Je voudrais
partager avec vous cet article de Michèle Végé. C’est en me promenant
sur Facebook que je suis tombée dessus et comme il permet de comprendre les
choses de façon logique et censée, j’ai décidé de le publier. Il y a une
différence entre juger, prendre parti et devenir conscient puis choisir son
mode de vie. Chacun participe à l’état du monde actuel en faisant
des choix au quotidien. La nourriture, le style de vie, la façon de consommer, créent
autant notre état d’être et notre environnement que notre foi, notre façon de
penser, de voir la vie; tout est inter relié. L’harmonie, la cohérence et la paix viennent quand
on ouvre sa conscience et son cœur. Internet permet aujourd’hui de savoir et d’agir
en connaissance de cause...
Je dois dire que je suis très chamboulée depuis hier
puisque j'ai lu quelques articles de cette personne qui a le don de toucher l’âme.
La photo de moi enfant, vient d’apparaitre sur l’écran de veille de l’ordi,
alors que j’en ai des milliers ! Pas de hasard ; ça me travaille, à l’époque j’aimais
la viande parce que je savais combien ça coûtait à ma mère de devoir aller
travailler pour nourrir toute la famille et la valeur qu’elle accordait à ce
produit qu’elle pensait indispensable à l’organisme. Donner de la viande à ses
enfants, c’était sa façon de nous démontrer son amour...Certainement qu’ayant
vu son père tuer des lapins pour agrémenter le repas dominical, elle avait dû
associer ça à l’image du courageux chasseur qui ramenait du gibier au péril de
sa vie. La notion de sacrifice était très présente, à la mesure du nombre de
paroissiens...
Alors si vous mangez encore de la viande, comprenez que c’est
inscrit très profondément en vous et qu’il faut accueillir les émotions qui
peuvent émerger lors de ce genre de prise de conscience et ne surtout pas en
faire une occasion de plus, de culpabiliser. Puis en ayant de la gratitude pour
l’animal qui vous offre sa vie, afin de vous nourrir, en limitant les
quantités, en achetant chez des petits éleveurs, vous pouvez vous "sevrer" en douceur et faire ainsi un pas
de plus vers l’amour de soi et de la vie. Il ne s’agit pas non plus de se faire
violence, cet égrégore est arrivé à saturation, mais de laisser « infuser »
l’info pour qu’elle aille de la conscience au cœur.