jeudi 14 novembre 2013

Maintenir ses choix, et ainsi élever sa fréquence vers la source.


 Facebook TransLight


En toute « logique », --en tous cas selon ma foi aux lois universelles et au fait d’être créatrice de ma vie--comme j’ai proclamé choisir l’abondance, l’ajoutant à ma liste de désirs sincères, la vie me montre où j’en suis dans ce domaine, au niveau inconscient. Je suis allée au jardin pour arroser mais le canal était fermé. Non seulement ça m’oblige à trouver un autre moyen d’arrosage momentanément, mais en plus des petits malins ont obstrué le canal, selon les dires d’un voisin qui a cru bon d’ajouter que pour le bois que j’attendais, rien n’était sûr. Cerise sur le gâteau, j’apprends que c’est du bois vert !  Ce qui signifie qu’il ne pourra être utilisé que dans deux ans. Face à ces nouvelles données, j’ai deux choix possibles, soit réagir par la peur et la colère, soit réaffirmer ce que je veux en accord avec le divin intérieur, à savoir, vivre dans l’amour, la joie, la liberté, la paix, l’équilibre et l’abondance en toutes choses. Le confort physique, mental, émotionnel, l’abondance financière, les bienfaits en tous genres, bref une vie digne d’un humain divin, conscient des lois universelles et de son pouvoir créateur par l’alignement de tous ces corps. J’ai commencé par flipper à l’idée de voir mon avenir compromis. En effet, ce qui me « rattache » momentanément sur ce plan, ce qui me permet de guérir et de trouver de la joie, c’est le fait d’être en connexion à mon âme et à celle de la Terre Mère. Mon mental est partit à 100 à l’heure dans des développements basés sur la peur puis, je me suis rappelée ce que j’ai écrit ce matin.

Facettes...multiples


Image trouvée sur Facebook "Cœurs d'Anges"


Une longue nuit de huit heures, contrairement à l’habitude, m’a redonné force et vitalité. A mesure que j’accepte ce que je suis en totalité, que je cesse de m’en vouloir d’être dépendante des médicaments et de la cigarette, une nette progression s’effectue en coulisse. Je parle ici de l’inconscient qui s’ajuste à mes nouveaux choix de vie, d’état d’esprit, répétés régulièrement. Bien que le côté répétitif des choses m’ait toujours agacée, j’accepte le fait qu’une nouvelle croyance ait besoin d’être imprimée en profondeur et donc imprégner les nombreuses strates de l’humain, afin d’être pleinement intégrée jusque dans les profondeurs de l’inconscient, qui permettra une application « réflexe » de ces nouvelles données. Nous sommes ainsi constitués de plusieurs corps dont chacun possède son « langage », son degré de conscience spécifique. Il ne s’agit pas d’échelle de valeur, c'est-à-dire qu’aucun d’eux n’est mieux ou pire mais il est plutôt question de façons différentes d’appréhender le monde, de le percevoir, de le comprendre et d’en restituer une « image ». Nous disposons de sens qui restituent leur vision de la vie, chacun dans une gamme de sensation des plus diverses. Elles sont ensuite traduites par notre cerveau et filtrées au travers de nos croyances, de notre cœur. 
Je suis toujours épatée de constater la perfection de ce que nous sommes. Ainsi, l’objectif de tous nos corps est de trouver l’harmonie et ce que notre mental qualifie de bon ou mauvais est en fait un moyen de trouver l’équilibre intérieur. Il n’y a donc rien de mal dans ce que nous faisons mais simplement des comportements adaptés à nos croyances. La meilleure façon de changer, sans créer le chaos, c’est donc d’agir au niveau du mental. Celui-ci étant composé d’une conscience, d’une part réagissant par « réflexe » ; l’inconscient et d’une forme de sagesse émanant de la « super-conscience » ou subconscient, bref de notre aspect divin. L’harmonie se créé donc naturellement entre ces différents aspects et en modifiant nos croyances conscientes, un nouvel équilibre se met en place.