lundi 11 mars 2013

La confusion amène la pause et l’enfant intérieur s’exprime




J’avoue qu’après avoir lu quelques textes d’Inelia à propos de l’ombre, je suis assez confuse. J’imagine que la vision romantique que j’aie de la lumière va devoir être révisée mais je ne me sens pas prête à lâcher l’idée de la lumière tout amour. D’autant que ma conception de l’amour n’est pas très nette non plus.
Si s’aimer, c’est être et accepter tout ce que l’on est, il est évident que ça chamboule ma vieille vision de l’amour "à l'eau de rose". 
J’arrive à comprendre qu’il faille aimer ses ombres comme sa lumière ou plutôt qu’il soit juste d’être neutre afin d’être en paix, en accord avec la volonté divine mais pour ce qui est d’accepter les ombres extérieures, je bloque. 
C’est comme si mon mental n’était pas capable d’intégrer l'idée que l'ombre existe aussi en dehors de la troisième dimension. Remarque, ce qui me rassure c'est que ma vision est encore fortement influencée par la dualité. Plus je vais épurer intérieurement et plus ça deviendra clair.

Une multitude intérieure reflet de la diversité extérieure


Mon ciel à 11h

Six heures d’un bon gros dodo dans mon lit tout chaud ! Je me suis encore éclatée le nez sur la table, hier soir ! Il y a eu un crac douloureux. J’ai déjà naturellement une bosse sur le pif me donnant un profil qui m’effrayait quand je le surprenais dans une glace, alors deux yeux cerclés de noir autour, ne sont pas nécessaires !
Je suis en paix avec mon image mais le fait de ne pas oser me montrer en face ici, est le signe que ça n’est pas complètement gagné. J’ai triché hier, en mettant une photo de moi à 25 ans. Remarque je ne trouve pas que j’ai beaucoup vieilli malgré que j’approche les cinquante ans ; Pouah ! Je n’aurais jamais cru arriver au demi-siècle. Mais comme j’habite mon corps avec de plus en plus d’aisance, le lien amoureux avec celui-ci efface les rides et les imperfections que je commence à aimer pour la particularité qu’elle me donne.