jeudi 14 avril 2016

« Ça n’est que dans la spontanéité et l’accueil de ce qui se manifeste en soi, l’abandon des résistances, que l’amour peut agir ».





Ces dernières 24 heures ont été éprouvantes mais comme je sais que tout est fait pour me permettre de lâcher les jeux de rôles, guérir les blessures d’enfance et devenir plus libre et autonome, j’ai lâché prise et laissé les pensées émotions de la victime intérieure me traverser. J’ai amené en la paix du cœur ce bagage énergétique qui nourrissait la souffrance, les rôles et toujours en suivant l’élan de l’instant, je me suis laissé guidée et dépouillée du superflu. 
J’ai écris comme chaque jour ce que je ressentais et vivais mais j’ai préféré aller au jardin pour que tout en moi s’harmonise naturellement au contact de la nature. Je copie-colle une partie de mes ressentis d’hier :
(Mercredi 13 avril)
Comme toutes les nuits, je me suis levée vers deux heures pour aller aux toilettes avec le souvenir très net d’avoir été enseignée durant mon sommeil. J’ai la sensation qu’il s’agissait plus d’une forme de mise au point entre les différents aspects de la psyché, comme un dialogue interne entre l’âme et la conscience.

Lorsque je lis des messages canalisés, ou des infos concernant le développement personnel, je retiens ce qui fait écho en moi et je me dis qu’à un certain niveau de la conscience, elle n’est plus isolée, comme si elle était une individualité faisant partie d’un collectif.