mardi 24 septembre 2013

Les tendres énergies de la Lune



 
John Atkinson Grimshaw
Depuis la pleine lune, je sens le féminin divin se déployer en moi. La chanson « La tendresse » de Bourvil, tourne en boucle et Bilou, la chatte tigrée qui accompagne toutes les nuits depuis la fin août, était allongée sur le dos, complètement détendue. Elle reste encore assez sauvage et la voir si câline et sereine, m’a émue. Hier, j’ai écris à Gaïa, puisque c’est ma façon la plus intime de communiquer et le matin, je lui ai demandé de m’apprendre les vertus du silence et de l’acceptation. Comme si le féminin s’invitait chaque jour un peu plus remplissant mon cœur et mes gestes de douceur, de patience mais aussi d’intuition, une sagesse animale, terrienne, sauvage, me donnant une belle assurance, la sensation d’être bienvenue sur terre. Je ressens beaucoup moins de nostalgie quand je pense au « ciel », comme si le fait d’apprendre à accueillir les émotions libérait le féminin divin et permettait à mon âme de s’installer en profondeur dans mon ventre, ma chair. En envoyant quelques textes à Louis, de la presse galactique hier, et en relisant pour vérifier s’il y avait des fautes, j’ai pu constater que ma « progression » est de plus en plus rapide. Les textes du 17 septembre me paraissent vieillots ! Il y a des sujets sur lesquels j’ai travaillé et modifié mon point de vue ou encore des questions auxquelles j’ai répondu. Je ne suis pas en train de me vanter mais plutôt de vanter l’intérêt de s’aimer véritablement. J’insiste sur « véritablement » parce qu’à moins de se regarder entièrement nu,  au propre comme au figuré et d’accueillir tout ce qui nous semble laid, incorrecte ou inadapté, on ne peut pas réellement parler d’amour. On dit que d’aimer quelqu’un inconditionnellement, c’est aussi ne pas vouloir le changer, quand on applique ce principe à soi-même, il en résulte un lien puissant, intime et tendre qui permet d’aimer ces « défauts », de les considérer avec compassion, « d’aller avec », comme dit Lise Bourbeau. Mon gras du bidon qui me dérangeait, je le vois maintenant comme une protection, un genre de réflexe maternel pour protéger l’enfant intérieur. D’ailleurs, à propos de cet être, j’ai été un peu confuse puisqu’il est souvent employé pour imager autant les fragilités, les ombres et en même temps il est porteur des émotions les plus pures, comme notre lien avec la source, une part de notre âme, pour ne pas dire nôtre âme. Mais en fait, ça semble logique puisque les émotions sont vraiment l’expression du vivant, ce qui fait de nous des humains sensibles, aimants, vrais...Je me ballade de temps en temps sur Facebook et j’y trouve des citations d’auteurs que j’apprécie particulièrement comme Jacques Brel qui a dit : «Un enfant c'est le dernier poète d'un monde qui s'entête à vouloir devenir grand. » C’est tellement vrai !

Les 7 chakras




24 septembre, j'ajoute ces quelques lignes après qu'une lectrice m'ait dit que le lien ne fonctionnait pas. J'ai remarqué la chose mais je n'ai pas trouvé de solution. Je tente donc de vous permettre d'y accéder par les libellés et les archives.

J'ai trouvé cette explication sommaire sur la toile.
Je ne cherche pas à savoir dans le détail préférant expérimenter les émotions, les pensées, de l’intérieur...en "live"
Il y aurait d'autres chakras mais je pense que connaitre déjà ceux qui sont reliés aux pensées, aux émotions, au cœur, au troisième œil (faculté de vision)...sans m'attarder non plus sur ceux du haut puisque quand on travaille sur ceux du bas, ceux du haut s'ajustent aussi.
Cette connaissance est utile, à mon sens pour savoir que nous sommes des êtres énergétiques, constitués de corps subtils, d’amour et de lumière, multidimensionnels et non uniquement de chair et d'os. 
L'image est un support qui m'aide à visualiser chacun des corps, à les "identifier" de façon a mieux les connaitre, me connaitre et à m'adresser à eux pour les questionner et leur demander de s'associer harmonieusement. 
C'est par l'accueil des émotions, que nous pouvons communiquer avec le chakra sacré et libérer notre potentiel créateur, accéder au divin intérieur.