mardi 4 novembre 2014

« Libérer le mental par l’écriture »





Je suis profondément touchée par la lecture de l'article qui parle de la circoncision. C’est une info à laquelle je n’avais prêté aucune attention jusqu’à aujourd’hui mais elle vient d’ouvrir un peu plus mon cœur et ma conscience à propos du masculin, de l’énergie mais surtout de l’homme. 
Si on considère que la majorité de l’humanité est blessée intimement et profondément dès son enfance, on peut comprendre la raison des souffrances de ce monde. 
La négation de l’enfant intérieur devient plus évidente tout autant que la certitude que cet être fragile est le sauveur de l’humain.

Puisque tout commence par le déni et le rejet, puisque la souffrance de l’humain vient de l’enfance, la guérison dépend totalement de la façon dont on va prendre en compte les appels de l’enfant que nous avons été et qui demeure en soi.

Tant qu’on n’admet pas l’existence de cet aspect intérieur, on ignore sa vraie nature et l’amour en soi s’étiole. L’enfant intérieur, c’est cet être que nous avons été, qui porte les rêves de notre âme, mais aussi nos plus grandes souffrances.

Nous avons vécu des millénaires en projetant nos besoins sur le monde, en essayant de manifester notre essence primordiale, nos énergies, au travers du couple, de la famille, dans l’espoir inconscient de réparer la blessure originelle. Mais en cela, nous nous sommes décentrés, nous avons perdu le sens de notre vie, de notre raison d’être, de qui nous sommes en réalité. L’expérience nous a permis de comprendre que tout ce que nous attendions, tout ce que nous cherchions, est en nous et l’a toujours été.

« Se libérer de la peur » par Mirena





Dans la peur, nous avons la capacité de conscientiser la Vérité. 
Avec elle, nous pouvons grandir. Pourquoi cela ? 
Parce que la peur est issue d’un passé accompli et grâce à ce vécu toujours présent dans notre corps et dans notre aura par les mémoires qui le représentent, nous pouvons accéder à la forme simple du pardon.

Mais me direz-vous, qu’est-ce que le pardon vient faire dans le cas précis des peurs en soi ? Le pardon est salvateur de bien des maux
Grâce à lui, nous avons la capacité de lâcher prise sur les peurs ainsi que sur tous les sentiments négatifs qui assombrissent nos énergies. 
Grâce à lui, nous accédons au changement.

Le pardon nous permet d’accéder aux différentes étapes de la conscience individuelle. Il s’agit là du pardon de soi qui coupe les liens avec les actes du passé lorsqu’ils sont reconnus de notre propre création.

Car en nous tout est inscrit ; dans notre ADN, dans nos centres énergétiques du corps, dans nos organes, dans nos tissus, dans notre aura. 

En nous pardonnant pour les peurs ressenties, nous nous pardonnons également pour les actes du passé, qu’ils soient conscients ou non. Nous accédons ainsi à la libération des peurs en nous. Dans ce positionnement, nous nous reconnaissons responsables de tout ce qui vient à nous.

« Retrouver son intégrité en cassant le cycle de la vengeance »





J’ai bien du mal à concevoir comment quelques milligrammes de médicaments en moins peuvent me perturber à ce point ! J’ai dû prendre un petit bout hier soir pour arrêter le vacarme et les sensations de vertiges pire même, l’impression de devenir folle. Ce n’était pas un défilé de pensées insensées mais la confusion et carrément une forte sensation de sombrer, de glisser vers le néant ou la mort. Comme je ne suis pas masochiste, j’ai calmé le jeu par la prise de 0,01mg de produit ! L’équilibre intérieur tient à peu de choses !

Pour couronner le tout, je viens de lire un article à propos de la circoncision* ! 
Je n’avais jamais vraiment réfléchi à la question mais il se pourrait bien qu’on ait ici une des causes des difficultés dans la relation homme femme. 

Il est expliqué à quel point cette opération représente un traumatisme pour l’enfant, tant au niveau de la douleur physique qu’au niveau psychologique. 

Déjà, la naissance par elle-même est d’une rare violence puisque le bébé passe de l’oxygénation via le sang de sa mère à la respiration pulmonaire. Il nait dans un bain de sang, torturé par la douleur, quand il n’y a pas en plus quelques excréments expulsés lorsque le nouveau né appuie sur les intestins. 

On peut rêver mieux comme arrivée sur cette planète ! Il ne faut pas s’étonner que l’amour soit aussi distorsionné si à l’âge de huit jours, un bébé subit une des pires choses qui existe pour un humain, la mutilation et à travers elle, le déni, l’humiliation, le sentiment d’abandon, de trahison même, d’injustice, la rupture de confiance vis-à-vis des parents qui entraine un déni, un rejet de soi et brise la confiance en soi.