Affichage des articles dont le libellé est Idriss Aberkane. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Idriss Aberkane. Afficher tous les articles

jeudi 19 octobre 2017

« Intégrer la loi de la permission : Incarner l’amour sans conditions » & vidéo





17 10 Je continue de relire et d’améliorer dans la forme afin que ce soit plus lisible, ce que j’ai écrit en 2012 et publié en 2013, à la création de ce blog. 
Je peux voir combien le fait de pacifier la relation à soi libère de nombreuses croyances erronées et rend plus fort, confiant, présent. 
L’envie de manifester l’amour inconditionnel doit s’installer d’abord en soi, se vivre en conscience. Et cela change notre relation aux autres tout naturellement, sans qu’on ait même le besoin ou l’idée de les changer. 

C’est la manifestation de l’amour véritable qui n’impose rien aux autres mais qui vient du choix individuel de se positionner au centre. Ma façon de provoquer de l’époque répondait à mon propre désir d’autonomie et au dégoût pour les manipulations en tout genre. 
Là encore, c’est en apprenant à devenir responsable de moi-même, consciente de mes besoins et prête à les assumer en conscience que le respect de soi s’installe. 
Dans ce choix d’accueillir plutôt que de rejeter ce que je percevais comme négatif, que la paix demeure et que l’unité, l’amour vrai, s’installent en profondeur. 
Ce qui se passe dans le monde ne m’affecte plus autant parce qu’en accueillant mes propres « ombres » ou en éclairant de ce regard neutre, compatissant, les aspects internes en souffrance, qui sont dans le doute ou la confusion, j’intègre pas à pas la permissivité qui est autant un des attributs de l’amour inconditionnel qu’un des aspects de la loi de création délibérée.

lundi 16 octobre 2017

« Dissocier responsabilité et culpabilité » & vidéo Idriss Aberkane « L’échec est un diplôme »





11 10 "Le nettoyage intérieur" amène naturellement et spontanément à nettoyer l’extérieur et comme j’agis selon cet élan, cette vibration légère, de joie, de désir, mes journées sont remplies d’activités diverses et variées qui ont en commun cette vibration ou ces fréquences. Ce nettoyage autant intérieur qu’extérieur est le reflet de ce désir croissant de dépouillement. Faire de la place, lâcher les croyances, les conditionnements, les rôles, les masques et les superstitions, est un chantier permanent. 

Un chantier où on redécouvre aussi des choses qu’on avait oubliées, mises de côté, qu’on percevait comme inutiles mais qui finalement reviennent au moment opportun. On accumule tant de choses qu’on finit par ne plus savoir ce qu’on a. Dans la peur du manque, on entasse, on garde des trucs inutiles juste au cas où. 
On peut mesurer notre degré d’attachement selon la facilité avec laquelle on peut jeter des objets obsolètes, mais aussi lâcher des croyances limitantes, restrictives. 

Je relisais des textes publiés en 2013 puisque je mets à jour les photos et ce recul met en évidence les nombreuses libérations ou le détachement face à certaines croyances. 
Déjà, le ton n’est plus aussi provocateur et ça c’est la conséquence d’une meilleure estime de soi, de la paix intérieure bien ancrée. 
Quand on s’identifie au rôle de la victime, on a tendance à accuser, à juger les autres très facilement, on veut défendre des causes justes, sauver le monde, dénoncer les manipulations des puissants et éveiller les masses. On se croit en mission, appelé à exprimer nos vérités afin que les autres deviennent plus matures et responsables, que le monde vive en paix.  
Tous ces stratagèmes visent à rehausser l’estime de soi et surtout à ignorer ses propres souffrances, carences et faiblesses.

dimanche 9 octobre 2016

« La magie de la guidance interne qui fait de l’impermanence une source de Joie » & Idriss Aberkane "Libérez votre cerveau"






8 10 J'ai relu ce que j’ai écrit entre hier et aujourd’hui en me disant que mon discours peut sembler radical ou que je donne l’impression de rejeter le mental, les visions, les projections, tout ce qui concerne les mondes éthériques ou astral mais en fait, chaque jour m’amène à chercher l’équilibre. Puis à apprivoiser le caractère mouvementé, impermanent de la vie. 
Si je dis que je ne me tourne plus vers les messages spirituels, ça ne signifie pas qu’ils sont faux, ça veut juste dire que je n’en ai plus besoin comme avant. 
Tout ce qui nous vient de l’extérieur vise à nous amener vers l’intérieur afin de nous connaitre intimement, de nourrir l’amour vrai de soi en changeant son regard, d’être donc plus confiant envers soi et la vie.

La complexité de l’être humain demande de connaitre ce qui nous compose sur tous les plans et cette connaissance s’acquiert autant par les infos extérieures, comme l’anatomie, la psychologie, les sciences en général que de l'intérieur par le ressenti, la connexion à la source. Et c'est en intégrant les connaissance extérieures, en les appliquant, en les reformulant et en les utilisant qu'on se les approprient. 
L’effet résonance, tout comme l’effet miroir, nous invitent à reconnaitre ce qui fait écho en nous, ce qui nous semble vrai et dans cet aller retour entre l’extérieur et l’intérieur  on apprend à caler notre vision à celle du cœur. A pouvoir sentir simultanément ce qu’on vit à l’intérieur tout en étant en relation avec l’environnement. 
C’est en affinant les perceptions sensorielles, l’écoute et l’attention qu’on découvre que nous sommes guidés, soutenus, connectés, en permanence, avec toute vie et avant tout avec la source dont émane tout ce qui est. 

Il est clair que l’immense écart entre la perception qu’on se fait de la source, de la réalité de sa grandeur, de son infinitude et la personnalité humaine est déconcertante.

vendredi 16 septembre 2016

« La nature nous guide, nous enseigne juste par l’observation » & « vidéo conférence sur le biomimétisme » Idriss Aberkane





Encore une vague d’énergie provenant de la source et invitant à continuer de maintenir l’attention au point zéro. La particularité de ce monde; la dualité, nous permet de trouver l’équilibre, le centre, la stabilité et le juste milieu. C’est sûr qu’on peut en douter quand on est balloté dans cette dynamique mais on peut aussi utiliser le pouvoir de focalisation de la pensée en l’orientant à l’intérieur et en se posant en simple spectateur. On est alors le témoin tranquille de l’harmonisation des couleurs, des énergies. Ceci dit, c’est plus souvent de l’ordre du ressenti que d’une vision claire du phénomène d’alchimisation.

Hier la joie, l’enthousiasme, l’espoir et ce matin la fatigue, la tristesse. 
Pour que la stabilité vienne, il faut que les extrêmes se rejoignent, s’équilibrent, qu’ils se montrent afin que la boucle soit bouclée. On facilite le processus en laissant faire les énergies, en se positionnant au cœur ou dit plus simplement, en ne prêtant pas attention aux mouvements d’humeur. 
On constate à chaque fois que ça passe et que ça crée comme un vide qui va attirer de nouvelles fréquences en conséquence, plus de paix, plus de détachement, de compassion ou de lâcher prise. 
Le positionnement au centre, offre plus de recul, de hauteur et de profondeur parce qu’on comprend que ce mouvement est naturel, qu’il est bénéfique et comme il est guidé par le soi et l’âme, comme nous sommes divinement accompagnés, en sécurité, on se laisse faire en confiance. Il nous porte sur d’autres fréquences, dans un autre monde, plus solidaire, plus uni et innovant.