mercredi 1 février 2017

« Observer en silence »





31 01 Je ressens encore des mouvements internes d’afflux de lumière, de montée d’énergie, qui viennent stimuler le corps émotionnel afin qu’il puisse extérioriser ce qui est encore refoulé dans l’inconscient, la mémoire. Enfin je devrais plutôt dire afin de me familiariser avec l’émotion, avec le fait que la seule chose à faire, c’est de la laisser passer en toute confiance, sans vouloir la nommer, la retenir, l’enfermer dans le mental, les raisonnements. 
Maintenant que j’apprends à observer cela, à ressentir comment les sensations émergeant d’une contrariété, s’expriment et se meuvent, je vois les limites du système de survie. 
Le fait d’avoir bloqué et classer, étiqueté, les émotions, en a falsifié le goût. 
C’est tout un apprentissage qui est à accomplir, une redéfinition de la sensation non plus en termes de bien ou de mal mais en termes de fréquence, de texture, de mouvement.

Déjà le fait de savoir que ce sont des messages du corps, de l’âme, des énergies, des infos, ça calme considérablement le mental qui a moins tendance à les bloquer ou à cogiter.

Le regard qu’on porte sur ce qui est, en modèle la forme, y ajoute une note particulière qui peut aller jusqu’à une totale transformation. 
Ainsi le jugement, les à priori enfermement l’objet ou le sujet dans une forme définie qui entraine des réflexes conditionnés. 
Par exemple si je crois que les étrangers sont des ennemis, dès que j’aperçois un humain de couleur, je vais lui coller l’étiquette correspondante et je serais sur la défensive voire même agressive. Je ne verrais pas la personne telle qu'elle est mais j'y verrais ma propre peur et mes croyances.



Cette force de projection et de modulation de la forme selon la fréquence qu’on émane, peut être utilisée pour favoriser la communication, pour créer du lien.
Il ne s’agit pas de se dire « tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil », mais d’aller vers l’autre en sachant que tout être doté d’un cœur et d’une conscience est un égal, que derrière l’apparence, à travers elle, il y a l’amour lumière.

J’avais prévu d’aller en courses aujourd’hui mais comme les sensations intérieures sont intenses, on verra demain. Je pressens quelque chose de magnifique mais pour le moment, ça reste une impression, comme si les montées d’énergie et le feu que ça représente, purifiait les corps mental et émotionnel. Une sorte d’excitation qui m’a donné l’impulsion de continuer l’élaboration du blog dédié à l’accompagnement.

D’ailleurs depuis hier, ça sent le printemps, le renouveau, l’air a ce goût particulier qui m’est si cher. Et en même temps, l’idée que je ne ferais pas long feu sur cette terre, surgit de temps en temps. Ça ne vient pas dans la peur mais plutôt par des images de création, comme un assemblage de cellules en mouvement. En tous cas, ça bouge pas mal et le fait que je ne qualifie pas cela de chaos change tout.

C’est à la fois l’expression de mon désir sincère d’abandon à l’amour lumière et en même temps ce qui m’ouvre à ressentir cela comme une forme de joie, d’excitation. 
Il est logique qu’il y ait restructuration, dissolution ou destruction avant de reconstruire mais comme la nature réalise ses transformations en douceur généralement, de façon cyclique, ce modèle nourrit l’idée que la souffrance ou la violence ne sont pas nécessaires aux changements. 
Les catastrophes dites naturelles sont souvent causées par l’intervention de l’homme dans le cycle naturel et harmonieux du vivant. Tout comme à l’échelle individuelle, le jugement ou le besoin de contrôler les émotions, détourne l’énergie de vie et peut créer des explosions émotionnelles internes, des ruptures, des blocages, des frustrations et un durcissement du cœur.

La souffrance vient de l’ignorance et de la résistance, de la lutte, des attentes qui se transforment vite en exigence. Lorsqu’on est en confiance et qu’on se fie au rythme des saisons, de son propre cœur, la vision de l’âme s’offre à nous et au lieu de voir la lave du volcan en éruption qui détruit tout sur son passage, elle voit la fertilité, la vie qui renait sous la cendre, nourrie et revigorée par ces éléments.

Le moment de passer à l’action s’approche de plus en plus mais pour l’instant, il s’agit de ne pas s’emballer, de continuer de faire confiance à l’élan spontané et de ne pas bloquer les émotions quelles qu’elles soient.




Je peux mesurer la force du conditionnement, de ce réflexe qui consiste à fuir la sensation désagréable, à faire diversion et par la même à changer la nature de l’émotion, de l’énergie. En ayant un regard neutre déjà, l’émotion, la sensation, sont pures et perceptibles dans leur fréquence, leur vibration première.
Et ça n’est pas du tout évident d’en arriver là parce qu’on peut voir toutes les stratégies employées qui en plus s’enclenchent automatiquement : l’évitement, la distraction, la fuite, la contraction, le rejet, la négation, la lutte…

Finalement je me dis que je ne connais pas la véritable texture de l’énergie puisqu’elle est systématiquement faussée par le réflexe de résistance, par le filtre du mental, des croyances. Et même en ce sens, l’étiquette collée à une émotion devient obsolète.

J’ai l’impression qu’il s’agit de la même énergie qui est modulée par le filtre de la résistance et par celui des croyances. C’est une approche qui change tout parce que si je lâche les étiquettes, je touche à la pure expression de l’énergie, de la vie. C'est ce que j'ai ressenti après avoir lâché la tristesse, les pleurs, sans m'apitoyer sur mon sort, lors de l'atelier clown.

Et ce qui en ressort, c’est la sensation de mouvement, le désir d’agir, de créer, de bouger. Ce mouvement contrarié par les peurs, les fausses définitions, créé de la souffrance par blocage, par le fait d’enfermer l’énergie dans un carcan.

C’est hallucinant de constater à quel point on contrarie sans arrêt le mouvement naturel des choses. Pas étonnant de se sentir impuissant, faible, de douter de soi. Enfin pour le moment, je me contente de percevoir cela de la façon la plus neutre possible, d’être dans le pur ressenti, la sensation pure.

J’ai envie d’aller au jardin mais je n’arrive pas à décoller du clavier. Quand le mental s’accroche à l’expression écrite, c’est le signe qu’il panique, qu’il sent ce bouillonnement intérieur auquel il ne peut donner de signification alors c’est le moment de le rassurer, de lâcher toute forme de pression, de culpabilité.

Je regard un film qui relate la vie de Cartouche (bandit aimé du peuple) et c’est un bon moyen de contacter l’énergie des rôles, du sauveur, du fait de prendre parti pour les faibles et de vouloir sauver le monde. On n'aide pas un enfant valide à apprendre à marcher en lui donnant des béquilles... 
Il me faut aussi offrir à la source la colère de me sentir incapable ou du moins pas motivée à passer à l’action. La peur de perdre son temps, de ne pas savoir agir au bon moment, la crainte de faire des erreurs…tout cela est à lâcher. Je crois que je vais aller m’allonger.

...Il y avait longtemps que je n’avais pas éprouvé ce besoin de silence, de rien, de détente. Ça pourrait paraitre complètement insensé puisque je ressens autant d’excitation mais c’est une très bonne chose que d’apprendre à se poser, à revenir au centre, au calme, avant de se lancer.
C’est comme si l’énergie masculine ne trouvait plus le chemin qu’elle prenait habituellement et que cela lui coupait les pattes. Non seulement les anciennes voies ne sont plus empruntées mais le fait de ne plus bloquer l’énergie, l’émotion, laisse le mental perplexe et un peu confus.

J’ai tellement refoulé, réprimé la colère pensant qu’elle était destructrice que je n’en percevais pas le sens réel, la puissance véritable, la beauté.
On se fait des idées à propos de tout et on agit selon ces idées sans être dans la vérité de l’être.

J’ai encore du mal à concevoir qu’on puisse aider les gens de façon généralisée en proposant par exemple un modèle à suivre parce que c’est précisément l’intimité, la singularité qui révèle la substance de l’âme, de l’individu. 
On peut exposer la constitution élargie, plus globale de l’humain, la façon dont est construite la personnalité, le système de survie…des aspects ‘techniques’ de l’être mais dès qu’il est question de sensation, de vibration, c’est trop intérieur et particulier pour tracer un chemin d'autant plus que c'est le chemin intérieur qui par sa singularité, révèle les dons et la passion de l'être. 
Je ne vois pas comment aider quelqu’un sans un rapport direct et intime, basé sur la confiance, l’échange, ni comment élargir ça à l’ensemble.
Et même les connaissances techniques ne donnent pas l’essentiel, l’expérience que chacun doit vivre, les connaissances théoriques n’amènent pas l’individu à prendre conscience de ce qu’il est.

Pour le moment je me dis que de transmettre les connaissances relatives au système de survie et les clefs qui permettent de distinguer les rôles de l’être ou dire ce que le divin n’est pas, me semble la seule chose utile et bien évidemment de laisser l’amour lumière restaurer l’ordre, l’harmonie en soi est primordial. Tout vient de la vibration qu’on porte et c’est en cela qu’on peut aider les autres à se retrouver, par un rayonnement pur de l'énergie de vie. 




1 02 Après une bonne nuit de sommeil et malgré le pincement au rein droit, la douleur spécifique des coliques néphrétiques, je suis sereine et un échange régulier avec une personne qui m’a demandé son soutien dans ce chemin de libération, m’aide à structurer ma pensée, à élaborer ma vision et ma compréhension de ces mondes subtils de l’émotion. 
Chaque suggestion que je lui donne selon ma vision de l’humain divin et des lois universelles, me donnent l’occasion de vérifier dans la chair, ce que je vis, j’apprends en directe live. Et c’est tout à fait la façon d’aborder le monde de l’émotion, dans l’instant, dans le ressenti qui est à appliquer. Je copie colle ce que je lui ai écrit ce matin :
...Chaque réaction émotionnelle que tu laisses s’exprimer sans argumenter, sans la juger, sans te justifier, sans culpabiliser, nettoie la mémoire, le subconscient, ajuste le cerveau limbique qui se reconnecte au néocortex.
C’est important de prendre cette habitude de laisser l’émotion s’exprimer librement, sans la croire ou du moins sans y ajouter foi, sans que le mental n’intervienne.
Cela permet de dissocier les pensées négatives des émotions correspondantes, ça déconstruit les programmes réflexes, automatiques, inconscients, ceux qui nourrissent les croyances de la victime impuissante.

La compassion doit venir naturellement, pas selon un argument basé sur la notion de bien et de mal mais plutôt comme un changement de regard sur les faits.
Un regard détaché où les réactions émotionnelles n’apparaissent plus de façon chaotique ou conflictuelle.

Ce n’est pas le mental qui agit ici puisqu'il est lié à l’émotionnel selon les programmes réflexes et il ne peut pas contrôler les émotions.
C’est l’amour où le fait de ne pas juger les faits qui permet l’actualisation des infos au niveau mental ou les prises de conscience et la libre expression de l’émotion, la fluidité de l’énergie qui équilibre le cerveau émotionnel…

C’est en continuant de prendre soin de toi, de lâcher les pensées critiques, le regard accusateur, d’apaiser le mental émotionnel, que l’amour lumière intérieur va te combler de plus en plus.
L’amour véritable, celui dont tu as besoin ne peut pas venir de l’extérieur, du sacrifice ou du pardon. C’est notre nature véritable qui se révèle au-delà de tous les jeux de rôles, stratégies du mental, on n’a pas à le mériter, à le gagner mais à laisser cette essence émerger.

Quand on pardonne, on lâche prise au niveau du mental, c’est un  pas en avant mais ça n’est pas cela qui libère l’amour en soi, on lâche simplement le jugement, on va, vers l’équilibre, la neutralité.
C’est déjà beaucoup parce que ça permet d’installer la paix au niveau du mental, de moins résister ou lutter contre soi, contre ses émotions. Puis notre cœur s’attendrit parce qu’on est dans ce désir de paix alors évidemment on se sent mieux. 
Malgré tout tu peux déjà te féliciter pour ces choix essentiels et bénéficier du nouvel état d’esprit, de cette nouvelle vision des choses.
Maintenant, c’est par la douceur envers toi, le fait de ne pas juger ce que tu ressens, de ne plus penser en termes de bien et de mal que l’amour va pouvoir se déployer de façon ressentie.
Pour le moment ce ressenti va s’exprimer dans la paix profonde et c’est cela qui t’aide à continuer de vouloir lâcher prise, lâcher le jugement.
Ce mode de fonctionnement est ancré dans l’inconscient et il s’agit de rééduquer le mental.
De passer du jugement arbitraire et définitif à la question « est-ce que ce que je pense est vraiment vrai ? » sans chercher une réponse mentale, juste la poser ‘en l’air’ et être en mode réceptif afin d’entendre la réponse du cœur.

La réponse du cœur est toujours « non » quand la question est une forme de jugement mais ce « non » n’accable pas au contraire il ouvre l’horizon, on sent qu’on ouvre son cœur.
C’est difficile à décrire parce que c’est un ressenti et dans ces questionnements, il s’agit d’ouvrir d’autres voies, de créer d’autres circuits neuronaux, de lâcher le mode duel, conflictuel. Et de pouvoir sentir la paix du cœur qui devient ensuite la seule référence, le témoignage vivant de la source en soi.

Le monde des émotions ne peut pas être contrôlé mais il est pacifié par le lâcher prise, l’abandon du jugement, le fait de dissocier les pensées de l’émotion. 
Ce monde émotionnel est celui qui ouvre ou qui libère l’énergie de vie, dans l’équilibre ou la neutralité. 
Cela ramène la joie véritable à la surface, la joie spontanée de l’enfant intérieur libéré des jugements, des étiquettes, de la lourdeur du passé.
On entre dans le moment présent, on lâche le passé et comme on est davantage présent à ce qu’on ressent, on apprend à reconnaitre l’énergie, la vibration de l’âme.
On perçoit sa présence de façon réelle, palpable, au-delà des vagues émotionnelles.
Je t’invite donc à juste ressentir sans coller d’étiquette, sans bloquer l’énergie, donc les émotions et sans t’y attacher.

L’émotion c’est l’expression de l’énergie de vie qui est filtrée par le mental et quand on lâche les références basées sur le jugement, l’énergie de vie est libérée.
Elle s’écoule plus librement, dans sa pureté originelle.

Les enfants font ça très bien parce qu’ils ne bloquent pas l’émotion, il ne la charge pas de pensées de jugement, de culpabilité ou de satisfaction, de sensation de bien faire. 
Ne crains pas d’être submergée en laissant les émotions s’exprimer librement parce que si tu ne juges pas ce qui émerge, ça passe, ça s’écoule naturellement. 
C’est le fait de coller une étiquette bien ou mal à l’émotion qui l’alourdit, la retient, la bloque, la contraint, la colore et l’amplifie... 




Tout ce que j'écris à cette personne, je l'expérimente et l'intègre plus en profondeur en le partageant. C'est une façon d'amplifier ma foi et l'occasion de lâcher le rôle du sauveur en étant plus dans l'expression du témoignage vécu que dans la théorie ou dans le rôle de l'enseignant parce qu'en fait je ne lui apprends rien qu'elle ne sache déjà. 

La connaissance des rayons sacrés est un bon moyen de revenir à l’essence, de lâcher les croyances et les réflexes conditionnés basés sur le rejet, la sélection, l’exclusion, de percevoir l’énergie en terme de fréquences.
Il ne s’agit pas à mon sens, de suivre un modèle ou de faire des calculs savants pour savoir quel rayon activer pour être meilleur, mais de savoir que nous portons ces attributs, ces potentiels et que notre cœur sait les gérer de façon équilibrer. Le vouloir est rempli d'attente et l'amour ou le don sont alors conditionnés.
La seule chose que ça demande de notre part, si on veut exprimer l'essence de l'être ou la sagesse de l'âme, c’est l’ouverture d’esprit et de cœur, le fait d’être prêt à considérer les choses sous un angle nouveau.

La sagesse est en nous tout comme l’amour et cela ne peut pas se provoquer mais ça se révèle au-delà des croyances, dans l’abandon du jugement, des anciennes références. 
Il n’y a rien à faire d’autre que de s’ouvrir, laisser l’amour lumière intérieur purifier le mental émotionnel et se laisser être. 

La douleur aux reins s’estompe mais elle demeure. Son sens métaphysique est juste mais je sens que cela se situe en profondeur et que l’acceptation, le silence, le fait de ne pas bloquer ni la tristesse, ni la colère, allège et décontracte cette partie du corps. 

Je vérifie une fois de plus que le fait de comprendre le sens de la douleur aide juste le mental à ne pas cogiter ce qui créé un terrain propice à la guérison mais pour que celle-ci soit réelle ou durable, il faut que l’énergie bloquée à cet endroit puisse à nouveau circuler et c’est en laissant les émotions de colère envers soi, dans cette circonstance, que cela se réalise.

Je pourrais me dire que c’est le fait d’avoir pris un premier bout de cachet qui a apporté un soulagement mais je sens que c’est plus le fait d’avoir extériorisé les pensées émotions que la douleur suscitait qui l’a calmée. D’ailleurs, la dose de médicaments n’est pas suffisante pour supprimer la douleur qui était assez tenace.

C’est sûr qu’on a plus tendance à croire les médecins, les vérités proclamées par des experts ou par la majorité mais c’est une façon de nier la source en soi et de rejeter la sagesse intérieure. 
Cela donne un sentiment de trahison, un décalage entre l’intuition et la raison, une division interne qui nourrit l’illusion, les croyances en un dieu extérieur. 

Les voix du mental, des croyances, du jugement, des références passées sont plus fortes que celle du cœur mais quand on se pose dans le désir de paix, on sait ce qui est juste dans l’instant, pour nous-même. On lâche le besoin d’avoir raison parce qu’en plus on sait que la connaissance est infinie. J’ai encore envie de dormir pourtant j’ai fait une sieste hier et la nuit a duré plus de 7h !

Pas de sortie aujourd’hui, juste être, ne rien bloquer et accueillir en la source d’amour lumière intérieure, tout ce qui émerge spontanément. 
Savoir se poser et suivre l’élan du moment, celui qui est porté par la joie. 
Cela m’apparait de plus en plus évident que la meilleure façon de purifier l’émotionnel c’est le silence mental ! D’où l’intérêt de se poser dans le rien, juste être, sentir, ressentir…
Et ça n’empêche pas du tout l’action, au contraire, j’ai fait de la cuisine hier avec un bel enthousiasme et je me suis régalée de la préparation à l’ingestion ! 
C’est la manifestation de la fluidité énergétique, du désir qui va jusqu’à l’acte et qui se produit, s’effectue dans la joie offrant déjà la récompense avant même d’atteindre l’objectif ou la matérialisation du désir, de l’idée. Un alignement naturel des corps guidés par l’âme, la joie d’être.  

Je réalise seulement maintenant que j'ai la réponse à ma question "comment s'adresser à l'ensemble?" puisque c'est exactement ce que je fais ici, lol! La vision de l'humain divin est si naturelle pour moi que j'oublie que la majorité des gens ignore ces vérités essentielles et universelles...bon je crois que je vais aller faire une sieste...

Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr