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samedi 16 juillet 2016

« Offrir à la Source en soi tout ce qui est troublant, élève la vision, la vibration » & film: « La Prophétie du sorcier »





L’intelligence de la source est inconcevable pour le mental tout comme la puissance de l’amour, de la vibration et de sa portée. Pouvoir le reconnaitre humblement et le confier à la source, va éclairer la conscience humaine et donc faciliter la compréhension. 
Les évènements dans le monde sont toujours orchestrés d’en haut tout comme ce qu’on peut vivre individuellement.
Et quand on sait que la clef, c’est de se tourner en soi plutôt que de projeter vers l’extérieur les pensées émotions qui surgissent lorsqu’on est face à quelque chose de dramatique, on peut sentir la puissance de la paix, la proximité de l'âme et son soutien. 
La puissance d’aimer qui réside dans ce choix d’offrir à la source tout ce qui appartient à la dualité conflictuelle, toutes les pensées légitimes de peur, de colère, de tristesse, de déception, de lassitude, de confusion et de doute.

Avec du recul, je constate une fois de plus que tout ce que j’ai vécu ces derniers jours m’a amené à décider de servir consciemment la source Une, l’humanité.
J’ai été poussée à regarder un film qui a déclenché en moi des pensées émotions face au scénario perpétuel que joue l’humanité dans la lutte entre le bien et le mal, sur tous les terrains de la planète.
Dans ce film dont le sens est plutôt innovant puisque l’unité est décrite comme la seule façon d’amener la paix sur terre en la vivant en soi, en accueillant ses propres démons, des clefs de sagesse sont données et peuvent éveiller la mémoire de la raison de cette incarnation de l’âme. En tous cas, l’effet sur  moi a été probant puisque l’idée de le regarder a été inspirée et le fait que je regarde rarement des films en témoigne. 

On n’imagine pas l’impact des images sur la psyché et quand on sait que l’âme nous parle au travers de symboles, d’images, regarder un  film peut être initiatique parce que des émotions vont surgir.

vendredi 15 juillet 2016

« Suivre sa guidance en confiance et sans attentes » & film « DreamKeeper »





14 07 Passer progressivement de la croyance : "je suis séparée du tout, isolée dans ma bulle mentale" à la réalité de l’interconnexion, l’intrication avec tout ce qui est, par l'unité intérieure. Dès lors, la question qui se pose, c’est comment se différencier sans perdre la conscience de cette inter-reliance, comment ne pas se sentir envahit ?

Comme dans le cerveau, les connexions neuronales s’activent selon mon degré de conscience, d’unité intérieure, de focalisation par attraction ou rejet, c’est en choisissant mon point de focalisation et en unifiant tout ce que je suis, que je me distingue de la masse sans pour autant m’en sentir exclue, ni rejeter qui que ce soit.

Je suis partagée entre l’envie d’écrire et celle d’aller au jardin et comme le ciel se couvre, je vais pouvoir faire les deux sans stresser, sans courir. Une connexion au cœur, au ciel et à la terre, à la paix intérieur va calmer ce speed. La fameuse connexion à l’intemporel en soi qu’évoque Deepak Chopra dans sa conférence
Elle m’a beaucoup marquée parce qu’il exprime ce que je ressens intuitivement depuis toujours. Tout comme la conférence de Franck Hatem qui m’a enfin parlée. 
J’avais eu l’occasion de lire ces écrits mais c’était si compliqué que j’abandonnais au bout de quelques lignes. Je n’étais tout simplement pas prête à admettre cela mentalement même si intuitivement je n’ai jamais douté que l’humanité soit Une, que nous soyons unis dans la conscience source. Ses explications sont trop complexes et avant tout, je voulais savoir par moi-même, je voulais que l’intuition soit validée par la réflexion logique et amplifier le ressenti par la connexion intérieure avec l’âme.

dimanche 13 décembre 2015

« Le chemin ou The Way » film; parcours initiatique & méditations guidées par Sophie Riehl





Les circonstances actuelles de ma vie, ce manque de confort, ce froid crispant, sont l’exacte manifestation de ma rigidité, de la dureté de cœur vis à vis de parts intérieures, le jugement et la critique quasi systématiques que j’exerce envers mon mental et mon corps émotionnel. Ce n'est pas réfléchit, pensé, mais c'est juste un réflexe interne de protection qui bien qu'il apparaisse obsolète à l'adulte que je suis, continue de s'activer lorsque je me coupe de l'amour en moi. Ou quand je me prend pour les souffrances, m'identifie au pensées émotions douloureuses et injustes.
Une fois de plus, les chats me reflètent mon état d’être intérieur en étant couchés ensembles sur mon lit. Bon, un mètre et demie les séparent mais c’est mieux qu’avant puisque la femelle collait des tartes au mâle quand ils ce croisaient dans l’appart alors qu’elle se couchait en signe de soumission quand ils se rencontraient dehors.

J’ai aussi retenu dans la vibraconférence de Sophie Riel, une phrase déterminante : « on ne peut accueillir le soutien de la vie si on est fermé intérieurement ». Il est vrai que j’ai tendance à me plaindre, à me révolter et de cette façon, à me fermer encore plus ce qui fait que je ne sens plus la bienveillance de la vie envers moi.

C’est avec le recul que je peux constater qu’effectivement, elle me donne tout ce dont j’ai besoin pour aller vers l’autonomie et c’est moi qui bloque le flux de la réception en exerçant le contrôle, en essayant de résoudre les choses par le raisonnement plutôt que de développer la confiance.

jeudi 5 février 2015

« Plus le monde est chaotique et plus je cultive la joie intérieure », Clefs de sagesse commentées & film « Bruce tout puissant »





Je ne sais pas combien de degrés il fait dehors mais le poêle peine à réchauffer l’appart ! 
Le vent violent et glacial dissuade quiconque de mettre le nez dehors d’autant que ce genre de rafales fait voltiger tout un tas d’objets. 
Il me tarde que le printemps revienne et que je puisse retourner au jardin. 
Je commence à saturer d’être enfermée à longueur de temps ! J’ai essayé de regarder « Matrix » sans succès. On m’a prêté le DVD depuis samedi dernier mais j’ai bien du mal à m’y coller ! Le scénario, l’ambiance, les bruits, tout me parait trop humain et surtout c’est encore une forme de dualité exprimée par des cerveaux totalement influencés par la notion de bien et de mal. 
L’idée que nous sommes manipulés est une réalité mais on se trompe de cible et ça n’est pas non plus une fatalité. 
Non seulement ça n’est pas une obligation mais il n’y a pas besoin de recourir à des techniques sophistiquées pour se libérer de la peur. 
Parce que c’est elle qui peut manipuler un humain. Il n’y a pas besoin d’extra-terrestres malveillants, de magiciens, de prêtres, de politiciens pour être manipulé ! Nous nous laissons manipuler par nos propres peurs en les croyant, en les nourrissant.

jeudi 9 octobre 2014

« La nature révèle l’humain authentique et divin » & films : « L’étoile du Nord » ; « Le viager »






Avez-vous essayé de cultiver un jardin selon vos élans, selon votre connexion à la Terre Mère, en dialoguant avec la nature et en suivant votre instinct, celui qui vous relie à la vie, qui vous met en résonance avec les éléments, les règnes, avec votre corps physique?

Notre vision de l’instinct de survie est tellement portée par la peur qu’on craint de s’écouter, mais quand on lâche les idées préconçues à propos de la mort contre laquelle il nous faudrait lutter, il apparait que ce programme interne, une fois pacifié, équilibré, s’avère être un processus essentiel à toute évolution.
Comme nous croyons que la mort est la fin de la vie, nous restons enfermés dans la peur et ne pouvons pas voir ce qu’elle nous révèle en réalité. Quand on libère la peur, les croyances collectives et le jugement, la notion de bien et de mal, on comprend que tout est composé de deux principes qui se complètent, qui forment une unité parfaite. 

On comprend que sans la mort, il ne peut pas y avoir de changement, qu’elle est indispensable dans le processus de reconnaissance du divin en soi. Puisque lorsqu’on laisse mourir notre personnalité, celle qui est composée par des personnages, des masques adoptés afin de se protéger, tout ce qui en nous s’accroche au passé mais aussi au futur, aux croyances basées sur la notion de division, se désagrège et alors, on peut voir émerger notre vraie Moi, notre nature véritable qui est la manifestation de notre essence, un combiné d’énergies d’Amour et de Lumière.

vendredi 5 avril 2013

Fin de soirée calme, "Conversations avec Dieu" le film d'après le livre de Neale Donald Walsch



 
Flowers World Facebook
Cette journée a vraiment été très spéciale. Elle a commencé avec beaucoup de tristesse que l’amour de soi, par le non jugement et l’acceptation de pensées et émotions négatives a rendu plus douce. Beaucoup de larmes ont coulé et plutôt que de chercher à comprendre, je me suis contentée de maintenir mon humeur égale en laissant aller la peine, la tristesse et en me disant de temps en temps, "je libère". Puis j’ai suivi mon envie, celle de ne rien faire de ce que j’avais prévu, dans un premier temps et en écoutant le moindre de mes désirs sans me tracasser. J’ai regardé un dessin animé après m’être allongée au calme sans même chercher à faire quoi que ce soit, pas de cohérence cardiaque, pas de focalisation, de visualisation, pas de questions...
Rien, juste manger, et ne pas nourrir les pensées négatives et le manque de joie que le temps gris et humide suscitaient. J’ai lu un peu puis j’ai somnolé devant l’écran. 
J’ai eu de drôles de sensation d’ouverture de conscience, d’infini, de quelque chose d’inconnu à peine identifiable et descriptible.

vendredi 15 mars 2013

Thrive et commentaires




J’ai bien fait de passer deux heures au jardin, de contact avec la réalité de la nature, avec l’énergie de la vie, de la terre mère. Je me suis chargée d’énergie positive comme pour être capable de regarder le film "Thrive" que l’on trouve sur de nombreux sites d’éveil et que je n’avais pas voulu voir jusqu’à aujourd’hui. Il y a quelques temps, bien que je croie aux conspirations, aux Illuminatis...je ne voulais pas "regarder la vérité en face" pour ne pas être déstabilisée et perdre l’espoir en l’humain, en moi, par la même occasion. 
J’ai suffisamment vu la capacité de l’homme et de la femme, a générer de la souffrance. Comme on dit, j’ai ma dose. Je n’étais pas non plus en paix avec mes propres ombres et craignais d’être submergée. Mais plus j’accueille tout ce que je suis et plus je peux regarder ce qui est, de façon neutre.