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mercredi 14 octobre 2015

« Bien-être et amour de soi » Jeff ... & vidéos conférences de Marshall Rosenberg





J’ai regroupé une série d’articles du site anti-deprime.com à propos de l’amour de soi et du bien-être. Notre culture judéo-chrétienne nous a maintenus dans l’idée qu’il fallait faire passer les autres avant soi mais ce genre de comportement ne fait que créer des conflits, des malentendus, des frustrations et des attentes envers les autres. 
En effet, quand on sert les autres par devoir, par obligation ou par pitié, on a tendance à vouloir qu’ils changent, qu’ils soient reconnaissant. On devient exigeant et frustré qu’ils ne fassent pas ce que l’on veut, "qu’ils ne rendent pas la monnaie de la pièce".

Le rôle de sauveur cache souvent un déni, un rejet de soi, c’est une stratégie de l’ego, une façon de détourner l’attention de ses propres problèmes, de ne pas affronter ses blessures…Et comme toutes les stratégies, ça ne fait qu’éviter la réalité ça ne rend pas heureux au bout du compte.

L’amour véritable de soi, celui qui vient de l’acceptation de tout ce que nous sommes, de nos ombres, nos défauts, mais aussi de nos qualités, cet amour sincère qu’on cultive patiemment, au jour le jour, nous rapproche des autres de la même façon et surtout sans attentes ni besoins. 
Nous sommes empathiques sans tomber dans le rôle de sauveur, et pouvons faire preuve de la même compassion que celle que nous éprouvons à l’égard de notre enfant intérieur, de nos propres blessures. L'enfant intérieur qui est pris en compte, n'appelle plus de miroir pour nous interpeler, ne joue plus les tyrans quand il est écouté...

dimanche 11 octobre 2015

« Colère, agressivité,… : les conseils de Catherine Gueguen pour réagir avec bienveillance » par Jeff & conférence de Marshall Rosenberg





Selon l'effet miroir; le fait que chacun reflète en l'autre ce qu'il cache, refoule et sachant qu'en chaque adulte, l'enfant que nous étions demeure, cet article rédigé par Jeff du site "anti-deprime.com", peut être utile à tous. 
Il existe en nous, cet enfant fragile, ou cet aspect intérieur vulnérable, immature, mais aussi pleinement vivant, celui qui ne sait pas exprimer ses émotions parce qu'il les a toujours niées ou refoulées. 
Le processus alchimique qui consiste à offrir à la source en soi, les émotions de l'instant, est une sorte de dialogue entre l'enfant et le parent, ou la sagesse interne innée qui habite chacun. 
On peut aussi l'appeler la conscience bienveillante, l'amour, lumière, ou encore selon les scientifiques, le cerveau reptilien; le tronc cérébral et le néo-cortex, la partie préfrontal du cerveau, ou d'un point de vue 'spirituel'; l'ego et la conscience pure...
Lydia

Dans son livre « Vivre heureux avec son enfant » , Catherine Gueguen répond à une problématique que rencontrent de nombreux parents au quotidien : Mon enfant fait des colères, il est agressif, il tape, il mord. Comment réagir avec bienveillance ?
Voici ses conseils.
Comprendre
« Entre 1 et 3 ans, si l’enfant se trouve dans des situations très émotionnelles qui le mettent en état d’insécurité, s’il se sent en danger, si des besoins fondamentaux ne sont pas satisfaits (besoin d’affection, d’attention, de jouer, de calme,…), son cerveau archaïque va le dominer et le conduire à avoir des réactions instinctives d’attaque, de fuite ou de sidération.  »

vendredi 29 mai 2015

« Résoudre les conflits intérieurs grâce à la communication non-violente » compilation d'articles rédigés par Jeff & vidéos CNV, Byron Katie


Bilou "la sauvage" à droite et Féliz à gauche, en pleine conversation ce matin...



Un des principes fondamentaux de la communication non violente est de ne pas juger autrui car ce jugement accule notre interlocuteur et déclenche des réactions de fuite ou de défense. 
Mais qu’en est-il des jugements que nous nous portons intérieurement ? 
Quand nous nous qualifions de nul, d’incompétent, de peu téméraire, de moche ? 
La CNV peut-elle nous venir en aide pour résoudre ces conflits internes et trouver des solutions ? 
Comment réagir quand plusieurs voix discordantes s’élèvent dans notre tête et nous poussent vers la dépression ?

Voix intérieures, dépression et CNV
Marshall B. Rosenberg cite l’anthropologue Ernest Becker qui attribue la dépression à des « alternatives bloquées par la fonction cognitive ». Cela signifie que tous les jugements que nous nous adressons nous font perdre le contact avec nos besoins et nous privent de la possibilité de les satisfaire. 

Afin de rétablir le contact avec les besoins(1), Marshall B. Rosenberg conseille d’abord de noter les voix qui s’expriment dans nos pensées afin de reformuler leur discours façon CNV c’est-à-dire, avec ce modèle :

mercredi 20 août 2014

"Communication non violente avec Marshall Rosenberg" vidéos

Photo: Laura Bellamy


La CNV selon Marshall Rosenberg 10 vidéos, d'environ 10 minutes chacune, traduites en français. J'y ai ajouté les phrases (en vert) et parfois un résumé, de ce qui m'a touché. Puis quelques commentaires. Il nous explique les deux modes de communication en vigueur sur la planète; "le mode chacal", le plus courant ou le "mode girafe" qui commence à se répandre, tant par la foi, la spiritualité, la sagesse des anciens qui est révélée, les messages extra-terrestre... que par l'approche du développement personnel.
Toute une éducation à revoir...puisque le modèle d'éducation se réfère à l'évaluation, aux normes...Il explique comment et pourquoi nous devons réapprendre la communication. 

Nous avons la capacité naturelle de communiquer à partir du cœur mais il est difficile de rester centré. Apprendre notre mode de fonctionnement afin de mieux s'exprimer avec plus de clarté, de justesse, permet de maintenir une relation à l'autre, basée sur le respect mutuel.
Il faut apprendre à observer sans juger, connaitre ses besoins et les exprimer, sans accuser l'autre, de façon à ce qu'il ne se sente pas obligé de nous satisfaire, qu'il agisse de "bon cœur". Se forcer ou forcer l'autre est une forme de violence qui vient de l'idée que nous ne pouvons pas trouver l'essentiel en nous-même; l'amour, le respect, la paix, la joie...Même quand on sait qui on est véritablement, un humain divin qui apprends à aimer sur Terre, dans un cadre apparemment hostile, on tombe régulièrement dans les mode de survie issus de la peur. La peur de l'autre qu'on considère souvent comme un ennemi potentiel...