samedi 1 octobre 2016

« La Nouvelle Terre est la Liberté » Les Andromédiens via Vera Ingeborg





Avant tout, je tiens à préciser une nouvelle fois, la raison de publications de ce genre, de ces canalisations, de ces infos que captent des humains et dont l’origine est extra-terrestre. Dans le sens littéral du terme, qui n’est pas de ce monde. 
Qu’il s’agisse d’entités de l’astral, des mondes unifiés, d’autres galaxies, ça m’est égal, ce qui compte, c’est le sens, le contenu, la sensation ressentie à la lecture du message. 

Le point de vue humain est limité aux connaissances accumulées au fil des siècles et la majorité des découvertes conséquentes sont souvent cachées au grand public.
Connaitre la vision d’êtres qui ont un point de vue extérieur à la terre, qui ont un niveau de conscience plus large, est toujours instructif et avec le recul on peut en vérifier l’exactitude, la sagesse. 
C’est lorsqu’on s’ouvre aux autres, qu’on enrichit ses connaissances, sa vision, son point de vue même si La connaissance primordiale est intérieure, intime
L’amour et la lumière ou la Conscience s’enrichit, se déploie dans le mouvement, elle amplifie dans chaque cœur qui l’accueille, se reconnait en elle.

Internet permet la diffusion de toutes sortes d’infos et même lorsqu’elles sont d’origine humaine, on ne peut jamais en vérifier l’exactitude, la source, ni connaitre l’intention de ceux qui les partagent.
Ce contexte permet de cultiver l’écoute intérieure, de se fier au ressenti et d’utiliser le discernement selon la façon dont l’info résonne en soi.

Si cela apparait comme une évidence, cela veut dire que l’info est pertinente, pour soi-même, à cet instant précis. Je grasse toujours ce qui fait écho en moi, c’est une façon de marquer l’unité, la similitude du point de vue. Mais je vous laisse lire... avec les yeux du cœur…

« Il n’est pas nécessaire de lutter contre ce qui est pour que ça change, au contraire ! » & documentaire : « En Conscience »





Quel bonheur de se réveiller chaque matin avec un enthousiasme croissant alors même que l’on est dans une période de sa vie que la société qualifie de décadente !
La simple joie de vivre en sachant qui je suis, qui Nous sommes, en étant consciente que chaque parcelle, chaque cellule, chaque corps, tout ce qui me constitue est intelligent, en perpétuelle communication, en harmonie. 
Lorsqu’on a fait la paix avec soi-même, avec son passé, avec son aspect physique, les circonstances de sa vie, lorsque cette paix n’est plus troublée par les mouvements naturels des cycles, de l’évolution, on apprend vraiment à ce connaître.

Cette connaissance intime, intérieure et de plus en plus pointue, globale, élargie, est l’expression même de l’amour véritable de soi. 
Quand je dis « soi », je pourrais dire de ‘tout ce que je suis’. 
C’est impressionnant de comprendre de quoi nous sommes faits et de pouvoir participer activement à son propre bien-être. 
Savoir que nous sommes une multitude, de gènes, de cellules, de corps, d’énergies, que nous existons sur différents plans de conscience, de dimensions, et nourrir le désir de paix, d’unité, d’harmonie, change totalement la perception de soi.

Plus que de l’amour narcissique, le fait d’être le témoin de ses mondes intérieurs, de l’alchimie qui s’opère en soi, restaure l’ordre et l’amour véritable. 
Penser qu’on est un corps qui nait pour mourir est loin d’être la réalité et c’est pourtant ce qui est admis par la majorité des individus. Non seulement la vie est éternelle mais nous sommes bien plus vaste que ce que l’on croit. Évidemment c'est depuis le cœur que tout s'équilibre, que la mort du corps physique n'est plus perçue comme une perte mais juste comme une phase de l'évolution.