malgré que j’aie apprécié de dormir longtemps la nuit dernière, j’ai été frustrée de ne pas avoir assez de temps pour faire tout ce que j’avais envie de réaliser. 
J’ai tellement d’idées, d’envie de créer, de répondre à cette passion d’être qui m’habite avec plus d’intensité chaque jour, que je courre après le temps. 
D’un autre côté, ça m’oblige à me centrer régulièrement et je sais pertinemment que c’est une façon pour le mental de participer activement à la libération de la dépendance. 
Une réaction à la peur du manque qui le pousse à vouloir agir, être à fond dans le faire pour ne pas faire face à la peur du vide. 
Une dynamique logique dans la dualité, où le vide appelle au remplissage. 
Même si je conçois ce "néant" comme un réservoir de potentiel, l’instinct de survie pousse à agir et le mental s'active, cherche, imagine, projette... 

Et en cela je vois encore une dynamique du contexte de la dualité. 
Les forces qui se mobilisent pour répondre à la peur permettent de cultiver l’imagination, de focaliser son attention sur ses objectifs, d’affirmer ses choix, d’utiliser son pouvoir créateur, d’apprendre à connaitre les énergies et à les utiliser pour créer dans la matière par la volonté et la détermination. 
En soi, c’est quelque chose de positif mais d’un autre côté, je sens que ça créé des tensions, que c’est excessif et déséquilibré. C'est aussi ce qui me donne la sensation d'être vivante, d'habiter l'espace, de reprendre ma place, au moins dans la pensée et la gestion de mon temps, de reprendre mon pouvoir de créer.
Alors de temps en temps, je reviens au centre pour que le cœur harmonise et équilibre ses forces internes. Le feu de la passion de vivre, l'énergie créatrice bouillonne et elle a juste besoin d'être canalisée, orientée. 
Une fois le calme revenu, je revois les priorités et j’appréhende les choses avec plus de sérénité.

« Le discernement, une qualité de l'Esprit » Sophie Riehl





Ce matin la lettre d’info, de Sophie Riehl, résonne fortement et comme elle a suscité quelques réflexions, j’ai envie de la partager ici. 
Le juste milieu est toujours le positionnement idéal et c’est en venant au cœur de soi-même qu’on le trouve. 
Le cœur, la vision neutre, permettent de discerner ce qui est juste pour soi, dans un instant T. Lorsqu’on chemine vers la source, vers notre essence divine, ce qui est valable aujourd’hui ne le sera plus demain puisque nous évoluons en conscience et en capacité d’aimer. 
Cette essence étant notre nature originelle, c’est en lâchant les masques de la peur, de la culpabilité que cette vibration émerge et grandit en nous. 
Nous apprenons à reconnaitre sa "consistance" en portant attention à notre monde intérieur, en guérissant l’enfant que nous sommes, en unifiant les aspects de l’être et en vibrant les qualités de la source. C’est ce parcours qui nous rend libre, responsable et autonome….

Lettre d’info de Sophie Riehl :
« Le cheminement spirituel est une expérience intérieure basée sur les sensations. 
Ce n'est pas avoir de grandes connaissances intellectuelles, c'est se sentir relié à la Vie, aimé et protégé.