jeudi 29 décembre 2016

« Honorer l’innocence de l’enfant en soi »





28 12 Une affirmation dans une des méditations de Deepak Chopra retient mon attention ce matin et cette perspective vient nourrir ma vision, ma compréhension. 
Il dit : « Je nourris l’univers et l’univers me nourrit » mais en fait, si on s’en réfère au souffle et donc à la relation au divin, à l’univers, c’est plutôt l’inverse, on se nourrit d’abord de l’univers par l’inspiration puis on le nourrit par l’expiration. 
Bien que ça puisse sembler insignifiant, ça révèle bien des choses. 

Quand on considère les choses de ce point de vue, on comprend aisément qu’on ne serait rien sans la source, qu’on ne peut prétendre donner depuis notre vouloir et donc s’en attribuer les mérites. 
On comprend qu’il n’y a rien à faire pour exister ni pour manifester le divin en soi, qu'il n'y a aucun sacrifice à consentir sinon celui d'être vrai. 

Notre qualité de vie dépend de notre nourriture et si on est conscient d’être l’amour, que l’univers est cette vibration d’harmonie, si on inspire l’amour en conscience, on se nourrit de hautes vibrations. 
Ou plutôt, je devrais dire si on est conscient de respirer l’amour et la lumière, c’est qu’on a déjà bien nettoyé les filtres des croyances, compris l’importance, la valeur de l’amour, de la paix et de l’unité, ou qu’on a eu accès à cela.   
Et on est conscient de la même manière qu’on restitue cet amour lumière dans le monde en les portant, en le vibrant. 
Selon notre degré de conscience, selon notre focalisation, notre intention sincère, nous puisons dans des sphères plus ou moins élevés, unifiées,  nous nous nourrissons de ce sur quoi nous nous focalisons ou portons notre attention. C’est en cela qu’on choisit les fréquences sur lesquelles on veut voyager, les êtres avec lesquels on est en interaction.

29/12 Je suis passée encore par des vagues de libération émotionnelle, d’ennui, de lassitude, de jugements et la différence avec le passé, c’est que je ne bloque plus rien.