Le texte qui suit, aborde la guérison de la même
façon que j’apprends à le faire. L’amour vrai de soi, la joie, la
reconnaissance de tout ce qui nous constitue, le fait que nos croyances, qui ne
sont pas alignées avec la vérité de ce que nous sommes réellement, de l’énergie
d’amour et de lumière issue de la source, créent des blocages, des ruptures
énergétiques, des cristallisations dans le corps physique qui dégénèrent en
maladie. Aimer les personnages intérieurs qu’on qualifiait de démon,
reconnaitre qu’ils créent un équilibre et s’efforcent de maintenir l’harmonie,
est un premier pas vers la guérison. Puis, apprendre à s’écouter, respecter ses
vrais besoins, connaitre ses limites et savoir les poser vis-à-vis de l’extérieur,
participe à la régénération cellulaire. Notre corps contient de programmes
internes, celui de l’amour et celui de la mort. Même si le corps physique est
appelé à mourir un jour ou l’autre, ce qui compte c’est comment nous vivons l’espace
entre naissance et mort. Si nous choisissons de suivre le chemin de la peur ou
celui de l’amour…
Ce titre un peu provocateur a été choisi intuitivement pour montrer que tout le monde est issu de cette conscience Une et par conséquent que chacun est potentiellement capable de devenir autonome et co-créateur conscient de sa vie. Tout est question de perspective…
vendredi 14 mars 2014
"SOLEIL BLANC" par Alain Degoumois
![]() |
Eamon Gallagher |
Les enseignements de Sagesse qui traversent et essaiment le monde parlent de co-création consciente, de reconnexion avec sa partie divine et de Source originelle. On parle de fraternité universelle, d’altruisme, de travail sur soi-même, de mental et d’égo. Les enseignements de sagesse esquissent en cela des paysages qui nous invitent et nous incitent à naitre à nous-mêmes.
Mais qu’est-ce que tout cela signifie réellement,
quels échos tout cela transmet-il dans notre être profond ? Est-ce que tout
cela ne reste-t-il pas en suspend dans notre mental ?
De nos jours, nous sommes encore amenés à lire des
mots ou à apprendre des techniques parce que nous sommes coupés de nous-mêmes.
Nous éprouvons le besoin de lire et d’apprendre à l’extérieur au travers de
mots pour nous construire. En cela nous ne faisons qu’ajouter à nous-mêmes des
couches de savoir qui nous éloignent encore plus de nous-mêmes.
Mais que sommes-nous, qui sommes-nous réellement en profondeur, derrière toutes ces couches de savoir ?
Mais que sommes-nous, qui sommes-nous réellement en profondeur, derrière toutes ces couches de savoir ?
"Quand tu reconnais ton humanité, ton unicité, tu trouves le divin et l’unité que tu as toujours été". Film...
"La prophétie des Andes", et sa version livre audio. Le spectacle de Dieudonné, "Le Mur"...et un texte d'Axel Piskulic...
Encore debout à 5h mais en fait, ça me convient très bien
finalement. Je baigne dans le calme pendant au moins trois heures et c’est très
bénéfique surtout quand on est hypersensible aux énergies et au bruit extérieurs. Je me
réveille de plus en plus contente d’exister, ici, maintenant et toujours
enthousiaste.
Puis au milieu de la
journée quand les autres se posent pour se nourrir et que le calme revient, je
peux méditer en toute tranquillité et ainsi récupérer de l’énergie et me recentrer,
m’ancrer, pour le reste de la journée.
Suivre son cœur, ses élans, ses envies, peut sembler
difficile au début parce que ça fait ressortir plein de vieux clichés mais
quand on comprend que tout ce qui se manifeste ne demande qu’à être vu, aimé et
ainsi libéré, ça aide à aller de l’avant.
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