Cette
question revient régulièrement et avec force.
Quand j’ai
décidé de consommer des produits dérivés d’opium, c’était pour répondre à la
sensation d’être prisonnière de mon corps physique.
Esclave de cette enveloppe
qu’il fallait entretenir, nourrir. Et puis pour nourrir ce corps, il fallait
travailler, ne plus être libre, en chier pour mériter le droit d’exister. Tout
ça pour faire vivre cette chair où je me sentais étrangère, qui ne représentait pas
du tout ce qui vivait, en moi.
Pour se tenir debout, il fallait être à genou,
plier devant des règles établies par les peurs, celle de mourir, de disparaître qui pousse à tout faire pour être reconnu.
Alors
la grande faucheuse, je l’ai appelée mais elle m’a refusé la délivrance suprême.
La
notion de liberté est toujours relative. On sait qu’on est plus libre que celui
qui est en prison. Mais est-ce réellement le cas ? Oui je peux bouger mais
je ne peux voler. Pourtant avec ma tête je vais où je veux. D’un côté l’illimité
et de l’autre la contrainte du quotidien, la routine qui vous fait trouver la
vie bien pesante.
Je me crois
libre parce que je vis dans un pays où la femme est relativement bien traitée, mieux que dans d’autres pays où elle est voilée muselée, mutilée. Mais elle
reste une mère ou bien une maîtresse, objet de procréation ou bien de désir. Si
elle veut être entière, on la traite de mégère ou même de sorcière. Si elle n’est
pas soumise à l’amour d’un homme, on la taxe de lesbienne ou de sainte Catherine.
Elle ne peut exister qu’au travers des hommes, mère de, femme de, copine de,
fille de...
Je peux
me croire libre parce que j’ai le droit de vote. Mais c’est encore un leurre que
la démocratie. Est-ce réellement un choix que de voter pour celui qui
semble le moins pire de tous ces ambitieux sortis des mêmes écoles et qui se
réunissent pour fêter leur supériorité sur la masse, d’avoir pu se faire une
place en dehors du commun.
Est-ce une liberté que de laisser quelqu’un choisir
pour soi-même, ce que sera demain ? Est-ce bien nécessaire que des adultes
censés être autonomes aient encore besoin de pères, de chef, de directeurs ou même
encore de mères, de rôles et de sauveurs ?
On croit
aussi avoir la liberté de devenir ce que l’on veut mais dans l’éducation où
tout est fait pour rendre conforme aux normes établies, dès notre enfance on
doit suivre des façons d’être, des façons de voir la vie, pour se sentir aimé
intégré, accepté, aucune place n'est laissée à l’originalité.
Elle est au
contraire bannie, marginalisée, exclue. Et celui qui voudrait exprimer ce qu’il
est, peut vite se retrouvé taxé de désaxé et finir ses jours en psychiatrie,
bourré de somnifères pour ne pas perturber le personnel restreint.
Alors
moi j’ai choisi de ne pas me conformer, de chercher à qui à quoi, je pouvais m’identifier.
Punk ou baba cool, je restais enfermée dans une catégorie qui bien que marginale
vivait avec des codes identiques à ceux là même qui étaient critiqués dans la
société, reproduisant les schémas d’adhésion, d’exclusion et de normes.
Je me
suis trouvée à force de contraires, par rejet de ce qui me semblait faux. Mais
là encore, je ne faisais que me situer par rapport aux autres. Intégrée,
conforme ou marginale c’était le même schéma. Le même enfermement.
Puis j’ai
cru en un Dieu père qui jugeait ce qui était bien et ce qui était mal, m’attachant
à son fils qui semblait au-delà de tous ces classements.
Mais
tant que je croyais qu’il était mon sauveur, je restais enfermée dans un
conditionnement. Je ne sortais toujours pas du triangle infernal des rôles pré-établis, de victime de bourreau ou de sauveur. Je changeais
ma vision de moi-même, un coup me sentant acceptée, un autre rejetée.
Tant que
j’ai cherché ailleurs que dans mon cœur ce qu’était ma vérité, je ne faisais
que suivre celle des autres et j'en était frustrée.
Cette quête de liberté m’a finalement conduite à rechercher en moi pour savoir
qui j’étais.
Plus je me reconnais et plus je deviens libre.
Plus je suis
authentique et plus je suis en paix.
N’écoutant que mon cœur, j’ai suivi sa
voix et finalement je sais que ce qui vibre en moi, c’est la vie éternelle.
Que
tout ce que je suis est une expression unique de la source père mère et que ma
liberté c’est celle de croire en moi, de choisir de m’aimer toute entière.
Puisque
ce que je suis, dans cette apparence, n’est qu’une illusion éphémère, mais que
c’est par là que je touche mon essence profonde, autant apprendre à vivre dans
l’acceptation et habiter ce corps trop longtemps méprisé.
La mort
est un passage, la vie une expérience pour apprendre et connaître qui je suis,
qui est l’autre, quelles sont les énergies qui circulent en moi.
Puisque
mon être vrai est immortel, à quoi bon me soucier de la mort de ce corps.
A
quoi bon rechercher la reconnaissance des autres si elle doit m’enfermer dans
un rôle, une façon d’être ?
Pourtant
malgré ma foi, je continue de croire que cette enveloppe me limite. Même si je
sais que ce sont les règles du jeu de l’incarnation et que d’être ancrée,
reliée à la terre, est la porte de l’être, je reste en dehors préférant vivre
dans mon monde imaginaire, dans le rêve, la projection d’un idéal où tout
serait amour, jouissance et plénitude, où aucune contrainte ne viendrait s’opposer.
Une
autre part en moi, me dis que la contrainte permet de s’élever, que les barrières
sont faites pour être franchie et que cette envolée propulse vers les cieux. Mais
entre surmonter et se surpasser, la limite est bien fine et on tombe vite dans la
lutte, la compétition avec soi-même ou avec les autres.
Tout
semble se contredire. La loi du libre arbitre n’est que le fait de choisir
comment je voie les choses, ce à quoi je veux croire.
Il
semble au bout du compte, que la liberté soit un état où on accepte tout ce qui
est et tout ce que l’on est.
Tant que je me situe dans un de mes corps et croit
que c’est mon unique lieu de résidence, je reste sous la contrainte de ses propres
limites.
Si au
contraire j’accepte tout ce que je suis et ne m’attache à aucune de ces
facettes mais m’identifie, pour le temps de cette incarnation, à l'ensemble, alors plus de frontière, de barrières de
contraintes.
En acceptant le jeu de la vie que je me suis choisie, sachant que tout est fait
pour ma progression, il me suffit de suivre le courant de la vie.
De nourrir
l’amour en moi, de le laisser circuler librement, de ne rien retenir, de ne
rien rejeter. Tout ce qui fait souffrir, c’est de vouloir être une seule
expression de tout ce que l’on est, de vouloir diviser.
Si j’accueille tout ce que je suis, je reconnais que ce qui est, c’est
le divin en moi qui le créé pour que je m’affranchisse de toutes fausses
croyances, alors plus de conflit ni même d'exigence.
Moi qui
veux être amour, en commençant par m’aimer sans rien rejeter, je laisse cette
énergie me remplir, rayonner. Ma vision de moi-même, change ma vision du monde
et je reconnais que ma liberté est là, dans ma façon de voir et dans le fait de
savoir qu’un espace en moi, en ce corps de chair, est illimité, éternel,
présent ici, maintenant.
Un espace sans frontière, qui ne peut se situer, où on
ne peut s’attacher à rien, où on flotte en suspens, dans un vide qui pourtant n’est
pas rien.
Un lieu
que seule ma peur du néant m’empêche de visiter régulièrement.
Plus j’apprends
à m’aimer et plus tout ce qui me faisait peur devient une illusion, n’a plus
autant de force ni de contenance.
Alors je
continue d’accepter qui je suis, d’accepter ce qui est. D’oser voir ce qui est
en moi, le clair comme le sombre, en simple spectateur, sans jugement ni peur.
Juste pour me connaître et vivre l’expérience de l’exploration, à travers tous
mes sens, à travers tout mes corps unis, dans la joie de pouvoir être là, ici et
maintenant.
Voici un
extrait d’un texte lu dans la presse galactique, écrit par Étoile cristal.
L’amour
est partout !
Lorsque vous cherchez l’amour autour de vous c’est qu’il est manquant en vous, alors il vous suffit de pousser la porte verrouillée en vous pour enfin vous connecter à l’amour qui est en votre être, l’amour divin, celui qui s’écoule de la plus haute source divine en vous, après cette reconnexion l’amour sera dans votre vie sur tous les plans.
Ne cherchez pas ailleurs ce que vous possédez déjà ! Déverrouillez la porte puis dans un élan de confiance poussez-la, et à cet instant pénétrez dans la lumière d’amour originel, afin de baigner pour l’éternité dans l’amour universel.
Les clefs vous les détenez, la force et la confiance en vous également. « Il suffit de croire en vous-même et de vous reconnecter. »
Namasté. Vos frères de lumière.
Texte remis à LaPresseGalactique.com par Etoilecristall le 18.12.12
Lorsque vous cherchez l’amour autour de vous c’est qu’il est manquant en vous, alors il vous suffit de pousser la porte verrouillée en vous pour enfin vous connecter à l’amour qui est en votre être, l’amour divin, celui qui s’écoule de la plus haute source divine en vous, après cette reconnexion l’amour sera dans votre vie sur tous les plans.
Ne cherchez pas ailleurs ce que vous possédez déjà ! Déverrouillez la porte puis dans un élan de confiance poussez-la, et à cet instant pénétrez dans la lumière d’amour originel, afin de baigner pour l’éternité dans l’amour universel.
Les clefs vous les détenez, la force et la confiance en vous également. « Il suffit de croire en vous-même et de vous reconnecter. »
Namasté. Vos frères de lumière.
Texte remis à LaPresseGalactique.com par Etoilecristall le 18.12.12
Ce qui
suit est une vidéo qui date de 2006 et qui est diffusée sur le site Epanews
Le docteur Charbonier y aborde le sujet de l’après vie.
Le docteur Charbonier y aborde le sujet de l’après vie.
Je viens de la regarder, enfin plutôt de l'écouter, tout en faisant ma toilette, en étant dans
la réalité physique, histoire de jouer le jeu de cette incarnation, de suivre le
mouvement de la vie et de me glisser en lui. Bien que je n'y ait rien appris ,de nouveau, je me félicite d'avoir entendu ces mots qui fortifient ma foi en tout ce que je crois.
La peur de la mort libérée, je peux être pleinement.
Sans forcer, sans contraindre,
sans même diriger autre chose que mes pas.
En me satisfaisant de répondre aux
besoins de mon corps physique plutôt que de le fuir en étant dans ma tête. Lui qui contient tout, sans pour autant enfermer puisque qu'en reconnaissant le divin en moi, je suis libérée de tout conditionnement, en harmonisant tout ce que je suis.
Puisque
le divin en moi, inscrit dans chaque cellule, s’exprime à travers les gestes
simples du quotidien, je tends à vouloir être simplement qui je suis. Juste Être.
Être vivante, le sentir à travers les sens.
Être en paix avec la mort afin d'être libre.
Dans cette vidéo, le Dr Jean-Jacques Charbonier - Médecin anesthésiste réanimateur nous raconte son expérience vécue avec certains de ses patients et ses conclusions sur la vie après la mort. La vie ne s'arrête pas au moment de la mort. Ce qui suit est extrait de son livre intitulé: "L'après vie existe"aux éditions CLC
Dans cette vidéo, le Dr Jean-Jacques Charbonier - Médecin anesthésiste réanimateur nous raconte son expérience vécue avec certains de ses patients et ses conclusions sur la vie après la mort. La vie ne s'arrête pas au moment de la mort. Ce qui suit est extrait de son livre intitulé: "L'après vie existe"aux éditions CLC
"L'après vie existe ; c'est ma conviction. Si cette certitude acquise au fil du temps ne se démontre pas, elle peut du moins, se partager. Bien que de formation scientifique, et exerçant une spécialité médicale très technique comme peut l'être l'anesthésie réanimation, j'ai pu finalement admettre que la mort n'est qu'un passage obligé vers une destination inconnue. Tout ce qui existe n'est pas nécessairement expliqué ou explicable. En revanche, ce n'est pas parce qu'un phénomène paraît illogique ou aberrant qu'il faut nécessairement nier une existence, et à mon avis, c'est faire preuve d'un sérieux manque d'humilité que de vouloir prétendre le contraire. Puisse mon témoignage redonner espoir à ceux qui l'ont perdu en offrant la certitude d'une éternelle survivance".