mardi 28 octobre 2014

« Au fil de mes lectures… » Ulysse de banlieue, Joéliah et Christiane Singer (conférence)






J’ai envie de partager ces points de vue avec vous. J’ai trouvé ces textes en me promenant sur la toile et je les ai copié-collé pour les lire tellement ça résonne. C’est tellement intéressant de partager des infos avec les « amis » Facebook, puisqu’on a la même foi en l’amour divin en soi, que je pouvais y passer des heures ! 
Heureusement, pour mon équilibre, enfin pour le maintenir, je me plonge avec enthousiasme dans le monde réel, celui de la nature. Le jardin refait partie de mon emploi du temps amenant une forme de dynamisme qui me correspond bien. 

L’activité physique permet de décrocher naturellement du mental et c’est très reposant en ce sens ! Il est vrai que la respiration consciente et calme favorise les libérations et donc amène un mieux être mais ça reste avant tout un moyen rapide de calmer la personnalité afin de se centrer, de venir en son cœur où l’interprétation des faits sera beaucoup plus réaliste, juste, sage puisque le cœur voit à travers l’amour. 
C’est une technique qui prépare à passer à l’action, à interagir avec d’autres humains en virtuel mais surtout en réel. 
C’est sur le terrain qu’on peut vérifier l’état de notre maitrise émotionnelle et mentale. 
Il va de soi que le travail intérieur se vit seul, mais c’est une préparation à la vie sociale tout autant qu’un moyen de trouver l’équilibre et l’harmonie.

« Passer du paraitre à l’Etre » vidéo d'éveil à la citoyenneté





On dirait que l’ajustement intérieur continue. J’ai eu chaud cette nuit, au point de me réveiller en nage. Comme je ne cogite plus et que je me contente de vivre selon l’élan du moment, non seulement le corps mental se repose mais la paix et la joie sont au rendez-vous. Quand je parle de joie, il s’agit plutôt de la sérénité qui vient quand on ne s’accroche plus au mental. 
C’est un peu comme si je me trouvais avec des cancanières et que je ne les écoutais pas. Du moins comme si je les entendais parler sans intervenir et sans les croire. Exactement la même réaction que dans la vie. Les rares fois où j’entends des gens parler d’autres personnes en les critiquant, soit je m’en vais soit je dis ce que je pense, si je sens que ça sera entendu. 
Je relativise en inversant les rôles ou en disant que personne n’est parfait, à l’abri de ses propres peurs et que tant qu’on ne sait pas gérer ses émotions, on aura des réactions imprévisibles, décalées ou exagérées. 
En général, pour ne pas créer de conflit, enfin pour être dans l’affirmation sans donner l’impression d’être au-dessus, je me prends en exemple. Je n’hésite pas à relater des situations où je suis sortie de mes gonds, où j’ai réagi de façon démesurée mais où j'ai su demander pardon.