jeudi 20 juin 2013

Cours 8/9 sur la prospérité. Métatron avec Reniyah Wolf, transmis par Joéliah (lien exercice de reconnexion à l'argent d'Inélia Benz)




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Voici l’avant dernier message de la série qui traite de l’argent. En le lisant, je me dis que ça tient debout puisque c’est ce que j’applique depuis deux ans avec des résultats importants. Il est vrai que je reviens de très loin niveau estime de soi. Du moins, c’était bien imprimé dans mon inconscient et même dans ma conscience jusqu’à ce que je croie en Jésus Christ, à ses enseignements. Les états de félicité que me procuraient la drogue et un genre de fierté à ne pas faire des choses rabaissantes comme voler, mentir, tricher, garder une certaine dignité par le fait d’être libre de mes choix de vie, ne pas me conformer à la norme, dire ce que je pensais ouvertement, me maintenaient en vie puisque l’amour circulait tout de même en moi. C’est du respect de soi mais je n’arrivais pas à aimer mon corps physique pour les contraintes qu’il m’amenait à vivre, les obligations, pour le fait d’avoir été abusée enfant...Ce qui m’a permis de guérir, c’est justement l’amour inconditionnel de soi. Il est vrai que j’ai libéré le corps de souffrance concernant la maladie, les douleurs mais ce dernier point de l’argent restait flou. Ces cours sont un rappel, qui me permet de clarifier les croyances à ce sujet. C’est vrai que de manquer d’argent, c’est être masochiste d’un certain côté. Quand on a connu les galères, on sait ce que c’est que l’humilité et la simplicité et de ce point de vue, il y a peu de risque de tomber dans le piège de l’ego, de se sentir supérieur parce qu’on vit dans le confort. Je dis ça mais il y a peu de temps, je culpabilisais d’avoir ce que d’autres n’ont pas !

Se préparer à accueillir l'inconnu



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Ce matin, j’ai décidé de "bouleverser" mes habitudes. Je commençais à m’installer dans un ronron, dans des rituels. Même si je suis mes pulsions physiques, par exemple, je mange quand j’ai faim plutôt que de le faire à une heure précise, parce que tout le monde le fait, je finis par tomber dans des habitudes qui sont très proches des rituels. Certes, il y a un genre d’horloge biologique interne, des cycles naturels mais l’humain a tendance à vouloir tout cadrer, à poser des limites dans le temps, l’espace et l’heure, qui peuvent être rassurantes mais qui répondent surtout à des peurs inconscientes, au besoin de contrôler les choses. Sans non plus être à contre courant pour se marginaliser par rejet, il est bon de suivre ses élans, ses pulsions. C’est un moyen de se libérer des peurs en douceur, de faire « travailler » son imagination, sa capacité d’adaptation, et de s’ouvrir à l’imprévu, à l’inconnu.
On pense contrôler sa vie mais en fait, non seulement ça n’est pas le cas mais en plus, on se ferme à la nouveauté, au changement.
J’ai donc pris mon VTT pour aller poster une facture et prendre des photos de roses. Les blanches que j’avais repérées sont en fin de floraison mais j’ai quand même pu immortaliser des roses, des rouges et des jaunes. Une heure de focalisation sur la beauté naturelle, totalement dans ma bulle, en connexion avec la terre mère, sa générosité, sa créativité, au point de ne même pas calculer les voitures qui circulaient tout près. Ce temps de contemplation, de cocréation, est aussi nourrissant pour le cœur, l’esprit et l’âme qu’une heure de méditation.