mercredi 21 août 2013

"L'envie de plaire et de s’adapter", message du Collectif Ashtar reçu par Simon Leclerc





Salutations à vous, chers enfants de la Terre.

Il nous fait plaisir de nous présenter ici et maintenant et de venir vous rencontre chères Âmes. Nous vous connaissons et savons qui vous êtes. Nous comprenons les défis que vous traversez au quotidien, car l’Être d’amour que vous êtes est en continuelle évolution. En même temps, un aspect de vous réclame de votre part qu’il y ait une compréhension et un regard amoureux posé sur les blessures et les blocages que vous rencontrez dans la matière. Être son propre grand frère ou grande sœur dans l’incarnation est au cœur du processus évolutif sur Terre.

Beaucoup d’Êtres humains ont de la difficulté à reconnaître qui ils sont, à se reconnaître en tant qu’Être d’amour faisant partie d’un Univers uni. Ils ont l’impression que pour se reconnaître, ils doivent d’abord être reconnus par les autres. Cela est naturel en soit, puisque socialement, la reconnaissance de soi débute par un accueil inconditionnel de tout Être dès sa petite enfance de la part de ses parents. Il apprend alors qu’il sera aimé, peu importe ses choix et les qualités qu’il exprimera dans sa vie.

Pas d'idée de titre





J’ai remis un peu d’ordre dans mon emploi du temps en me couchant relativement tôt hier soir, ce qui m’a permis de me lever à 5h30. Il faut dire que le voisin qui rentre toutes les nuits vers 4h me perturbe un peu puisque ça me réveille. Il ne se gêne pas pour claquer les portes en pleine nuit, maintenant qu’il travaille ! Il a repris un restau en ville, alors il se la pète et se croit tout permis. Remarque ça n’est pas nouveau. Même si mon comportement est puéril, je me lève et j’en fais autant. Enfin, je ne me gêne pas pour freiner mes gestes. Je dis ça mais il n’entend sûrement rien puisque je suis assez discrète malgré tout. Je prends ça comme l’occasion de me lâcher, d’apprendre à oser, sans pour autant écraser l’autre. J’ai vraiment du mal à concevoir qu’on ait besoin d’être bruyant pour se sentir exister. Une blessure de rejet doit le titiller. Bon, j’ai encore passé quelques temps à lui accorder de l’attention ! Il est clair qu’il me renvoie quelque chose qui est en moi mais j’y vois plus le fait d’oser être. Du moins oser être, sans culpabiliser, sans se dire que je suis exubérante puisque ça n’est pas le cas. On peut dire que je suis assez « spéciale », que je ne passe pas inaperçue mais je ne suis pas dans l’excès. Enfin, de mon point de vue parce que pour les gens de la génération de ma mère, par exemple, je suis quelqu’un d’extravagante ! Tout ça n’est que la trace de la peur d’oser être soi-même et certainement le besoin de se distinguer de la masse. Ce n’est pas un défaut en soi si ça ne pousse pas à écraser ou nier les autres, leur droit d’être eux-mêmes. Comme le dit Lise Bourbeau, nous portons tous des blessures en notre âme.

Développer son autonomie affective, selon Lise Bourbeau



Visoflora

Je suis en train d’écouter une conférence de Lise Bourbeau qui parle de la dépendance affective et je reviens à l’acceptation de ce qui est, par rapport aux cachets. Elle m’a convaincue de continuer dans l’acceptation de ce que je suis et de ce qui est. 
Ce qui suit est la transcription littérale de la partie concernant les raisons de la dépendance :
-Pourquoi vouloir lutter contre une dépendance est une forme de déni.
-Les blessures qui sont cachées derrière les dépendances.
-Le processus de guérison qui permet de guérir les blessures de l‘âme.
J'ai ajouté quelques commentaires en italiques.