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vendredi 1 janvier 2016

« Le pardon à soi-même, indispensable clef de libération, de révélation et de manifestation de l’être véritable, de l'Amour Lumière intérieurs »






J’ai pioché ces quelques clefs avant-hier et j’ai suivi ces conseils qui sont venus avec une telle synchronicité que j’ai totalement lâché la pression à propos du blog, des publications et surtout les reproches que je me faisais à passer trop de temps dans le mental au détriment des besoins du corps physique, de la réalité du quotidien. 
Une pression que j’exerçais sur moi-même et qui nourrissait la peur et le manque. 
Ce n’était pas totalement conscient mais bien que j’aie déjà eu cette sensation d’obligation, ces clefs ont mis en évidence d’une façon claire et logique cette tendance à nourrir les rôles du "triangle de Karpman" et la nécessité de lâcher prise.

On se libère peu à peu des réflexes inconscients, toujours grâce à l’amour et la lumière intérieurs, en les cultivant ; en prenant conscience de ce qui est caché en nous et en ayant de la compassion pour soi-même, pour ce qu'on trouve dans les profondeurs de notre inconscient.
C’est toujours le même processus qui est à l’œuvre dans la reconnaissance de soi, de notre être véritable et des jeux de rôles, des masques que nous portons, qui se révèlent simultanément lorsque c’est perçu avec les yeux du cœur. 

Il est aussi évident que nous jouons tous les rôles de ce triangle infernal qui nous empêchent d’exprimer notre nature véritable, d’être dans la joie et de réaliser notre plus beau potentiel. 
Nous sommes tour à tout victime, puis bourreau et enfin sauveur. 
Il semble que ça tourne dans ce sens puisque lorsque nous sommes enfant, nous dépendons complètement des autres, à l’adolescence nous commençons à nous émanciper, à pouvoir agir selon nos valeurs personnelles, à faire des choix puis à l’âge adulte, le fait d’être parent nous confère le pouvoir et l’autorité sur des êtres innocents et dépendants de nous.  
En général, nous n’en sommes pas conscients mais la vie nous donne des occasions de le savoir et de choisir d’en sortir.

jeudi 4 septembre 2014

"Guérison intuitive", lien conférence, ce soir, de Caroline Blanco et paroles sages de Caroline Gauthier







Me voilà à nouveau plongée dans la mélancolie ! Un réveil moyen après une nuit agitée et la vision d’un soleil orange voilé par les nuages, participent à cet état d’être. 
Je ne vais pas nourrir la nostalgie par des regrets mais plutôt accueillir les émotions qui surgissent avec les pensées plutôt sombres. Puis laisser l’impatience s’exprimer en respirant profondément afin de dégager cette énergie bloquée. 
Le souffle est libérateur et je viens de l’appeler à faire du ménage à l’intérieur afin que mon ciel se dégage. 
Les petits frissons ressentis alors que j’invitais mon enfant intérieur et mon âme à me communiquer leur rêve commun me confortent dans le fait que tout est bien, que je n’ai pas à me soucier de l’avenir. 
De toute façon, vouloir anticiper en ayant si peu de repères est la meilleure façon de risquer d’angoisser. Au lieu de ça, j’appelle l’énergie de la confiance en soi, à m’habiter. 
Il suffit de peu pour être rassurée, un frisson à propos et le tour est joué. 
Évidemment, il faut que le mental suive, qu’il n’ait aucun doute quand à la façon de mon âme de manifester sa présence. Mais comme celui-ci est aimé, pris en compte et plutôt bien traité, peut-être même un peu trop mais ça…, du coup, il est réceptif, ouvert et confiant.

mercredi 3 septembre 2014

« Devenir conscient de qui on est, ça passe par le dévoilement de la personnalité » by myself



Puis un message de "l'Ami", reçu Agnès Bos-Masseron et un texte de Caroline Gauthier

Josephine Wall


A la recherche du rêve de mon âme, j’ai invité mon enfant intérieur, tout à l’heure, à me confier ses désirs profonds. Il m’envoie des images et notamment celle où je me voyais enfant, assise devant un bureau et heureuse de l’être. Je ne saisissais pas bien ce que ça voulait dire lorsque j’étais enfant ni ce que je faisais pour être si heureuse mais en m’asseyant au bureau après avoir fait un peu de ménage, je me suis mise à sourire de contentement en pensant à tout ce que cet ordinateur me permet de faire. C’est à ce moment que l’image de l’enfance est apparue. C’est vrai que je passe beaucoup de temps à écrire, à lire, à échanger, à partager, diffuser…et je m’éclate dans ce jeu. C’est marrant parce que dans cette scène souvenir, il n’y avait personne en face de moi pourtant, il y avait interaction. Ce qui m’amène à penser que c’était une « vision » du futur, de maintenant. On peut dire que les relations sur le Net sont virtuelles donc superficielles mais au contraire, c’est un formidable moyen de communication qui permet derrière une certaine forme d’anonymat, de pouvoir être sincère.
Puis l’instantanéité des échanges nous stimule à réagir de suite, dans l’élan et ainsi de voir où on en est au niveau émotionnel. J’ai tendance à écrire un premier commentaire, ce qui me vient de suite puis en me lisant, je peux me situer sur l’échelle vibratoire, accueillir l’émotion et je constate toujours que mon discours devient neutre. Cet exercice est une technique facile, une façon de sacraliser, d’illuminer son quotidien, l’occasion d’épurer, de libérer et ainsi, par l’alchimie qui s’opère, on sacralise chaque instant tout en devenant plus lucide, en ouvrant sa conscience.

lundi 1 septembre 2014

"Le pouvoir des mains des humains"...Lee Harris et Caroline Gauthier


Helen Nelson Reed



Encore une longue nuit où j’étais en pleine conversation au moment du réveil ! 
Je recommence à poser mes mains sur mon ventre qui semble se déchirer de l’intérieur. J’en ai parlé à ma mère hier, de ce nouveau réflexe qui consiste à utiliser ses mains pour se faire du bien, soulager les douleurs. J’ai été très surprise qu’elle ne rigole pas mais au contraire me confie qu’elle le faisait aussi ! 
Finalement, c’est tout à fait logique puisque les mains sont le prolongement du cœur et que l’énergie d’amour a le pouvoir de guérir, restructurer, apaiser…et pour couronner le tout, je trouve ce matin, le message qui suit, de Lee Harris. 
Plus nous serons nombreux à prendre conscience de notre pouvoir créateur donc pouvoir d'auto-guérison aussi, plus nombreux nous serons à prendre la responsabilité de notre monde intérieur et plus l'énergie de guérison et de puissance amoureuse se répandront sur la planète faisant du rôle de la victime, un vieux souvenir. La souveraineté implique d'être responsable de soi encore faut-il être conscient de qui nous sommes réellement.
Celui ou celle qui cesse de nourri des égrégores de peur, d’impuissance, participe non seulement à sa propre guérison mais en fait bénéficier son entourage proche ou lointain, par rayonnance, par les fréquences qu’il émet. 
Je pourrais fuir cette douleur en prenant un médicament, en me forçant à sourire, en faisant diversion…, mais je choisis de la regarder en face, de la ressentir pleinement tout en « envoyant », par l’intermédiaire de mes mains, l’amour inconditionnel, « l’énergie amour » sur mon passé, sur les traumas de l’enfance, les traumas sexuels, le féminin intérieur, les histoires d’amour tragiques, l’inconscient collectif féminin…

samedi 30 août 2014

« Oui mais » film et « paroles de sagesse » de Caroline Gauthier


Je pense donc je suis...


Pour une fois, j’ai regardé un film, il y a quelques jours et j’ai apprécié de pouvoir me détendre malgré le sujet : le développement personnel, les prises de conscience, la libération des rôles et même la démarche peu orthodoxe mais cependant efficace du thérapeute  incarné par Gérard Jugnot. Une façon agréable et reposante pour le mental, d’intégrer de grands principes concernant les comportements humains…J’espère que vous apprécierez ce film, en fin d’article.
J’ai découvert la page Facebook d’une auteure, Caroline Gauthier, dont les textes résonnent fortement. Encore un clin d’œil de la vie ! Je publierais quelques unes de ses citations remplies d’une sagesse simple. Le style est mélodieux ce qui équilibre avec le côté « cru », vrai de certains sujets. Voici donc par Caroline Gauthier:

« Au cœur de sa chair, il y avait sa propre musique, mais aussi la force cosmique.. 
Elle savait que cette force était dans son corps, qu'elle n'est pas en dehors ! 
Elle savait que dans les profondeurs de son corps, il y avait un trésor. 
Pourtant, comme beaucoup, elle en avait perdu la clé, et il lui appartenait de la retrouver.