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01 Je ressens encore des mouvements internes d’afflux de lumière, de montée
d’énergie, qui viennent stimuler le corps émotionnel afin qu’il puisse
extérioriser ce qui est encore refoulé dans l’inconscient, la mémoire. Enfin je
devrais plutôt dire afin de me familiariser avec l’émotion, avec le fait que la
seule chose à faire, c’est de la laisser passer en toute confiance, sans vouloir
la nommer, la retenir, l’enfermer dans le mental, les raisonnements.
Maintenant
que j’apprends à observer cela, à ressentir comment les sensations émergeant
d’une contrariété, s’expriment et se meuvent, je vois les limites du système de
survie.
Le fait d’avoir bloqué et classer, étiqueté, les émotions, en a
falsifié le goût.
C’est tout un apprentissage qui est à accomplir, une
redéfinition de la sensation non plus en termes de bien ou de mal mais en termes
de fréquence, de texture, de mouvement.
Déjà
le fait de savoir que ce sont des messages du corps, de l’âme, des énergies,
des infos, ça calme considérablement le mental qui a moins tendance à les
bloquer ou à cogiter.
Le
regard qu’on porte sur ce qui est, en modèle la forme, y ajoute une note
particulière qui peut aller jusqu’à une totale transformation.
Ainsi le
jugement, les à priori enfermement l’objet ou le sujet dans une forme définie
qui entraine des réflexes conditionnés.
Par exemple si je crois que les
étrangers sont des ennemis, dès que j’aperçois un humain de couleur, je vais
lui coller l’étiquette correspondante et je serais sur la défensive voire même
agressive. Je ne verrais pas la personne telle qu'elle est mais j'y verrais ma propre peur et mes croyances.
Cette
force de projection et de modulation de la forme selon la fréquence qu’on
émane, peut être utilisée pour favoriser la communication, pour créer du lien.
Il
ne s’agit pas de se dire « tout le monde il est beau, tout le monde il est
gentil », mais d’aller vers l’autre en sachant que tout être doté d’un
cœur et d’une conscience est un égal, que derrière l’apparence, à travers elle,
il y a l’amour lumière.
J’avais
prévu d’aller en courses aujourd’hui mais comme les sensations intérieures sont
intenses, on verra demain. Je pressens quelque chose de magnifique mais pour le
moment, ça reste une impression, comme si les montées d’énergie et le feu que
ça représente, purifiait les corps mental et émotionnel. Une sorte d’excitation
qui m’a donné l’impulsion de continuer l’élaboration du blog dédié à
l’accompagnement.
D’ailleurs
depuis hier, ça sent le printemps, le renouveau, l’air a ce goût particulier
qui m’est si cher. Et en même temps, l’idée que je ne ferais pas long feu sur
cette terre, surgit de temps en temps. Ça ne vient pas dans la peur mais plutôt
par des images de création, comme un assemblage de cellules en mouvement. En
tous cas, ça bouge pas mal et le fait que je ne qualifie pas cela de chaos
change tout.
C’est
à la fois l’expression de mon désir sincère d’abandon à l’amour lumière et en
même temps ce qui m’ouvre à ressentir cela comme une forme de joie,
d’excitation.
Il est logique qu’il y ait restructuration, dissolution ou
destruction avant de reconstruire mais comme la nature réalise ses
transformations en douceur généralement, de façon cyclique, ce modèle nourrit
l’idée que la souffrance ou la violence ne sont pas nécessaires aux
changements.
Les catastrophes dites naturelles sont souvent causées par l’intervention
de l’homme dans le cycle naturel et harmonieux du vivant. Tout comme à l’échelle
individuelle, le jugement ou le besoin de contrôler les émotions, détourne l’énergie
de vie et peut créer des explosions émotionnelles internes, des ruptures, des
blocages, des frustrations et un durcissement du cœur.
La
souffrance vient de l’ignorance et de la résistance, de la lutte, des attentes
qui se transforment vite en exigence. Lorsqu’on est en confiance et qu’on se
fie au rythme des saisons, de son propre cœur, la vision de l’âme s’offre à
nous et au lieu de voir la lave du volcan en éruption qui détruit tout sur son
passage, elle voit la fertilité, la vie qui renait sous la cendre, nourrie et
revigorée par ces éléments.
Le
moment de passer à l’action s’approche de plus en plus mais pour l’instant, il
s’agit de ne pas s’emballer, de continuer de faire confiance à l’élan spontané
et de ne pas bloquer les émotions quelles qu’elles soient.
Je
peux mesurer la force du conditionnement, de ce réflexe qui consiste à fuir la
sensation désagréable, à faire diversion et par la même à changer la nature de
l’émotion, de l’énergie. En ayant un regard neutre déjà, l’émotion, la
sensation, sont pures et perceptibles dans leur fréquence, leur vibration
première.
Et
ça n’est pas du tout évident d’en arriver là parce qu’on peut voir toutes les
stratégies employées qui en plus s’enclenchent automatiquement :
l’évitement, la distraction, la fuite, la contraction, le rejet, la négation, la lutte…
Finalement
je me dis que je ne connais pas la véritable texture de l’énergie puisqu’elle
est systématiquement faussée par le réflexe de résistance, par le filtre du
mental, des croyances. Et même en ce sens, l’étiquette collée à une émotion
devient obsolète.
J’ai
l’impression qu’il s’agit de la même énergie qui est modulée par le filtre de
la résistance et par celui des croyances. C’est une approche qui change tout
parce que si je lâche les étiquettes, je touche à la pure expression de
l’énergie, de la vie. C'est ce que j'ai ressenti après avoir lâché la tristesse, les pleurs, sans m'apitoyer sur mon sort, lors de l'atelier clown.
Et
ce qui en ressort, c’est la sensation de mouvement, le désir d’agir, de créer,
de bouger. Ce mouvement contrarié par les peurs, les fausses définitions, créé
de la souffrance par blocage, par le fait d’enfermer l’énergie dans un carcan.
C’est
hallucinant de constater à quel point on contrarie sans arrêt le mouvement
naturel des choses. Pas étonnant de se sentir impuissant, faible, de douter de
soi. Enfin pour le moment, je me contente de percevoir cela de la façon la plus
neutre possible, d’être dans le pur ressenti, la sensation pure.
J’ai
envie d’aller au jardin mais je n’arrive pas à décoller du clavier. Quand le
mental s’accroche à l’expression écrite, c’est le signe qu’il panique, qu’il
sent ce bouillonnement intérieur auquel il ne peut donner de signification
alors c’est le moment de le rassurer, de lâcher toute forme de pression, de
culpabilité.
Je
regard un film qui relate la vie de Cartouche (bandit aimé du peuple) et c’est un bon moyen de
contacter l’énergie des rôles, du sauveur, du fait de prendre parti pour les
faibles et de vouloir sauver le monde. On n'aide pas un enfant valide à apprendre à marcher en lui donnant des béquilles...
Il me faut aussi offrir à la source la
colère de me sentir incapable ou du moins pas motivée à passer à l’action. La
peur de perdre son temps, de ne pas savoir agir au bon moment, la crainte de
faire des erreurs…tout cela est à lâcher. Je crois que je vais aller
m’allonger.
...Il
y avait longtemps que je n’avais pas éprouvé ce besoin de silence, de rien, de
détente. Ça pourrait paraitre complètement insensé puisque je ressens autant
d’excitation mais c’est une très bonne chose que d’apprendre à se poser, à
revenir au centre, au calme, avant de se lancer.
C’est
comme si l’énergie masculine ne trouvait plus le chemin qu’elle prenait
habituellement et que cela lui coupait les pattes. Non seulement les anciennes
voies ne sont plus empruntées mais le fait de ne plus bloquer l’énergie, l’émotion,
laisse le mental perplexe et un peu confus.
J’ai
tellement refoulé, réprimé la colère pensant qu’elle était destructrice que je
n’en percevais pas le sens réel, la puissance véritable, la beauté.
On
se fait des idées à propos de tout et on agit selon ces idées sans être dans la
vérité de l’être.
J’ai
encore du mal à concevoir qu’on puisse aider les gens de façon généralisée en
proposant par exemple un modèle à suivre parce que c’est précisément
l’intimité, la singularité qui révèle la substance de l’âme, de l’individu.
On
peut exposer la constitution élargie, plus globale de l’humain, la façon dont
est construite la personnalité, le système de survie…des aspects ‘techniques’
de l’être mais dès qu’il est question de sensation, de vibration, c’est trop
intérieur et particulier pour tracer un chemin d'autant plus que c'est le chemin intérieur qui par sa singularité, révèle les dons et la passion de l'être.
Je ne vois pas comment aider
quelqu’un sans un rapport direct et intime, basé sur la confiance, l’échange,
ni comment élargir ça à l’ensemble.
Et
même les connaissances techniques ne donnent pas l’essentiel, l’expérience que
chacun doit vivre, les connaissances théoriques n’amènent pas l’individu à
prendre conscience de ce qu’il est.
Pour
le moment je me dis que de transmettre les connaissances relatives au système
de survie et les clefs qui permettent de distinguer les rôles de l’être ou dire
ce que le divin n’est pas, me semble la seule chose utile et bien évidemment de
laisser l’amour lumière restaurer l’ordre, l’harmonie en soi est primordial.
Tout vient de la vibration qu’on porte et c’est en cela qu’on peut aider les
autres à se retrouver, par un rayonnement pur de l'énergie de vie.
1 02 Après
une bonne nuit de sommeil et malgré le pincement au rein droit, la douleur
spécifique des coliques néphrétiques, je suis sereine et un échange régulier
avec une personne qui m’a demandé son soutien dans ce chemin de libération, m’aide
à structurer ma pensée, à élaborer ma vision et ma compréhension de ces mondes
subtils de l’émotion.
Chaque suggestion que je lui donne selon ma vision de l’humain
divin et des lois universelles, me donnent l’occasion de vérifier dans la
chair, ce que je vis, j’apprends en directe live. Et c’est tout à fait la façon
d’aborder le monde de l’émotion, dans l’instant, dans le ressenti qui est à appliquer. Je copie
colle ce que je lui ai écrit ce matin :
...Chaque réaction émotionnelle que tu laisses s’exprimer sans
argumenter, sans la juger, sans te justifier, sans culpabiliser, nettoie la
mémoire, le subconscient, ajuste le cerveau limbique qui se reconnecte au
néocortex.
C’est important de prendre cette habitude de laisser l’émotion s’exprimer
librement, sans la croire ou du moins sans y ajouter foi, sans que le mental
n’intervienne.
Cela permet de dissocier les pensées négatives des émotions
correspondantes, ça déconstruit les programmes réflexes, automatiques,
inconscients, ceux qui nourrissent les croyances de la victime impuissante.
La compassion doit venir naturellement, pas selon un argument
basé sur la notion de bien et de mal mais plutôt comme un changement de regard
sur les faits.
Un regard détaché où les réactions émotionnelles n’apparaissent
plus de façon chaotique ou conflictuelle.
Ce n’est pas le mental qui agit ici puisqu'il est lié à
l’émotionnel selon les programmes réflexes et il ne peut pas contrôler les
émotions.
C’est l’amour où le fait de ne pas juger les faits qui permet
l’actualisation des infos au niveau mental ou les prises de conscience et la
libre expression de l’émotion, la fluidité de l’énergie qui équilibre le
cerveau émotionnel…
C’est en continuant de prendre soin de toi, de lâcher les
pensées critiques, le regard accusateur, d’apaiser le mental émotionnel, que
l’amour lumière intérieur va te combler de plus en plus.
L’amour véritable, celui dont tu as besoin ne peut pas venir de
l’extérieur, du sacrifice ou du pardon. C’est notre nature véritable qui se
révèle au-delà de tous les jeux de rôles, stratégies du mental, on n’a pas à le
mériter, à le gagner mais à laisser cette essence émerger.
Quand on pardonne, on lâche prise au niveau du mental, c’est
un pas en avant mais ça n’est pas cela
qui libère l’amour en soi, on lâche simplement le jugement, on va, vers
l’équilibre, la neutralité.
C’est déjà beaucoup parce que ça permet d’installer la paix au
niveau du mental, de moins résister ou lutter contre soi, contre ses émotions.
Puis notre cœur s’attendrit parce qu’on est dans ce désir de paix alors
évidemment on se sent mieux.
Malgré tout tu peux déjà te féliciter pour ces
choix essentiels et bénéficier du nouvel état d’esprit, de cette nouvelle
vision des choses.
Maintenant, c’est par la douceur envers toi, le fait de ne pas
juger ce que tu ressens, de ne plus penser en termes de bien et de mal que
l’amour va pouvoir se déployer de façon ressentie.
Pour le moment ce ressenti va s’exprimer dans la paix profonde
et c’est cela qui t’aide à continuer de vouloir lâcher prise, lâcher le
jugement.
Ce mode de fonctionnement est ancré dans l’inconscient et il
s’agit de rééduquer le mental.
De passer du jugement arbitraire et définitif à la question
« est-ce que ce que je pense est vraiment vrai ? » sans chercher
une réponse mentale, juste la poser ‘en l’air’ et être en mode réceptif afin
d’entendre la réponse du cœur.
La réponse du cœur est toujours « non » quand la
question est une forme de jugement mais ce « non » n’accable pas au
contraire il ouvre l’horizon, on sent qu’on ouvre son cœur.
C’est difficile à décrire parce que c’est un ressenti et dans
ces questionnements, il s’agit d’ouvrir d’autres voies, de créer d’autres
circuits neuronaux, de lâcher le mode duel, conflictuel. Et de pouvoir sentir
la paix du cœur qui devient ensuite la seule référence, le témoignage vivant de
la source en soi.
Le monde des émotions ne peut pas être contrôlé mais il est
pacifié par le lâcher prise, l’abandon du jugement, le fait de dissocier les
pensées de l’émotion.
Ce monde émotionnel est celui qui ouvre ou qui libère
l’énergie de vie, dans l’équilibre ou la neutralité.
Cela ramène la joie véritable
à la surface, la joie spontanée de l’enfant intérieur libéré des jugements, des
étiquettes, de la lourdeur du passé.
On entre dans le moment présent, on lâche le passé et comme on
est davantage présent à ce qu’on ressent, on apprend à reconnaitre l’énergie,
la vibration de l’âme.
On perçoit sa présence de façon réelle, palpable, au-delà des
vagues émotionnelles.
Je t’invite donc à juste ressentir sans coller d’étiquette, sans
bloquer l’énergie, donc les émotions et sans t’y attacher.
L’émotion c’est l’expression de l’énergie de vie qui est filtrée
par le mental et quand on lâche les références basées sur le jugement,
l’énergie de vie est libérée.
Elle s’écoule plus librement, dans sa pureté originelle.
Les enfants font ça très bien parce qu’ils ne bloquent pas
l’émotion, il ne la charge pas de pensées de jugement, de culpabilité ou de
satisfaction, de sensation de bien faire.
Ne crains pas d’être submergée en
laissant les émotions s’exprimer librement parce que si tu ne juges pas ce qui
émerge, ça passe, ça s’écoule naturellement.
C’est le fait de coller une
étiquette bien ou mal à l’émotion qui l’alourdit, la retient, la bloque, la
contraint, la colore et l’amplifie...
Tout ce que j'écris à cette personne, je l'expérimente et l'intègre plus en profondeur en le partageant. C'est une façon d'amplifier ma foi et l'occasion de lâcher le rôle du sauveur en étant plus dans l'expression du témoignage vécu que dans la théorie ou dans le rôle de l'enseignant parce qu'en fait je ne lui apprends rien qu'elle ne sache déjà.
La
connaissance des rayons sacrés est un bon moyen de revenir à l’essence, de
lâcher les croyances et les réflexes conditionnés basés sur le rejet, la
sélection, l’exclusion, de percevoir l’énergie en terme de fréquences.
Il
ne s’agit pas à mon sens, de suivre un modèle ou de faire des calculs savants pour savoir
quel rayon activer pour être meilleur, mais de savoir que nous portons ces attributs, ces
potentiels et que notre cœur sait les gérer de façon équilibrer. Le vouloir est rempli d'attente et l'amour ou le don sont alors conditionnés.
La seule chose
que ça demande de notre part, si on veut exprimer l'essence de l'être ou la sagesse de l'âme, c’est l’ouverture d’esprit et de cœur, le fait d’être
prêt à considérer les choses sous un angle nouveau.
La
sagesse est en nous tout comme l’amour et cela ne peut pas se provoquer mais ça se révèle au-delà des croyances, dans l’abandon du jugement, des anciennes références.
Il n’y a rien à
faire d’autre que de s’ouvrir, laisser l’amour lumière intérieur purifier le
mental émotionnel et se laisser être.
La douleur aux reins s’estompe mais elle
demeure. Son sens métaphysique est juste mais je sens que cela se situe en
profondeur et que l’acceptation, le silence, le fait de ne pas bloquer ni la
tristesse, ni la colère, allège et décontracte cette partie du corps.
Je
vérifie une fois de plus que le fait de comprendre le sens de la douleur aide
juste le mental à ne pas cogiter ce qui créé un terrain propice à la guérison
mais pour que celle-ci soit réelle ou durable, il faut que l’énergie bloquée à
cet endroit puisse à nouveau circuler et c’est en laissant les émotions de
colère envers soi, dans cette circonstance, que cela se réalise.
Je
pourrais me dire que c’est le fait d’avoir pris un premier bout de cachet qui a
apporté un soulagement mais je sens que c’est plus le fait d’avoir extériorisé
les pensées émotions que la douleur suscitait qui l’a calmée. D’ailleurs, la
dose de médicaments n’est pas suffisante pour supprimer la douleur qui était
assez tenace.
C’est
sûr qu’on a plus tendance à croire les médecins, les vérités proclamées par des
experts ou par la majorité mais c’est une façon de nier la source en soi et de
rejeter la sagesse intérieure.
Cela donne un sentiment de trahison, un décalage
entre l’intuition et la raison, une division interne qui nourrit l’illusion,
les croyances en un dieu extérieur.
Les voix du mental, des croyances, du
jugement, des références passées sont plus fortes que celle du cœur mais quand
on se pose dans le désir de paix, on sait ce qui est juste dans l’instant, pour
nous-même. On lâche le besoin d’avoir raison parce qu’en plus on sait que la
connaissance est infinie. J’ai encore envie de dormir pourtant j’ai fait
une sieste hier et la nuit a duré plus de 7h !
Pas
de sortie aujourd’hui, juste être, ne rien bloquer et accueillir en la source d’amour
lumière intérieure, tout ce qui émerge spontanément.
Savoir se poser et suivre
l’élan du moment, celui qui est porté par la joie.
Cela m’apparait de plus en
plus évident que la meilleure façon de purifier l’émotionnel c’est le silence
mental ! D’où l’intérêt de se poser dans le rien, juste être, sentir,
ressentir…
Et ça n’empêche pas du tout l’action, au contraire, j’ai fait de la cuisine
hier avec un bel enthousiasme et je me suis régalée de la préparation à l’ingestion !
C’est la manifestation de la fluidité énergétique, du désir qui va jusqu’à l’acte
et qui se produit, s’effectue dans la joie offrant déjà la récompense avant
même d’atteindre l’objectif ou la matérialisation du désir, de l’idée. Un
alignement naturel des corps guidés par l’âme, la joie d’être.
Je réalise seulement maintenant que j'ai la réponse à ma question "comment s'adresser à l'ensemble?" puisque c'est exactement ce que je fais ici, lol! La vision de l'humain divin est si naturelle pour moi que j'oublie que la majorité des gens ignore ces vérités essentielles et universelles...bon je crois que je vais aller faire une sieste...
Je réalise seulement maintenant que j'ai la réponse à ma question "comment s'adresser à l'ensemble?" puisque c'est exactement ce que je fais ici, lol! La vision de l'humain divin est si naturelle pour moi que j'oublie que la majorité des gens ignore ces vérités essentielles et universelles...bon je crois que je vais aller faire une sieste...
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l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog :
« Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr