jeudi 26 décembre 2013

"Le peuple des Dauphins" par Caroline Leroux




Salutations à vous, descendants des peuples des étoiles! Vous croyez votre origine terrestre mais, détrompez-vous. Vous venez d’ailleurs, en séjour ici sur le sol terrestre, planète qui fut jadis un haut lieu de rencontre, d’échanges, de découvertes et de coopération entre les peuples interstellaires. L’humanité, telle que vous la vivez maintenant, est un reflet, par moment bien pâle, de la splendeur qui vous habite. Vous avez accepté de vivre la dégénérescence et encore aujourd’hui, pris dans la cage de ce que vous appelez votre nature humaine, vous répétez les mêmes gestes et effectuez les mêmes choix destructeurs...
Pour beaucoup, vous sentez l’étrange filet invisible qui se resserre sur vous et vous coupe peu à peu votre liberté, votre joie. Sachez que ce filet existe bel et bien, et qu’il a été créé pour vous amener à la conscience et vous donnez la force d’être les fils et filles de lumière que vous êtes. L’expérience de l’être humain a pour racines la dualité mais, pour ceux qui le désirent, l’exploration peut se faire bien au-delà des racines...
Nous du peuple des dauphins, sommes heureux malgré la gravité de nos propos, de
pouvoir communiquer avec vous car vous êtes nos frères et nous vous avons promis notre aide. L’aide que nous vous avons apporté est grande et diversifiée. Nous désirons profiter de ces communications pour vous livrer les clefs de vos propres destinés car l’heure a sonné! Le temps est venu pour nous, au cours des prochaines années, de vous assister à mettre au monde une nouvelle humanité. La terre s’apprête à vivre un accouchement grandiose et la plus grande clef qui puisse vous être donnée est dans l’eau!

Douter de soi et par le Soi, retrouver la confiance dans l'unité



Facebook auteur non cité


Ce matin, j’ai bien du mal à retrouver la confiance en soi. Le doute est très présent, pas tant par rapport à mes origines divines, au christ intérieur, mais plutôt ce fichu sentiment d’illégitimité qui refait surface. D’un autre côté, comment devenir autonome si on n’ose pas être soi-même, s’affirmer sans craindre la désapprobation. Je reste encore très sensible à la critique bien que celle-ci, peu fréquente, m’affecte moins qu’avant. Cependant c’est bien ce qui me plonge dans un état fébrile, ce matin. La visite de ma sœur hier, s’est relativement bien passée. J’avais pris soin de m’adresser à l’enfant intérieur pour le rassurer, lui dire mon soutien, ma protection et ma détermination à ne pas jouer les jeux de rôle habituels ; la sœur cadette qui reçoit les émotions négatives de sa sœur et qui en souffre en silence. Celle a qui on reproche l’existence parce qu’elle vient ravir l’attention des parents. Celle à qui on en veut de devoir partager cet amour filial. Des croyances d’enfants qui perdurent jusqu’à l’âge adulte et fausse la relation. Bien que j’aie respecté mes propres besoins, tout en étant dans l'échange, il semble que des frustrations soient tout de même présentes. Le fait de ne pas avoir pu communier avec ma sœur, de ne pas avoir ressenti la complicité d’avant. D’avoir dû me « fermer » afin de me protéger.