mardi 17 mai 2016

« Intégration de Qui Nous Sommes » Kara Schallock






Nous allons de plus en plus vers l’intégration de notre Nouveau Soi. 
Nous incarnons une toute nouvelle façon d’être. 
Les expériences de vie sont nouvelles et différentes. 

Si nous essayons d’agir avec les anciennes façons de contrôle / de planification et si nous ne sommes pas flexibles, les choses ne fonctionneront pas. Le Nouveau, c’est être souple et fluide. Les choses ne sont pas linéaires et elles fluctuent. 

Intégrer notre Nouveau Soi, c’est être fluide avec les changements de vie. 
Ce qui demande d’être dans le Moment et de ressentir quoi faire ou ne pas faire. 
Ce Courant nous aide à intégrer encore plus notre Âme.

Dans l’ancien, nous pensions que nous étions séparés et que nous avions juste à nous efforcer d’avancer sur notre chemin. 
L’Âme ne force pas, elle ne contrôle pas, elle est tout simplement. 
Être centré dans le moment présent est la seule façon de pouvoir vraiment ressentir ce que nous sommes guidés à faire

Dans l’ancien, nous avons donné notre Pouvoir à ceux qui nous disaient ce qu’il fallait faire. Dans le Nouveau, nous savons ce qu’il faut faire, principalement parce que nous fusionnons de plus en plus avec notre Âme.

« Un œil dans la tête: pour quoi faire ? » traduit par Tara MacIsaac





Les êtres humains possèdent tous ce qu’on a appelé un œil résiduel (inutilisé) dans leur tête. Cet œil a une structure similaire à nos yeux extérieurs, avec des tissus rétiniens, et il est sensible à la lumière.
On a beaucoup parlé de cet œil, connu sous le nom de glande pinéale ou épiphyse, dans la philosophie et la médecine. Voici un aperçu de quelques explications sur le rôle joué par cet œil sur votre cerveau, depuis sa fonction en tant que « troisième œil » pouvant percevoir les choses que nous ne pouvons pas voir avec nos yeux externes, jusqu’à son rôle dans la production de mélatonine.

1. Galien le Grec déclarait qu’il s’agissait juste d’une glande
L'éminent médecin grec Galien de Pergame fut, au IIe siècle, le premier à décrire la glande pinéale. Il a annoncé que, comme d'autres glandes, sa fonction constituait à consolider les vaisseaux sanguins.
Il a rejeté le discours dominant de son époque, décrit ainsi : certains pensaient que la glande pinéale réglementait le passage du pneuma psychique (un matériau considéré comme le véhicule de la sensation) à la façon dont un œsophage réglemente la circulation des denrées alimentaires dans l'estomac.
L’opinion de Galien est restée largement incontestée pendant de nombreux siècles.

« L’intuition est une sensation, celle de savoir, d'abord et avant tout, que tout est bien »






Depuis ce week-end, je sens qu’un grand nettoyage se réalise à l’intérieur, en profondeur. Nous sommes multidimensionnels et ce que nous connaissons de nous-même et de la vie, est la pointe visible de l’iceberg. Nos mondes intérieurs, souterrains, sont immenses et inconnus, même inconcevables pour notre intellect.

Il est donc inutile d’essayer de comprendre qui nous sommes en totalité mais on peut déjà se libérer des masques et croyances qui nous enferment dans des comportements automatiques, nous limitent et nous voilent la vérité déjà au niveau humain. 
Et c'est en ce processus qu'on perçoit le "divin", la magie de la vie, des synchronicités...

Évidemment, cette phase d’introspection est infinie et parfois douloureuse parce que nous nous identifions à l’image, à la surface de l’être, au modèle que nous avons établi, que nous avons définis souvent inconsciemment, selon nos gênes, notre éducation et nos préférences. 
Pourtant, on peut se connaitre et surtout en se connectant à son cœur, sentir la présence de l’âme, des énergies de la source, des guides qui sont les énergies proches de notre âme.

La conscience Une se manifeste en des myriades de formes, de vibrations, et lorsqu’on se place en notre cœur, on peut sentir ces énergies, ces vibrations que nos pensées émotions attirent.

« Ce qui doit arriver arrivera, chaque chose en son temps » Camille Legrand






Ce qui doit arriver arrivera, chaque chose en son temps. Le destin est incertain ; parfois, les vents ne soufflent tout simplement pas en notre faveur, et malgré nos efforts, nous ne parvenons pas à voir la réalité en face.

On dit que les plus belles choses qui puissent nous arriver ne se prévoient pas ; elles se produisent, tout simplement.

Mieux vaut donc laisser du temps au temps, car si une chose doit arriver, elle arrivera, quoi qu’il puisse se passer. Inversement, si ça ne doit pas se faire, ça ne se fera pas. 
C’est aussi simple que ça.

C’est pourquoi, parfois, mieux vaut ne rien prévoir et ne rien attendre, mais aussi arrêter de s’obstiner à parcourir un chemin qu’on a du mal à visualiser, ainsi que de vivre dans un monde d’attentes où tout est programmé.

Lorsque les choses sont finalement plus simples que ce qu’on se l’était imaginé, un grand éventail de possibilités s’ouvre alors à nous, nous permettant ainsi de profiter de la vie sous un autre angle de vue, bien plus calme et sympathique, et favorisant notre bien-être.

Tout passe, tout arrive, tout se transforme