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lundi 31 mars 2014

"Transformer les oui à tout, en non constructifs" rédigé par Anne-Laure Gannac






Non : un mot difficile à prononcer pour beaucoup d’entre nous. Pourtant, à toujours tout accepter, le risque est grand de se laisser envahir par les autres. Au point d’en oublier ses propres désirs. 
Comment briser le cercle du « oui à tout » ? Le point en six questions.
Sollicité par un patron, un ami, un conjoint, qui n’a jamais dit oui ou peut-être, quand il pensait non ? Radicale, irréversible, signifiant l’opposition et le rejet, la syllabe est passée sous silence. Décryptage d’une censure qui, au-delà du souci de politesse, révèle un manque réel d’affirmation de soi.

Pourquoi faut-il savoir dire non ?
Parce que cela permet de trouver sa place parmi les autres et de faire en sorte qu’elle soit respectée. Nous avons tous en tête une idée de ce qui est acceptable pour nous, de ce qui ne l’est pas, mais il nous appartient de bien signifier ces frontières aux autres. Sinon, le risque est de se laisser envahir par le désir des autres, de se laisser détourner de ses propres objectifs au point de ne plus savoir qui l’on est ni ce que l’on veut.

vendredi 28 mars 2014

"La vie en technicolor"...lien d'accès à la vidéo "résumé des 4" de Jean Jacques Crèvecoeur


deviantart.com



Je me suis réveillée à 4 heures,  avec l’impression de m’être battue dans la nuit ! L’édredon était par terre et le froid m’a sortie du lit, complètement glacée ! Le printemps est long à prendre sa place et je continue de chauffer alors que l’année dernière, j’avais éteint le poêle dès le début mars ! Je ne sais pas vous mais j’ai l’impression que l’effet des chemtrails se fait de plus en plus sentir ! Les légumes ont parfois une drôle de texture malgré que je n’utilise aucun produit chimique, l’eau du robinet est aussi suspecte, les éponges noircissent en une semaine et les dépôts de l’eau ne sont plus blancs (calcaire) mais gris/noir !  De l’eau qui salit, ça semble fou !
Bon je ne vais pas amplifier le malaise ! De toute façon, je bénis tout ce que je mange et purifie l’eau avec le rayon violet, blanc ou doré selon ce qui me vient en tête. Régulièrement, chaque fois que je commence à me laisser gagner par la peur ou le défaitisme, je créé un dôme de lumière dorée en accueillant l’émotion en parallèle. Je me demande si je vais tenir le sevrage ! La journée d’hier à été difficile et j’ai demandé à Laurent, qui fait les soins énergétiques, tout à l’heure, par mail, d’ajouter un baume énergétique aux soins.

mercredi 26 mars 2014

"Que faut-il faire ?" Une chronique de Daniel Meurois






La nécessité de maintenir l’équilibre et l’harmonie  intérieurs, se fait de plus en plus sentir et comme je ne doute plus du tout de l’efficacité du recentrage, du fait de revenir en son cœur, d’appeler tous mes corps, mes incarnations passées, mes aspects divers et variés exprimant toutes sortes de dimensions, à la réunification, je me prête au jeu , avec d’autant plus d’enthousiasme. Ce qui me révèle ce manque d’harmonie intérieure, ce sont les bugs informatiques, mes réactions face au masculin dans ces aspects « négatifs » ou plutôt je devrais dire, dans l’extrême, le manque de finesse…
Certainement que mon vécu me permet de voir avec facilité lorsque quelqu’un est dans l’excès ou que je le suis moi-même. Quand je n’arrive pas à lire certains messages, la plupart du temps, c’est parce qu’ils expriment le déséquilibre masculin-féminin, ombre-lumière. Je réagis de la même façon aux messages qui parlent d’amour, celui que je qualifie de « mou », ou encore qui prônent la lumière, le « positif », dans un extrême tout aussi dangereux que ceux qui nourrissent l’ombre. Tout ce qui affirme trop d’assurance, joue sur les peurs, l’ignorance, accuse l’ombre alors que nous avons choisi volontairement d’expérimenter la dualité, dénigre l’aspect féminin en privilégiant le mental, même celui qualifié de supérieur, tout ce qui classifie, juge, ordonne, selon des critères de sélection totalement arbitraires, ne passe plus du tout. 

"Mettre sa part d'ombre en lumière" article vu sur inrees.com




Des côtés sombres, nous en avons tous. Par quelle alchimie peut-on parvenir à les mettre en lumière et les métaboliser en une énergie constructive, plutôt que destructrice ?

Accueillir

Egoïsme, jalousie, timidité, agressivité, trop ceci, pas assez cela… Ce qui mijote en nous n’est pas toujours de notre goût. Parfois au contraire, nos forces sombres semblent nous satisfaire, nous aimons nous y complaire. Faut-il les réprimer, de peur de ne plus être aimé, ou bien leur céder, en les laissant nous définir ? Pour la thérapeute psychocorporelle Caroline Jeannet, la clé est d’abord
« d’accueillir ce qui est là », sans jugement, mais sans se laisser emporter.
Vous êtes en colère ?
« Ah ! Je suis en colère. » 
Vous détestez telle personne ? « O.K., j’éprouve de la haine. » 
Une remarque vous blesse ? Notez la tension qui se crée dans votre corps. 
Est-elle nécessaire, maintenant ? Que pouvez-vous faire pour y remédier ? 
Respirer, vous masser le ventre ou les mains, relativiser... 
Traquez vos réactions avec curiosité, arrêtez de les estampiller « négatives », comprenez qu’elles sont simplement le fruit de circonstances, qu’il n’y a pas la vilaine ombre d’un côté et la belle lumière de l’autre : chacune a le pouvoir de faire de vous un être complet.  
« Si nous nions notre peur, nous minimisons notre courage. Si nous nions notre cupidité, nous réduisons d’autant notre générosité », note Debbie Ford. 

mardi 25 mars 2014

"Laisser renaître l’enfant intérieur" par Lise Bourbeau





De plus en plus d'individus ont oublié leur enfant intérieur.
Dès notre naissance, les adultes dans notre vie nous forcent à être "normal" comme eux. Avec le temps, nous adoptons une personnalité pour répondre aux demandes des adultes. Devenus adultes, nous oublions donc (ou presque) notre individualité première, notre "Je suis". En observant le comportement des adultes vis-à-vis les enfants qui insistent à être eux-mêmes, il est facile de constater comment l'enfant intérieur de ces adultes a lui aussi été profondément refoulé. Ce refoulement de l'enfant intérieur écrase la spontanéité, la joie de vivre, la créativité, l'authenticité, la capacité de s'exprimer, la confiance en l'Univers, la capacité d'être naturel ainsi que le respect de soi.

En effet, dès le très jeune âge, les adultes font la morale en ce qui a trait au bien, au mal, au correct, au pas correct, au supposé, au pas supposé, au normal, au pas normal, etc...

L'enfant pur qui n'est pas encore affecté ou influencé par le monde des adultes, ne s'inquiète pas devant ces critères arbitraires, élaborés par le mental. Il "est" ce qu'il est. 
Il n'analyse pas ce qu'il est pour faire, dire ou ressentir quoi que ce soit; il est spontané, il ne se juge pas ou ne se critique pas même s'il se trompe; il admet son erreur sans se juger.

lundi 24 mars 2014

15 Conseils qui vous permettront d’améliorer votre vie par Luminita D. Saviuc et un 16ème essentiel!






Au cours de notre existence, nous adoptons des habitudes et des comportements qui nous causent de la douleur et du stress. Nos vies ne commencent à s'améliorer que lorsque nous nous rendons compte de l'absurdité de ces attitudes, et que nous prenons des mesures pour les abandonner. Voici une liste de quinze conseils qui vous permettront d’améliorer votre vie et de vous rendre plus heureux:

1/ Abandonnez votre besoin d’avoir toujours raison
Certains d’entre nous ne peuvent supporter l’idée d’avoir tort, et parfois, ils mettent en péril des relations avec des personnes importantes pour eux. Pourtant, cela n’en vaut jamais la peine. Au moment où vous sentez que vous voulez prouver que vous avez raison, demandez-vous: « Est-il plus important que j’aie raison, ou que je sois sympa ? »

2/ Abandonnez votre besoin de contrôle
Laissez tomber votre désir de contrôler toutes les situations, les choses et les personnes autour de vous. Laissez-leur la possibilité d’être tels qu’ils sont réellement et vous vous sentirez bien mieux.

dimanche 23 mars 2014

"La vulnérabilité : Une force plutôt qu’une faiblesse" par Brené Brown



Albitar


Aujourd’hui, nous avons tendance à penser que vulnérabilité équivaut à faiblesse. Mais d’après le professeur Brené Brown, auteur du bestseller « Le pouvoir de la vulnérabilité », cette notion serait plutôt le berceau de l’amour, de l’empathie, et du courage.

L’idée que la vulnérabilité est une preuve de faiblesse est le mythe le plus répandu et le plus dangereux. Quand on passe sa vie à se protéger de la vulnérabilité et à éviter d’être perçu comme trop émotif, on ressent du mépris vis-à-vis de ceux qui sont moins capables ou moins désireux de masquer leurs sentiments, de se faire une raison et de persévérer envers et contre tout. On en est arrivé au point où, plutôt que de respecter et d’apprécier le courage et l’audace inhérents à la vulnérabilité, on laisse la peur et la gène se transformer en jugement et en critique.

samedi 22 mars 2014

"Se confronter à ses émotions" Fabrice Midal






Dans son nouveau livre « Frappe le ciel, écoute le bruit », Fabrice Midal nous explique le but de la méditation. Il ne s’agit pas de faire le vide dans sa tête ni de se détacher de tout, mais d’observer nos pensées et nos émotions afin d’entrer en rapport avec la réalité de ce qui surgit en nous.
« Après quelques mois de pratique quotidienne, j’ai eu l’envie d’aller plus loin. Je suis parti, au mois de mars 1990, dans un petit village de la Suisse italienne où était organisée une retraite d’un mois. Nous devions être une trentaine de personnes venues de toute l’Europe. Le matin, nous nous levions à 6h30, la pratique commençait à 7 heures. Nous prenions ensuite le petit déjeuner de manière méditative, en suivant un très beau rituel venu du zen où l’on mange selon des gestes précis qui nous aident à être plus attentifs. Nous avions ensuite une petite pause avant de reprendre la méditation jusqu’à l’heure du déjeuner.
Une interruption s’ensuivait, puis la pratique occupait toute l’après-midi. Entre deux méditations assises, nous effectuions une méditation en marchant, où au lieu de porter l’attention sur le souffle, nous étions attentifs au mouvement du corps et à la sensation des pieds qui se posent sur le sol.
Après le dîner, nous pratiquions encore jusqu’à ce qu’il soit l’heure d’aller nous coucher.
Tous les trois ou quatre jours, je rencontrais, pour un entretien individuel, un enseignant avec lequel j’abordais les difficultés de ma pratique.
Quand, aujourd’hui, je décris ce programme, je suis frappé par son exigence et par la façon dont j’ai alors sauté à pieds joints dans la pratique. Mais à l’époque, cela ne m’est pas du tout apparu ainsi. J’ai simplement répondu à un appel profond. Puisque la pratique de la méditation me semblait une réponse réelle, autant m’y engager pour de bon.

jeudi 20 mars 2014

"La peur ou l'amour" et "Accepter? oui mais" de Lise Bourbeau






Je me suis encore fait avoir par mes propres peurs, mon critique intérieur ! Petit à petit, la rancœur a gagné du terrain et ce n’est qu’en me rappelant que c’est un jour de diminution de la dose de médicaments, (je réduis de 0,01mg tous les trois à cinq jours), que j’ai pu "revenir au centre". 
J’ai l’impression plus que jamais, que cette expression veut aussi dire de cesser de croire que l’extérieur est responsable de son mal être. 
Chaque fois que je suis indignée, je perds mon équilibre en me tournant vers l’extérieur au lieu de revenir à moi. Aux raisons qui me perturbent en dedans plutôt que de m’égarer en dehors. J’ai beau le savoir, y croire, ça n’est pas encore un réflexe. Il a fallu que l’ordinateur se mette à délirer alors que je venais de lire un texte à propos de la dépendance, du fait d’accepter ce qui est, ses limites, pour que je me rende compte que le jugement intérieur qui s’est exprimé ce matin, vis-à-vis de l’extérieur, créait une disharmonie intérieure. 
J’ai encore beaucoup de mal à accepter cette dépendance et en lisant l’article de Lise Bourbeau à ce sujet, j’ai ressenti de la culpabilité que j’ai vite accueillie. 

mercredi 19 mars 2014

"L’intelligence du ventre" article trouvé sur "Inrees.com"



Helen Nelson Reed


"Digérer une émotion qui nous est restée sur l’estomac", "écouter son instinct viscéral" et "faire confiance à ses tripes"… tant d’expressions populaires qui pourraient s’avérer ne pas être que des métaphores. 

Enquête au cœur de notre ventre où un deuxième cerveau serait doté de capacités véritablement surprenantes.
Tout le monde le sait, nous avons un cerveau dans la tête - bien que parfois c’est à se demander s’il est bien là. Logé à l’abri de la boîte crânienne, il est souvent considéré comme étant l’organe le plus précieux que nous ayons. Son rôle serait alors de centraliser, par le biais d’un large réseau neuronal, les informations majeures de l’organisme pour en gérer toutes les fonctions vitales. Mais ce système nerveux central est-il réellement tout-puissant ? 
 La science a récemment découvert que nous avons d’autres cerveaux dans le corps. Voilà qui est plutôt inattendu. Déjà, une nébuleuse neuronale incroyablement performante, composée de plus de 40 000 neurones, est localisée au niveau de notre cœur, comme nous le décrit l’article « Le cœur, notre maître émotionnel » (Inexploré n°21). Mais de surcroît, un autre complexe, riche au grand minimum de 100 millions de neurones, fait office au creux de nos intestins. Nous avons donc aussi un cerveau dans le ventre, et pas des moindres. C’est étonnant. A quoi sert-il ? Cela veut-il dire que nous avons d’autres sortes d’intelligences ? L’heure semble être en tout cas à la délocalisation car il ne serait même pas évident, dans certains cas, de savoir quel cerveau possède un ascendant sur quel autre.

Liens vidéos gratuites de formation de Jean Jacques Crèvecoeur







Je copie colle quelques extraits de mails de Jean Jacques Crèvecœur, qui rappelle la mise en ligne des vidéos gratuites de formation dont j’ai publié la première au début du mois.
J’ajoute quelques commentaires, en italique, qui justifient la publication de ces vidéos sur ce blog, qui se veut un outil d’autonomie avant tout, par le témoignage du parcours d'auto-guérison et le partage de techniques, outils, méthodes adaptés.

Extrait « … Juste vous rappeler que j'ai mis en ligne depuis quelques semaines
une série de vidéos de formation. C'est gratuit. Mais c'est limité dans le temps.
Si vous avez eu la curiosité d'aller voir, vous avez certainement
constaté que
ces vidéos ne sont pas des vidéos de marketing,
contrairement à ce qui se pratique de plus en plus souvent
à l'heure actuelle.
Effectivement, c’est pour cette raison que je n’ai pas encore pris le temps de regarder la suite, je fais une over dose de vidéo consacrées au développement personnel... Pourtant celles-ci sont remplies de vérités applicables dans son quotidien et expliquées de façon très simple.


C'est quoi "Être"?..."Les 10 règles pour être humain" par "les éditions Ariane"


Nébuleuse Hélix (NASA)


Comme chaque fois que les questions se multiplient, à mesure que je tente de faire le tri dans mes pensées, de comprendre uniquement par le raisonnement, je vais m'allonger pour relaxer, détendre les crispations physiques, par la respiration, la focalisation sur le ressenti physique et calmer le mental en portant mon attention sur les points qui se détendent, peu à peu, le bien-être s'installe par l'amplification de la sensation de tendresse qui m'enveloppe alors. En même temps, les couleurs en mouvement apparaissent, me connectant de l'intérieur, à l'immensité de l'infini d'où je vois ma vie avec un certain recul. Je peux observer les pensées qui défilent sans m'y accrocher et entourer d'amour, les tensions qui demeurent en moi. Après cet exercice, qui dure deux heures, en  moyenne, et à bien y regarder, je n'ai jamais l'impression ni d'y avoir passé autant de temps, ni d'avoir perdu mon temps, mes gestes sont spontanés, alignés, il n'y a pas d'écart entre le désir et l'action, pas d'interférence.

samedi 15 mars 2014

"Amour sans objet"...vidéos Darpan sur le même "sujet"




Je suis encore toute chamboulée par le film que j’ai regardé hier soir, « La prophétie des Andes ». Déjà, le fait que je me souvenais de chaque scène, en détail, m’a épaté. Mais le summum, c’est à la fin ! J’ai fondu en larme en voyant le soutien des esprits parce que je le ressens subtilement mais sûrement et l’énumération des prophéties. Le sentiment puissant d’être guidée, en « mission » ici et maintenant, après bien des péripéties, qui, si elles ne sont pas à l’échelle des rôles des personnages dans le film, n’en n’ont pas moins de « valeur » ni d’intensité, m’a bouleversée. J’ai retracé mon parcours, les moments clefs marqués par les prises de conscience, les épreuves qui m’ont permises de faire un pas de plus en direction de mon cœur et aussi des autres cœurs. Le fait surtout que chaque révélation soit maintenant validée par l’expérience ! Vécue dans l’ordre donné, les synchronicités, l’écoute du cœur, de ses voix intérieures, l’amour à faire circuler en soi puis avec les autres, dans l'équilibre…La neuvième reste à vivre mais je sens que je suis à la porte, prête à franchir le pas. Quand j’ai vu le film pour la première fois, je n’avais aucun doute, c'était naturellement vrai, mon cœur le savait mais ce que je projetais alors n’avait rien à voir avec la réalité. Notamment, le fait que je croyais qu’il me fallait à tout prix avoir des visions pour attester que j’étais effectivement reliée à la source.

vendredi 14 mars 2014

« La maladie nous demande un effort amoureux » Guy Corneau...vidéo l'amour en action






Le texte qui suit, aborde la guérison de la même façon que j’apprends à le faire. L’amour vrai de soi, la joie, la reconnaissance de tout ce qui nous constitue, le fait que nos croyances, qui ne sont pas alignées avec la vérité de ce que nous sommes réellement, de l’énergie d’amour et de lumière issue de la source, créent des blocages, des ruptures énergétiques, des cristallisations dans le corps physique qui dégénèrent en maladie. Aimer les personnages intérieurs qu’on qualifiait de démon, reconnaitre qu’ils créent un équilibre et s’efforcent de maintenir l’harmonie, est un premier pas vers la guérison. Puis, apprendre à s’écouter, respecter ses vrais besoins, connaitre ses limites et savoir les poser vis-à-vis de l’extérieur, participe à la régénération cellulaire. Notre corps contient de programmes internes, celui de l’amour et celui de la mort. Même si le corps physique est appelé à mourir un jour ou l’autre, ce qui compte c’est comment nous vivons l’espace entre naissance et mort. Si nous choisissons de suivre le chemin de la peur ou celui de l’amour…

lundi 3 mars 2014

"Clefs de sagesse" EDL via Monique Mathieu et vidéo formation "extra" de Jean Jacques Crèvecœur


Amano Amano*



Clefs de sagesse du jour en parfait accord avec mon état d’esprit ! Je vous les partage afin de véhiculer cet amour inconditionnel, source de miracle, de joie, de plaisir, d’harmonie, d’équilibre, de liberté………………Dans le même élan, une vidéo "formation" de Jean Jacques Crèvecoeur: "10 étapes pour prendre soin de vos besoins". L'amour et la lumière qui viennent de la source, ouvrent le cœur de tous et notamment de ceux qui ont compris comment trouver le bonheur. Naturellement, ils partagent leur "traduction" des énergies divines afin qu'elles soient applicables concrètement, dans la vie de tous les jours. L'énergie s'inscrit ainsi dans la matière par des gestes simples.

Clef 36
Vous vivez une période extraordinaire ! Bénissez chaque jour, bénissez toutes vos expériences de vie, bénissez l’Amour qui grandit en vous, bénissez la joie, bénissez la sagesse !

Clef 650
Ce qui a beaucoup d’importance c’est de vous aimer, de vous accepter, et à partir du moment où vous vous aimerez et que vous accepterez,  tout sera différent pour vous dans le sens humain comme dans le sens spirituel.
Je confirme cette grande vérité qui est essentielle et que l’expérience valide chaque jour. L’amour est une énergie miraculeuse dont le pouvoir est infini…

mardi 25 février 2014

« L’instant présent et ce qui l’encombre » vidéo de Darpan, après une longue intro perso




Il y a bien longtemps que j’avais écouté de la musique ! Ce mélange de points de vue, de musique diverses et variés, m’amène à considérer la vie comme une succession de chansons, de scénettes, qui peuvent émouvoir, donner à réfléchir ou seulement divertir, inviter à se laisser aller à suivre le rythme, le tempo. Chaque instant nous pouvons choisir si nous sommes acteur ou spectateur, selon notre envie de sentir de l’intérieur ou de l’extérieur. Tant qu’on croit que la scène est réelle, qu’on s’identifie au personnage, on va souffrir, ou rire, selon le décor, l’ambiance, le scénario.
Ce qui me réjouit, maintenant que je peux avoir un peu de recul sur ce qui arrive, c’est que peu à peu, je me détache du rôle, du personnage, tant celui de l’acteur que celui du scénariste. Même si j’ai l’illusion de croire que je dirige ma vie, chaque fois que je pense en comprendre le sens, quelque chose vient tout bouleverser pour m’amener au-delà  du mental. Oui je créé ma vie, j’attire des choses, événements selon ce que j’émane mais, je ne suis pas seule sur la scène. D’autres envoient leurs ondes qui viennent croiser les miennes, les amplifier ou les choquer. C’est un tel fatras qu’il est impossible de faire entendre sa propre mélodie sans que ça créé un genre cacophonie. On peut le voir comme un gros bazar ou comme une explosion de vie et la question finale est à quoi ça sert ? La réponse semble être : à rien.Il y a certainement une logique, un sens a tout ça mais je ne cherche plus, enfin en ce moment.

"Intégrer l'amour impersonnel"...et un message d'Inelia Benz "L'art de ressentir les réactions du coeur"





Toujours attentive à ce que la vie me renvoie par la loi d’attraction, j’apprends à faire le tri entre ce qui est de l’ordre de l’effet miroir et les créations des autres. Même si toute interaction implique une cocréation, elle ne révèle pas forcément la même chose aux deux protagonistes. J’apprends à mieux écouter, à lire l’énergie derrière les mots et à prendre le recul nécessaire afin de ne pas être en réaction mais juste en observatrice d’une leçon de vie. Sans tomber non plus dans l’ingérence, sans chercher ce que l’autre pourrait avoir à apprendre dans la situation. Comme je suis persuadée que nous sommes uniquement responsables de ce que nous vivons, ça implique de ne pas s’occuper des créations de l’autre. Lorsque mon propre espace est bousculé, je regarde d‘abord ce que ça éveille en moi et c’est cette phase qui me pose encore problème puisque lorsque je reconnais mon erreur et l’admets, l’autre en fait une occasion de se grandir oubliant totalement qu’il n’est pas parfait. Je me dis que la victime réagit encore et en l’entourant d’amour, elle se transforme livrant des qualités telles que l’empathie, le sens de la fraternité, l’absence de jugement, la sensibilité…
Chaque émotion, défaut, contient les deux polarités énergétiques et devient défaut lorsqu’il y a un excès de lumière ou d’ombre. En se situant dans le cœur, celui-ci peut amener l’équilibre et la vision neutre. Ainsi, rien en soi n’est rejeté, refoulé mais juste rééquilibré. J’avoue que ça n’est pas facile et que très souvent, il me faut un certain temps de pause pour arriver à me situer dans l’espace neutre du cœur.

lundi 24 février 2014

"Ici et là"...puis Darpan: vidéo méditation guidée.


Lisa Rodden



Je ne sais ce qu’il en est pour vous mais je plane à quinze mille ! Je ressens le besoin de m’ancrer pour ne pas être déstabilisée par la sensation d’être à plusieurs endroits à la fois. Ce n’est pas comme lorsqu’on est toujours dans ses pensées, je suis relativement présente à ce que je fais mais je me sens tellement peu attachée à ce qui est, que ça s’approche de l’absence. Je suis tombée sur une de mes photos, retouchée, sur Facebook et malgré la sensation d’avoir été spoliée, je me suis contentée de signaler que j’avais demandé de citer mon nom en cas de diffusion des textes ou photos. La même chose s’est produite vis-à-vis d’un texte dont l’intégralité n’avait pas été respectée.  
Comme il n’y a pas de hasard, je me tourne vers l’intérieur et constate que la victime, le passé, n’ont plus autant d’impact sur le présent. Mais il y a aussi là dedans comme un besoin de se situer, de trouver le juste milieu. Très souvent, sur Facebook, les images sont partagées sans que le nom de l’auteur soit cité. Au début, je me disais « c’est généreux de partager quelque chose qui appartient aux autres », avec une certaine stupéfaction qui peu à peu est devenue ironie. Je cogite sur le sujet et plusieurs arguments me viennent. Le sens de la propriété peut être considéré comme de l’attachement mais d’un autre côté, nous existons en tant qu’individu et ce que nous produisons, ce qui émane de soi est comme une de nos créations. Ne pas mettre le nom de l’auteur c’est rendre l’œuvre orpheline, nier l’existence de l’auteur, sa paternité. S’il est vrai que nous ne sommes pas uniquement cette personne, cette enveloppe, elles constituent tout de même notre forme, notre singularité, une part importante de nous-même.