vendredi 14 juin 2013

La qualité d’Amour appelée Audace, par Marlene Sweltishoff

Charles Frizell

Voici un message publié sur la presse galactique il y a un mois, que j’ai lu ce matin avant d’aller à mon rendez-vous avec l’assistante sociale, à qui j'ai donné le nom du blog. J'ai un peu regretté de l'avoir fait après coup puisque ça risque de freiner mon audace. J'ai encore trop tendance à croire que l'autorité est forcément injuste et les informations sur les manipulations des gens de pouvoir, n'arrangent pas les choses! Il y a vraiment du tri à faire dans tout ça! D'autant plus que j'ai la chance d'avoir affaire à quelqu'un d'ouvert. Elle m'a parlé des fleurs de Bach que je connaissais et cette idée me semble bien inspirée. Les souvenirs de maltraitance de vies passées ont certainement une influence sur ma façon de considérer les choses aujourd'hui. Pour cette raison, je remercie mon âme de m'avoir mis le message qui suit, sous les yeux et de m'avoir donné l'idée de faire la séance de découverte des vies antérieures. C'est en lisant ce qui suit que j'ai publié les textes d’aujourd’hui malgré mon manque d'enthousiasme, au retour de mon rendez-vous. La confiance en soi reste à intégrer en totalité. Plutôt que de regarder le chemin qui reste à parcourir, vois le trajet déjà effectué! Encre une fois, je peux constater que ce que j'écris est à appliquer dans les heures qui suivent! 


La qualité d’Amour appelée Audace
Par Marlene Sweltishoff

Confiance en la bienveillance de la source ! Lien vidéo Denise Linn "A la découverte de vos vies antérieures"




Après une longue nuit mêlée d’enseignements et de libérations de peurs, plus ou moins conscientes, le réveil est mitigé. Je tente de relativiser l’appréhension que crée mon rendez-vous de tout à l’heure. Ce qui me gave le plus, dans cette histoire, c’est d’avoir à rendre des comptes à quelqu’un. D’avoir à justifier le droit d’exister et celui de vouloir être différente, de ne pas vouloir se conformer aux modèles pré-établis. Il est difficile de faire la part des choses et de ne pas tomber dans le piège de la victimisation. Oui, les petits gris, les forces du mal...mais avant tout mes propres limitations, peurs et restrictions. J’ai libéré bon nombre de craintes mais il reste des résistances, des blocages que je n’identifie pas toujours très bien. Je sens bien que des montées d’angoisse qui appartiennent à l’inconscient, l’instinct de survie et à l’inconscience du monde, sont en jeu mais bien que je les voie avec un certain recul, j’aie bien du mal à m’en détacher. D’ailleurs, à propos du détachement, c’était un des thèmes des enseignements de cette nuit. On me donnait l’exemple d’un truc, sur le bureau de mon ordinateur auquel je m’accrochais. Je ne me souviens plus de quoi il s’agissait précisément, de toute façon, ça n’est pas l’objet de l’attachement qui importait dans cette « leçon » mais plutôt la notion même de cette tendance à s’attacher à l’illusion de ce monde. A ces vieilles croyances d’impuissance, de devoir et d’obligations. Là encore, La Solution, le lâcher prise ! J’ai souvent une première réaction de colère, quand j’en arrive à me dire ça, tant j’aie du mal à le faire ! D’un autre côté, bien souvent c’est quand on est poussés dans nos derniers retranchements, qu’il s’effectue naturellement, presque obligatoirement puisqu’on a plus d’autre choix.