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mercredi 8 février 2017

« Reconnaitre les jeux de rôles afin de s’en détacher et en reconnaitre le sens, l'essence »





7 02 Avec un peu de recul et par le fait que je n’arrive pas à publier un texte des guides de l’unité canalisés par Daniel Desjardins qui nous invitent à s’ouvrir à eux, à tendre nos mains en leur direction, je me rends compte qu’on est en pleine déstructuration des croyances. 
Ce que je voyais au départ comme un manque d’ouverture de ma part, est encore une limitation qui m’invite à me tourner vers l’intérieur, afin de trouver ma propre maitrise, de m’ouvrir à ce que je suis en totalité. A me tourner vers le cœur, l’intelligence de l’amour, la force de l’unité et du lâcher prise. La fermeture vis à vis de l'extérieur invite toujours à s'ouvrir à soi-même, à considérer les blocages internes.

Les révélations tant attendues, la poursuite d’un modèle, la recherche d’un sauveur, humain ou extra-terrestre, angélique…tout cela appartient à l’illusion, à l’ancien monde où les individus sont identifiés au personnage, aux rôles de victime, de bourreau et de sauveur.
On projette nos peurs, nos doutes, nos espérances, nos croyances sur l’environnement, sur l’extérieur, sur le monde mais au lieu d’y voir le reflet de nos pensées, émotions, on s’y attache en croyant que c’est la réalité. Pourtant en reconnaissant ce phénomène de projection, on a les clefs de notre propre libération, on y voit notre plein potentiel de cocréateur.

On confond maitrise et contrôle, on prend nos croyances pour des réalités, on accuse l’extérieur de notre mal-être alors que tout se passe à l’intérieur. On vit dans l’illusion d’être une victime simplement parce qu’on s'identifie aux pensées aux émotions qui émanent des programmes inconscients.

lundi 6 février 2017

« C’est juste de l’énergie bloquée qui a besoin de circuler, l'énergie de vie qui veut se déployer »





Je peux mesurer ma capacité à lâcher prise, en constatant que c’est seulement au bout de quelques minutes que j'ai laissé émerger les émotions, sans retenue, sans chercher à les bloquer par des raisonnements et des questions. 
Le fait d'avoir participer à l'atelier clown m'a lessivée et pendant près de 24h, j'étais ailleurs, comme si le mental avait décollé. Il est tellement habitué à bloquer l'émotion parce que ce processus de survie s'enclenche lors d'un trauma, à un moment où il est impossible d'exprimer les émotions, que la peur d'affronter ce monde l'a déconnecté. 
Pas étonnant qu'il se sente perdu puisqu'il a toujours associé l'expression d'une émotion à la mort. Il fallait garder le silence, le secret et c'est imprimé en profondeur. C'est donc logique presque mécanique même, qu'il y ait encore de la résistance.

Pendant un bon moment hier, je me suis demandée ce qui clochait en moi, pourquoi je revivais encore le même scénario, la même promesse non tenue, le mécano qui donne un rendez-vous mais qui ne vient pas. C'est une autre personne mais le scénario se répète.
Je suis passée par toutes les hypothèses possibles, je me suis remise en question puis j’ai lâche les pourquoi et comment en me contentant de renouveler mon désir de changement. Changement d’attitude qui consiste à accueillir tout ce qui émerge. Enfin plutôt à laisser sortir ce qui veut sortir.

C’est souvent "l’erreur" que je fais, de bloquer au niveau de la tête, quelque chose qui ne demande qu’à s’exprimer dans la matière, dans l’émotion. Ce n’est pas faute d’avoir rabâché toute la semaine l’importance de l’accueil ! 
Mais là encore, c’est un rappel, un conditionnement mental qui est sensé me préparer à lâcher prise et si la tendance est encore à chercher un sens, une explication quand je suis face à une situation incompréhensible, ça me ramène à l'évidence que ce réflexe est "normal", inconscient, que c'est l'expression de la peur, du besoin de contrôle 

Le savoir, c'est déjà s'en détacher et ça permet de comprendre qu'on ne surmonte pas une peur en trouvant des réponses mais en la reconnaissant et en la laissant s'exprimer émotionnellement. Elle va se transformer en colère quand le mental se sent dépassé, contrarié, en pleurs quand on lâche la résistance et finalement la paix revient toujours. 

dimanche 5 février 2017

« Reconnecter le vivant en soi »





4 04 Je reviens de l’atelier clown et comme la dernière fois, je suis éreintée, vidée, ailleurs. Le monde des émotions m’est tellement inconnu du moins comme je n’ai jamais fait attention à ces sensations puisque la peur couvrait l’ensemble, le mental est largué. Enfin je devrais dire que j'ai abordé ce monde par le mental, les croyances, en les sélectionnant, en leur collant des étiquettes et en les dénaturant. 
D’un certain côté, c’est très bien que je n'aie pas anticipé puisqu’il s’agit d’improviser et je peux déjà voir les progrès par rapport à la dernière fois. Je n’ai pas appréhendé, je n’y ai même pas pensé, c’était inscrit dans mon agenda et je savais que je devais y aller. 

C’est le genre d’intuition qui vient directement de l’âme, une impulsion, une certitude d’avoir fait le bon choix, d’être au bon endroit, au bon moment alors qu’on ne sait pas ce qui va se passer ou encore "à quoi sa sert". Du moins, le mental n'a pas encore toutes les données pour comprendre la portée du choix, pour savoir tout ce que ça va engendrer.

Je sens que c’est exactement ce qu’il me faut en ce moment, que ça fait partie du processus de libération, de maitrise et que le fait d’être en groupe est essentiel.
On peut comprendre comment fonctionne le mental et l’inconscient, comment les croyances se forment, comment on est conditionné, les rôles qu’on joue et celui qui correspond le plus à notre personnalité, à notre âme mais quand il s’agit de l’émotionnel, c’est sur le terrain que ça se passe et on entre en territoire inconnu. 

Le fait de savoir accueillir des montées émotionnelles seul à seul ou avec notre âme, est parfait pour libérer les émotions refoulées et ainsi déconstruire les associations pensées/émotions qui ont élaboré les croyances. 

mercredi 1 février 2017

« Observer en silence »





31 01 Je ressens encore des mouvements internes d’afflux de lumière, de montée d’énergie, qui viennent stimuler le corps émotionnel afin qu’il puisse extérioriser ce qui est encore refoulé dans l’inconscient, la mémoire. Enfin je devrais plutôt dire afin de me familiariser avec l’émotion, avec le fait que la seule chose à faire, c’est de la laisser passer en toute confiance, sans vouloir la nommer, la retenir, l’enfermer dans le mental, les raisonnements. 
Maintenant que j’apprends à observer cela, à ressentir comment les sensations émergeant d’une contrariété, s’expriment et se meuvent, je vois les limites du système de survie. 
Le fait d’avoir bloqué et classer, étiqueté, les émotions, en a falsifié le goût. 
C’est tout un apprentissage qui est à accomplir, une redéfinition de la sensation non plus en termes de bien ou de mal mais en termes de fréquence, de texture, de mouvement.

Déjà le fait de savoir que ce sont des messages du corps, de l’âme, des énergies, des infos, ça calme considérablement le mental qui a moins tendance à les bloquer ou à cogiter.

Le regard qu’on porte sur ce qui est, en modèle la forme, y ajoute une note particulière qui peut aller jusqu’à une totale transformation. 
Ainsi le jugement, les à priori enfermement l’objet ou le sujet dans une forme définie qui entraine des réflexes conditionnés. 
Par exemple si je crois que les étrangers sont des ennemis, dès que j’aperçois un humain de couleur, je vais lui coller l’étiquette correspondante et je serais sur la défensive voire même agressive. Je ne verrais pas la personne telle qu'elle est mais j'y verrais ma propre peur et mes croyances.

lundi 29 août 2016

« Affirmer ses choix envers la Source Intérieure » & « La gestion des émotions » Docteur Tal Schaller






27 08 
"Vous êtes le garant de votre bien être !"
Clef de sagesse  925 trouvée sur le site de Monique Mathieu
L'’Amour est la plus belle chose qui puisse exister dans l’univers ! C’est le ciment qui relie toute vie ! S’il n’y avait pas d’Amour il n’y aurait pas de Vie ! Ce qui vous est demandé  est de faire grandir cet Amour en vous, de le cultiver jour après jour. C’est déjà de l’accepter, de le reconnaître, de l’exprimer et de le rayonner ».  

YES, merci pour ce rappel en ces temps de plus en plus troublés. Mais malgré tout la paix revient vite même si les vagues peuvent déstabiliser lorsqu’elles émergent.

"La paix en soi libère tout, dès qu'on la trouble, on génère des remous."

Je râlais de ne pas être en paix et dans la joie tout le temps mais en fait, c’est juste pour m’aider à revenir à la conscience, à la présence de cette paix du cœur que les remous sont générés. Et à chaque fois que je me pose, elle revient et c’est de cette façon que je vois le sens "unique" de ces mouvements internes.

Maintenant il me faut lâcher la croyance qui dit que "c’est par le faire, l’effort, que les choses changent". Je dis "il me faut" parce que je considère que ce chemin peut se faire dans la légèreté, la joie, la fluidité et que c'est ma priorité.
L’effort à fournir, si on peut dire, c’est d’être de plus en plus conscient de ce que l'on veut et présent à soi-même, fidèle à ce choix de faire confiance à la Source.

dimanche 28 août 2016

« Les 3 émotions qui guérissent » Emmanuel Pascal



La science a identifié trois émotions et sentiments guérisseurs du corps et de l’âme : la gratitude, l’amour et la foi. Ces émotions et sentiments peuvent être cultivés pour se sentir plus heureux, plus créatif, améliorer ses relations avec les autres et mieux résister aux infections et aux maladies. Emmanuel Duquoc (alias Emmanuel Pascal), l’auteur des "Les 3 émotions qui guérissent" vous dit comment.

Quelles sont les émotions qui guérissent ?
Voici les trois émotions centrales qui guérissent et leurs corollaires qui permettent de les convoquer :
·         La foi : insouciance, prière, optimisme, espérance, courage, lâcher-prise, fluidité, confiance, réceptivité, doute, dévotion, protection.
·         L’amour : politesse, honnêteté, respect, service, compréhension, bienveillance, compassion, partage, don de soi, tendresse, pardon, attachement, amour inconditionnel.
·         La gratitude : remerciement, sentiment d’être aimé, acceptation, deuil, bénédiction, satisfaction, reconnaissance, ouverture du cœur, sourire, simplicité, rire, émerveillement, contemplation, joie.

Les 3 dimensions de l’émotion
L’émotion n’est pas une pensée, elle est corporelle et possède plusieurs composantes :

jeudi 18 août 2016

« L’intelligence intuitive du cœur » par Doc Childre et Howard Martin





Extraits de leur livre "L'intelligence intuitive du coeur", p. 5 à 91Ariane Éditions, 2005  
Au-delà du cerveau : l'intelligence du coeur (p.5)
Chacun de nous s'est fait dire, à un moment donné, de suivre son cœur. 
Cela semble une merveilleuse idée, en principe, mais l'ennui, c'est que vraiment suivre notre cœur - et aimer les gens, y compris nous-mêmes - est beaucoup plus facile à dire qu'à faire. Par où commencer ? Les gens parlent de suivre leur cœur, mais personne ne nous montre comment. Qu'est-ce que cela veut dire, au juste, de suivre son cœur ? 
Et comment s'aimer soi-même ? À part le fait que l'amour est un bon sentiment, pourquoi devrions-nous aimer les autres ? Nous allons vous enseigner une approche pratique et systématique qui vous permettra de répondre vous-même à ces questions, et nous allons évoquer les énormes bienfaits que vous récolterez en cours de route.

Au cours des vingt dernières années, les scientifiques ont fait sur le cœur de multiples découvertes qui nous montrent une complexité de fonctionnement beaucoup plus grande que nous ne l'avions jamais imaginée. Nous possédons maintenant des preuves scientifiques que le cœur nous envoie des signaux émotionnels et intuitifs afin de nous aider à gérer notre vie. Au lieu de tout simplement pomper du sang, il dirige et aligne plusieurs systèmes du corps afin qu'ils puissent fonctionner en harmonie les uns avec les autres. Et, bien que le cœur soit en communication constante avec le cerveau, nous savons maintenant qu'il prend lui-même un grand nombre de décisions...