dimanche 27 septembre 2015

« Honorer le Vivant, la Source en soi »





Ce matin, je chante, je danse, je clique sur les pages Youtube des flash mobs. 
Je vis seule mais je me sens profondément connectée à l’humain, à tous ceux qui manifestent le désir de communion, d’harmonie mais aussi tous ceux qui expriment leur singularité, fièrement, sans craindre le qu’en dira-t-on. 
Pas facile mais tellement excitant et épanouissant ! 
Bien que ces rencontres soient initiées par des groupes publicitaires, des banques…c’est l’expression de la passion commune aux humains, le désir d’exprimer sa singularité dans l’unité, l’harmonie, la paix, la joie que l’art cultive, exprime. 
Nous sommes tous artistes, cocréateurs, sans le savoir. Nous cocréons en permanence selon nos choix, nos fréquences et lorsqu'on se connecte à la source intérieure, nous devenons artisans de lumière, tisserands d'amour.

Mais quand on sait cela, la vie devient joie, découverte, explosion de couleurs, de saveurs, de sons, qui nourrissent les sens et font émerger le meilleur de l’humain.
Alors oui, il y a des guerres, des injustices, des horreurs mais il y a aussi le contraire et selon notre point de focalisation, on nourrit l’un ou l’autre.

Puis on peut choisir de manifester l’harmonie, l’unité, en soi-même et avec toute vie. 
Nous avons toujours la liberté de choisir l’objet, le sujet de notre attention.
Là sont les pouvoirs véritables, ceux qui rendent la vie belle ; la liberté, la beauté d’être, de manifester, de créer, d’imaginer, d’innover, de goûter, de partager.

Nous portons tout en nous, la paix et le chaos, le beau et le laid, la tendresse et la puissance, tout et son contraire.

« La transmutation de nos ombres » Francesca





Avec l’amplification de la qualité d’énergie transmise par la Source (énergie neutre par essence), beaucoup d’êtres en Réalisation observent actuellement en eux une double mise en exergue : à la fois celle de leur partie « lumière solaire » qui les conduit à s’élever, s’éveiller, se révéler et celle de leur partie « lumière sombre » qui correspond à ce que l’on appelle communément « les ombres ». 
Il est bien sûr à considérer qu’il  n’y a nulle frontière entre ces deux parties qui ne sont que des teintes ou nuances différentes du spectre de la lumière en nous.

La plupart des humains ignorent leurs ombres. 
Le plus souvent, ils les projettent dans des troubles somatiques, des obsessions, des fantasmes plus ou moins vastes, ou sur l’entourage. 
Elles sont « les autres », auxquels on prête la bêtise, la méchanceté, l’égoïsme, l’inefficacité qu’il serait tragique de reconnaître en soi.
Elles sont ces aspects portés par les autres qui déclenchent jalousie, aversion, peur ou colère en soi.
Peu ont la capacité d’envisager qu’une vie intérieure se déroule en eux-mêmes, et quand bien même ils sont ouverts à cette réalité, la nature même de ce qu’est l’ombre – pour résumer, la projection de leurs « défauts » sur les autres – est difficilement accessible.  
Nos « défauts » comme nos erreurs ne sont effectivement pas faciles à accepter.