samedi 2 avril 2016

« Dépasser les étiquettes pour trouver la véritable essence des choses et des gens » les guides de l’unité via Daniel Desjardins





Humains bien aimés,
Aujourd'hui nous voulons vous parler de vos habitudes de vie. Spécifiquement l'habitude de juger. Vous jugez pour classifier, pour pouvoir facilement classer une personne, un comportement, un endroit, mais en apposant une étiquette sur ce que vous jugez, vous vous coupez de ce qui est réellement derrière, de ce que c'est véritablement. 

Nous vous invitons à prendre conscience de ces conclusions hâtives dans vos interactions. Si vous prenez conscience que vous venez d'émettre un jugement, simplement vous arrêter, faites une pause et observez, imaginez que votre esprit passe au travers un voile qui vous sépare vous et la véritable énergie de ce que vous observez. 

Ce voile que vous dépassez c’est le jugement, la conclusion, et simplement baignez un moment dans cette énergie que se trouve de l'autre côté. Comment est-ce ? 
Êtes-vous capable d'avoir de l'appréciation ou même de la gratitude pour certains aspects de cette énergie ? Et, ce faisant, êtes-vous capable de découvrir d'autres aspects dont vous n'aviez pas conscience lorsque vous avez émis votre jugement ? 

« Lâcher les pensées émotions du rôle de victime et focaliser l'attention sur ce que l'on veut vivre » & dessin animé (lien)






Ce matin, je me suis réveillé dans le même état d’esprit qu’hier soir, dans la colère, les idées noires en voyant le ciel encore chargé de nuages dus aux épandages aériens. 
Je n’en peux puis plus de ne pas voir le soleil depuis des jours. La colère envers mon âme s’est aussi exprimée parce que je suis partie de ma région natale à cause entre autre du temps pourri et je me retrouve ici, avec les mêmes circonstances extérieures. 

Je sais pourtant que les pensées émotions sur lesquelles on se focalise définissent l’état d’être mais d’un autre côté, feindre, tricher, contenir ses pensées n’est pas du tout une solution non plus. 
Alors je vide mon sac, laisse tout sortir sans chercher à contenir ou à adopter une attitude fayotte vis-à-vis de l’âme.

Je sais au fond qu’elle me parle tout le temps mais dans ces moments là, je suis imperméable à ces clins d’œil, aux synchronicités. 
C’est aussi dans ces situations que je peux mesurer la force des pensées et l’amplification du mal-être par le phénomène de résonance qui attire des pensées similaires. Et peut-être même des entités mais je n’entre pas dans cette voie qui de toute façon est non seulement aléatoire mais en plus ça nourrit l’idée d’impuissance, de victime.