vendredi 24 juillet 2015

« L’intégration de la force d’amour-lumière » Nathalie Chintanavitch





Il ne sert à rien de vouloir décupler ces potentialités psychiques que vous assimilez à des capacités divines, si vous ne vivez pas d’abord l’Amour dans tout votre Être. 
L’accès à la connaissance universelle, dont les codes sont déjà gravés dans vos cellules physiques, n’est possible, je vous le répète, que dans l’Amour total. 
Car l’Amour est la clé qui ouvre la Porte des Univers. 
Lorsque vous aurez fusionné avec la Force d’Amour, c’est-à-dire quand votre véhicule physique, dans toute sa splendeur, sera en résonance avec la vibration de la flamme céleste en votre cœur, alors vous serez prêts à réactiver tous vos centres énergétiques et à recevoir la vibration solaire qui participe à l’élévation du degré vibratoire du corps humain en rééquilibrant le degré vibratoire du noyau même de vos cellules. « Comment vivre la Force d’Amour? » me demanderez-vous.

En comprenant simplement que votre potentiel divin est déjà en activation. Chacune de vos cellules reçoit et diffuse la lumière d’Amour. Prenez conscience de cela. Vous êtes Lumière, vous êtes Amour. Et vous êtes uniquement cela! 
Car vos angoisses, vos peurs, vos colères ne sont pas vous! Elles ne sont que des substances que vous « croyez » être en vous alors qu’elles ne font que voiler qui vous êtes vraiment. 
Par l’Amour, transmuez. Par l’Amour, unifiez. Par l’Amour, fusionnez avec Dieu.

« Se voir à travers les autres » Lise Bourbeau





Saviez-vous que la façon dont vous voyez tout ce qui vous entoure — autant les objets, la nature que les personnes – est un reflet de ce que vous êtes et surtout de ce que vous croyez être dans le moment ? Eh bien, c’est vrai !

Il y a plusieurs avantages à accepter ce fait. Cela vous permet de :
·         Découvrir ce que vous ignorez de vous-même;
·         Savoir ce que vous acceptez ou non de ce que vous êtes;
·         Développer de la compassion pour les personnes qui vous dérangent;
·         Développer la notion de responsabilité, réduisant ainsi la culpabilité envers vous-même et la culpabilisation des autres.

Regardons ensemble comment vous pouvez découvrir à travers les gens qui vous entourent. Prenons l’exemple d’un collègue de travail qui vous énerve. 
Ce n’est pas ce qu’il fait ou dit qui vous fait réagir, mais bien votre jugement de ce qu’il est. Pour vous voir à travers ce collègue, vous devez vous poser la question : Je le juge ou je l’accuse d’ÊTRE quoi ? Supposons que la réponse soit : Je l’accuse de me manquer de respect, donc d’ÊTRE irrespectueux.