Ce
matin, je suis revenue sur terre dans un
état euphorique et une immense gratitude pour ce que j’ai vécu hier.
C’était plutôt rodéo mais quelles libérations à la clef !
Une journée
finalement très riche, remplie d’enseignements que je décrypte par images
concepts successifs et toujours par le biais de l’écriture spontanée.
Ce que
j’appelle mes diarrhées verbales enfin scripturaires, révèle des aspects de mon
être, tant ceux que je qualifiais de sombre que ceux autrefois étiquetés de
lumineux.
L’enfant intérieur s’exprime, enfin dit tout ce qui a besoin d’être
extériorisé et l’amour et la sagesse, le féminin et le masculin, assumés, répondent
ensembles aux interrogations émises par l’enfant. J’ai hésité trois fois à
publier la vidéo qui a attirée mon attention parce que mon mental qui a besoin
de cohérence et reste attaché à ses modes de compréhension, d’évaluation et ses
croyances, et il faisait barrage.
Mais
comme ce que j’ai vécu hier a grandement amplifié la confiance en soi, (limite
culot), j’ai décidé de ne plus rien retenir. Après tout, même si quelque chose
en moi craint encore la critique, la
désapprobation, une part qui prend de plus en plus de place, chérit la liberté
d’être, la franchise. Puis c’est en osant affronter ses peurs qu’on les
apprivoise et qu’on peut en voir toute la lumière et lire leur message.
La
plupart du temps, tout ce que nous vivons, a deux raisons d’être, enfin une
dont dépend tout le reste ; s’aimer sans conditions. Cet
« état » amène la sagesse, la guidance, révèle la lumière que nous
sommes et que nous exprimons depuis le cœur lorsque l’amour de soi est certain,
nourrit, vivant, vibrant.
Finalement
tout ce que nous faisons nait de l’amour. C’est la personnalité limitée par les
croyances basées sur la peur et le rejet de soi qui nous fait croire le
contraire.