mercredi 12 février 2014

Juste être, c’est accueillir la grâce...vidéos inspirantes


Lydia Féliz


J’aime la terre, j’aime l’élément, j’aime la planète, la Terre mère, berceau de la vie, de la diversité, j’aime cette union de la matière et de l’esprit. Je suis fière de vivre sur la planète bleue, d’exprimer la lumière et l’amour du divin, de mêler les poussières d’étoiles et de la terre, cet élément solide et malléable à souhait qui offre à tous mes corps un potentiel infini de création.
Toucher, modeler, façonner, créer, mélanger les matières, les couleurs, les textures, les saveurs et les sons, voilà ce que nous offre cette incarnation. Je me plais à retrouver la sensation, le sentir, le palper, je me régale d’être ici et maintenant. Merci Terre Mère porteuse et nourricière, de me donner le goût de ta matière en laquelle nous sommes Un, unies dans cet instant présent, où l’amour m’a porté jusqu’à toi pour être tout simplement, pour fusionner nos cœurs et nos âmes et cocréer ensemble ce chemin de vie.

L'Art de faire la paix spirituellement" Jeshua* via James Twyman, Leçon n°29



(Avec un jour de retard !)





La profondeur : Ce n’est pas la profondeur de ce monde que nous cherchons ensemble, c’est celle du monde qui se situe au-delà de votre imagination. La profondeur spirituelle provient de la réponse à la question: « Qui Suis-Je », lorsque répondue correctement. Je suis le Christ venu sauver le monde des rêves vides de sens, ce monde où la maladie et la mort semblent régner. Je suis la sainte extension du Mental et de la Volonté de Dieu, accomplissant la vision des prophètes de l’ancien temps. Tout ce que je suis, vous l’êtes. En fait, je ne peux reconnaître aucune des choses que je suis, sans d’abord les avoir reconnues en vous. Vous êtes l’extension de l’amour et de la beauté de Dieu. 
J’ai vu cette extension en vous, et je comprends que je suis pareil.

Aujourd’hui, je suis ce que je suis !






En repensant à la journée d’hier, je "mesure" mon évolution et l’efficacité du lâcher prise, me motive à continuer de libérer les couches de l’oignon. L’image n’est pas très poétique mais elle est parlante puis vous aurez remarqué que je suis plutôt du style à ne pas me prendre trop au sérieux. D'autant que lorsqu'on épluche ce condiment (?), les larmes coulent d'elles-mêmes. La vie de toute façon ne me laisse pas l’occasion de me prendre pour quelqu’un d’autre même si j’ai longtemps porté des masques comme tout le monde. J’insiste sur « comme tout le monde » tant au niveau humain que divin parce que c’est d’une extrême importance !
Chacun porte en soi un aspect humain, composé d’une personnalité individuelle, fragile, instable, éphémère, sensible, et un aspect divin, éternel, omniscient, omnipotent, omniprésent…
La difficulté ou le jeu, tout dépend de notre point de vue, de l’endroit à partir duquel on observe la situation, c’est de faire cohabiter, voire fusionner ces deux aspects.
Maintenant, c’est devenu une aventure où chaque jour apporte son lot de surprise, de joie, de peine, de rire, de larmes, d’enthousiasme et d’ennui…