Affichage des articles dont le libellé est Etienne Chouard. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Etienne Chouard. Afficher tous les articles

vendredi 7 novembre 2014

« Face à la folie du monde » & une courte vidéo d'Etienne Chouard





J’ai bien l’impression que les doses homéopathiques pour limiter les bouffées de chaleur, font effet seulement la journée. Le toubib m’a prescris des doses hebdomadaires dont la première prise a été très efficace le premier jour puisque je n’ai pas bouilli de l’intérieur avant le milieu de la nuit. Je me contente d’observer le phénomène pour essayer de le comprendre. 
Je pars du principe que chaque cycle de la vie apporte son lot de nouvelles expériences avec des leçons de sagesse à la clef. Déjà, ça aide à accepter ce qui est, puis au lieu de subir, ça donne l’impression d’accompagner le truc. 
Il semble que ça corresponde à des montées d’énergie parce qu’à chaque fois, je sens comme un trop plein, quelque chose qui pourrait ressembler à de la colère mais qui se vit sans agressivité, sans emportement.
Je suis retombée sur un article qui parle de la plainte portée par un père contre Jacques Lang et cette fois-ci, je l’ai lu intégralement et j’ai regardé les vidéos. Je n’ai pas pu aller au bout parce que les émotions suscitées par les témoignages ont dû être traitées. 
J’ai pu constater dans cet exercice, que j’avais effectivement allégé la charge énergétique puisque la gestion émotionnelle fait partie de mon quotidien.

mardi 28 octobre 2014

« Passer du paraitre à l’Etre » vidéo d'éveil à la citoyenneté





On dirait que l’ajustement intérieur continue. J’ai eu chaud cette nuit, au point de me réveiller en nage. Comme je ne cogite plus et que je me contente de vivre selon l’élan du moment, non seulement le corps mental se repose mais la paix et la joie sont au rendez-vous. Quand je parle de joie, il s’agit plutôt de la sérénité qui vient quand on ne s’accroche plus au mental. 
C’est un peu comme si je me trouvais avec des cancanières et que je ne les écoutais pas. Du moins comme si je les entendais parler sans intervenir et sans les croire. Exactement la même réaction que dans la vie. Les rares fois où j’entends des gens parler d’autres personnes en les critiquant, soit je m’en vais soit je dis ce que je pense, si je sens que ça sera entendu. 
Je relativise en inversant les rôles ou en disant que personne n’est parfait, à l’abri de ses propres peurs et que tant qu’on ne sait pas gérer ses émotions, on aura des réactions imprévisibles, décalées ou exagérées. 
En général, pour ne pas créer de conflit, enfin pour être dans l’affirmation sans donner l’impression d’être au-dessus, je me prends en exemple. Je n’hésite pas à relater des situations où je suis sortie de mes gonds, où j’ai réagi de façon démesurée mais où j'ai su demander pardon.

lundi 13 octobre 2014

« Donner une chance à l’autre de s’exprimer, c’est pouvoir grandir ensembles» vidéos courtes d’Etienne Chouard & texte d'Audren le Rioual





Je viens de voir cette vidéo qui me réjouit vraiment parce que c’est un thème que je voulais traiter. Depuis longtemps et ça va crescendo à mesure que la liberté d’expression est bafouée, je suis agacée par le fait qu’on a vite fait de décrédibiliser quelqu’un parce qu’on lui trouve des défauts, parce que son opinion diffère de la nôtre dans un point de détail qui se rapporte souvent à la forme plutôt qu’au fond…
Bref, on est toujours dans la superficialité, à la recherche de coupable et méfiant envers tous ceux qui dénoncent, à titre individuel ou collectif, comme le féminisme, Dieudonné, entre autres, tous ceux qui remettent en question l’autorité, sont taxés de conspirationniste. 
Il suffit que machin ait été surpris en flagrant délit d’adultère, qu’il ait dit une connerie pour qu’il perde toute crédibilité auprès de la population !
On continue d’étiqueter, de condamner sans donner une chance à l’accusé de s’expliquer, on attire l’attention sur un aspect de la personne qu’on amplifie afin de le diaboliser. 

Mais on oublie que tout être humain a un cœur et une conscience divine qui l’éclaire. 

Il est facile de comprendre comment des blessures d’enfance peuvent fausser la vision de la vie et influencer sur le comportement. 
Personne n’est parfait, on se rend à cette évidence quand on se regarde en toute honnêteté. Je suis la première à dire des conneries mais je dis aussi des choses plutôt sages.

mardi 22 janvier 2013

Jeudi 10 janvier (2ème), un message de Jeshua & vidéo qui revisite la notion du travail





Toujours cette culpabilité à exister comme si je devais mériter ma vie. 
Même gagner sa vie, est un non sens. Nous sommes déjà vivants. 
Apporter quelque chose à la société en termes de don, d’offrande, de participation, serait plus juste et approprié. J’ai la chance d’être dans un pays où celui qui ne trouve pas de travail a des droits. Je ne vais pas jouer la victime sous prétexte que je suis assistée...
Les gouvernements successifs ont choisi de favoriser les banques, les investisseurs au détriment de l’humain, je ne vais pas jouer le jeu de la pauvre victime qui s’écrase par culpabilité puisque c’est aussi leur dessein dans ce choix politique. 
Je m’accommode de la situation, ne vole rien à personne. Je préfère laisser le boulot à celles et ceux qui ont des enfants, par exemple. Je préfère continuer à me guérir du passé, à sortir de l’état de victime, à retrouver la dignité et en portant l’énergie de guérison, l’apporter à mon tour à ceux qui en ont besoin en témoignant que c’est possible. 

Retrouver la juste estime et la confiance en soi indispensable pour être en mesure d’apporter sa contribution à la société. 
C’est là que je peux être utile à la société en faisant quelque chose que j’aime et que je connais pour l’avoir vécu. Sans être passée par une école puisqu’il n’en existe pas de ce genre qui t’apprennent l’auto-guérison. 
En ayant appris, sur le terrain, par l’expérience de ma vie et surtout l’interprétation que j’en fais à travers ma foi en l’humain divin.