« Oser être soi-même et agir en conséquences » & vidéo interview de Christine Lewicki

J’ai pu me recoucher ce matin, comme si l’urgence me quittait, ce besoin d‘en faire tellement que finalement on brasse du vent à courir dans tous les sens. 

J’observe avec un peu de recul, que la question de proposer un accompagnement revient de façon récurrente et tout ce que je vis m’y prépare. 

Je constate une fois de plus le processus de création qui commence par l’émission d’un désir, une intention envoyée à l’univers qui répond déjà par des émotions agréables telles que la joie et par synchronicité, au travers des autres sois, de ceux qui sont en résonance vibratoire et qui amènent les réponses aux questions, sur un plateau d’argent. 

La confiance est évidemment nécessaire parce qu’elle permet d’être ouvert et donc réceptif aux retours. 

En ceci, il est aussi une réalité, celle de l’effet miroir qui correspond toujours aux vibrations les plus fortes, celles qui sont émanées avec intensité, qu’elles viennent du cœur ou de l’inconscient. 

Et je constate que les retours sont de plus en plus lumineux et bienveillants. 

La perception qui change modifie la fréquence vibratoire et inversement, c’est enfin la spirale ascendante !

C’est aussi le signe que l’inconscient n’agit plus en coulisse venant faire de l’auto sabotage puisque il n’est plus considéré comme un ennemi et que je suis prête à prendre la responsabilité de ce qu’il me révèle. 

Puis lorsque l’effet miroir, au travers d’une personne agressive ou qui me dérange, me montre une ombre, comme elle est accueillie, reconnue comme une lumière inversée, elle monte en vibration et le résultat est là.

Donc, la première publication sur la page d’accueil de Facebook, qui a attiré mon attention, est la suivante, elle est en accord avec ce que je constate et renforce ainsi ma foi. Le reste est venu selon l’élan, dans l’ordre chronologique.

Gratitude pour la terre mère, pardon à soi-même, et "comment arrêter de râler" Vidéo

 

Fleur dont je ne connais pas le nom

 Je bénis la terre mère pour les quelques moments passés au jardin. Pour le privilège d’avoir ce petit coin de terre où je peux m’éclater, jouer avec la matière, créer avec les éléments. Où chaque fois que j’y suis, je m’exprime telle que je suis, où je suis moi-même, fidèle à ma nature. Connectée à la mère, la conscience de la terre qui m’offre ce corps physique pour jouir de tous mes sens, sentir le sang qui coule dans mes artères sans plus aucun blocage, où l’énergie de vie s’écoule librement.