mardi 17 septembre 2013

A propos des 4 accords Toltèques...



Image trouvée sur The sacred of geometry


La réécoute des 4 accords Toltèques est très bénéfique. Un petit rappel est toujours bienvenu. « Que votre parole soit impeccable » explique entre autres, la puissance de la parole et son effet sur autrui. Je résume pour me rafraichir la mémoire et je devrais peut-être commencer par le quatrième qui permet de réaliser les trois autres. « Faites toujours de votre mieux ». L’accent est mis sur la nécessité de se pardonner de rompre ces accords, de ne pas y arriver systématiquement. Aucun humain sur cette planète n’est parfait et l’acceptation de cette réalité est une clef ! C’est aussi une chance de ne pas y arriver du premier coup. Il y a beaucoup de qualités dans les ratages qui nous apprennent la tolérance envers nous-même et envers les autres puis la persévérance qui amène la force. Tout art demande une certaine pratique acquise par la répétition. Un virtuose commence par des couacs, des fausses notes qui vont le pousser à persévérer; L’amour de la musique et la patience envers soi lui donneront l’énergie pour atteindre son objectif. La recherche d’élévation est un moteur mais le souci de perfection peut freiner l’élan. Le besoin de perfection éveille très souvent le juge intérieur quand la motivation initiale est celle de la peur, la peur de l’erreur, du rejet. Faire de son mieux, c’est tenir compte de nos limites, savoir les reconnaître et les accepter. C’est alors que nous pouvons nous surpasser, quand nous lâchons prise sur nos attentes, quand nous libérons la pression. On croit que c’est en forçant, en se donnant de la peine que nous assimilons des connaissances mais très souvent, c’est l’amour de ce que l’on fait qui nous propulse, nous élève. Lorsque nous agissons à partir du cœur, les choses viennent facilement. L’enthousiasme et la joie sont des facteurs incontestables de réussite. La neuroscience le prouve aujourd'hui.

Les trésors cachés du monde émotionnel



Michael Maguire, photo trouvée sur facebook TransLight


En ce moment, j’ai la pêche un jour sur deux. Hier levée à 8h, j’ai eu bien du mal à élever mon taux vibratoire, tout comme samedi. Ce matin, je suis réveillée à 4h40 complètement alerte, pleine d’énergie! Ce qui est encourageant, c’est d’avoir ainsi l’occasion de voir que les moments de tristesse peuvent être modifiés. Laisser venir, ressentir, dans un premier temps, procure un mieux être qui permet de trouver la joie naturelle ;  on dirait que c’est un temps d’exercice, de maîtrise de l’émotion. Parce que lorsque notre ciel s’obscurcit, il est toujours possible de voir le soleil derrière les nuages. Cet entrainement permet d’exercer son libre arbitre et son pouvoir, de focaliser son attention sur les petits détails positifs ou négatifs et ainsi créer son état d'être. Finalement, chaque journée étant constituée de petits instants consécutifs, il s’agit de choisir ce à quoi on donne vie, par notre regard, ce que l’on amplifie par notre attention. Comme si nous étions invités à jouer à écouter l’émotion et rectifier notre parcours selon ce qu’elle nous indique. 
Le jeu auquel j’ai commencé à me livrer dimanche, qui consiste à scanner mon corps pour repérer les crispations et les dissoudre par la respiration, me permet d’être dans le moment présent, plus consciente de ce que je vis. Ce repérage et cette attention aident à capter les moments où l’humeur change et permet de rectifier immédiatement. Habituellement, il me faut faire un flash back pour déterminer ce qui a baissé mon taux vibratoire mais en étant dans l’instant présent, on voit carrément lorsqu’on bascule d’un côté ou de l’autre.