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mercredi 24 avril 2013

La grâce c'est l'amour inconditionnel que le divin rayonne




Je repense au texte de Murielle Robert qui parait du chiffre 13 de la purification, dans laquelle nous sommes cette semaine. Il semble qu’une fois de plus, elle ait raison dans son interprétation de ce numéro comme des autres d’ailleurs. Ce qui veut dire que les désagréments, les flottements, les doutes, les remontées d’énergies lourdes sont d’actualité. Une chose à retenir dans ce processus c’est qu’il est loin de vouloir nous maintenir dans la souffrance mais bien de nous en extirper. Quand on prend conscience de ses fausses croyances, pour peu que l’on soit honnête avec soi-même, on peut constater le "chantier" que représente un tel nettoyage. Il parait clair qu’avec notre seule perception physique, à partir de cette dimension, nous ne pouvons appréhender ce qui se passe dans l’invisible et il est évident que notre mental seul ne puisse réaliser un tel bouleversement. Il est question de vivre à partir du cœur, de son ressenti et plus de calculer, d’anticiper, de jouer à gagner. Tant qu’on nous peignait un tableau idéal où les "méchants" seraient punis, et qu’évidemment on se situait du coté des gentils, le scénario nous excitait. Toutes nos souffrances et surtout les bourreaux qui ont pourri notre vie, seraient enfin punis ! 
La réalité est toute autre. 

vendredi 5 avril 2013

"Je t’aime Lydia", Marie Madeleine reçu par Paméla Kribbe: "Se sentir chez soi sur terre", vidéo Darpan et extrait "Angel-A" de Luc Besson



The return of the feminine

Pas facile à se dire en face, pourtant ces quelques mots ont un immense pouvoir guérisseur. Il m’a fallu deux heures pour "remonter la pente", pour arriver à lâcher prise et retrouver la joie d’être, tout simplement, sans justification, sans doute d’être à la bonne place, au bon endroit, au bon moment et dans Ma vérité, sur Mon chemin. La réception de cette vidéo par le site Epanews, (de la part de Laëtitia Ludivine), a fini de me convaincre d’effectuer ce lâcher prise en portant un regard amoureux sur moi-même, en sortant de l’auto-critique, du jugement. Sortez vos mouchoirs ! Si des larmes vous viennent, elles seront le signe d’un appel de votre âme, de votre enfant intérieur qui manque de reconnaissance pour exprimer pleinement la joie de vivre. Accueillez-vous à bras ouvert. La tendresse que l’on s’accorde c’est la porte grande ouverte à l’amour que nous sommes en vérité mais comme le dit l’ange dans cet extrait de film, il faut l’exprimer, il faut qu’il puisse circuler pour s’amplifier et revenir multiplié.

Extrait du film de Luc Besson :
« Angel-A »

lundi 18 février 2013

La spontanéité et "la peur de se tromper" par le collectif Ashtar via Simon Leclerc


La spontanéité est une bonne chose pourvu qu’on y associe la sagesse !
Je commence à me situer un peu mieux, vis-à-vis de moi-même, dans l’intégration des énergies polaires en moi et la volonté de les équilibrer. 
Je me rends compte que je ne sais pas vraiment dialoguer sereinement et que je suis plus souvent dans la "réaction" et "l’interprétation". 
Il faut dire que j’en suis dans les tous débuts de l’expression de soi vis à vis du monde et que je maîtrise très peu la communication.
J'ai passé ma vie à rejeter les autres par peur d'être blessée et rejetée moi-même. 
Enfin ça, c'est seulement maintenant que je m'en aperçois.

D'où vient ce besoin de me justifier en toutes choses?





Ce qui suit m'a été inspiré alors que je lisais des articles sur le site Epanews.
Comme je ne fais pas les choses à moitié, maintenant que j'ai décidé de me tourner vers l'extérieur, il n'est pas question que je sois uniquement spectatrice et je ne retiens pas l'élan de désir d'échange, de communication qui est enfin né en moi.
"Héritage culturel, mémoires cellulaires, tradition familiale, inconscient collectif ? Ou encore conséquence de la loi d'attraction, de résonance.
Toujours ce sentiment de devoir m'excuser d'être ce que je suis.

Alors je me rebelle et pour sortir du lot, m'exhibe en des tenues des plus extravagantes. Affiche ce que je crois à travers de vêtements où le mélange des genres, des styles et des époques, est un moyen de dire ce que porte mon cœur. Expression de mon rêve d'unité, de réconciliation entre générations, de mariage espéré entre toutes nations, entre tous les folklores et toutes les cultures. Où je me plais dans le jeu d'harmonie des couleurs, dans l'association amoureuse du noir avec le blanc. Sans les fusionner parce que le gris souris me semble trop porter de tristesse et d'ennui.

samedi 16 février 2013

Qu'est-ce que la liberté? Y-a-t-il seulement une réponse? Vidéo "L'après vie existe" du Dr Charbonier




Cette question revient régulièrement et avec force.
Quand j’ai décidé de consommer des produits dérivés d’opium, c’était pour répondre à la sensation d’être prisonnière de mon corps physique. 
Esclave de cette enveloppe qu’il fallait entretenir, nourrir. Et puis pour nourrir ce corps, il fallait travailler, ne plus être libre, en chier pour mériter le droit d’exister. Tout ça pour faire vivre cette chair où je me sentais étrangère, qui ne représentait pas du tout ce qui vivait, en moi.
Pour se tenir debout, il fallait être à genou, plier devant des règles établies par les peurs, celle de mourir, de disparaître qui pousse à tout faire pour être reconnu. 
Alors la grande faucheuse, je l’ai appelée mais elle m’a refusé la délivrance suprême.