dimanche 9 novembre 2014

« Apaisez les turbulences de votre mental grâce à la Focalisation » par le Dr Véronique Baudoux





Votre cerveau surchauffe à force de faire des heures supplémentaires ?
Vous aimeriez pouvoir débrancher sur commande vos neurones hyperactifs ?
Vous ressassez, vous ruminez… ? Vos questions tournent en boucle et vos pensées tournent en rond ?
Faire le vide dans votre tête vous semble aussi accessible que d’escalader l’Everest à mains nues ?
Il est possible de calmer votre brouhaha intérieur et de découvrir les bienfaits d’un mental apaisé…
Apprendre à mettre le mental en mode « pause », à calmer le brouhaha de vos pensées est le premier pas à franchir pour retrouver l’accès à votre Être et donc à vos véritables pouvoirs…
Car vos pensées se basent sur vos fausses croyances et déterminent votre réalité sur des fondations qui sont parfois (souvent) erronées.

« Une émotion qui se manifeste, se libère ! »





On dirait que le calme est revenu dans ma tête depuis hier soir et que la nuit a été plus sereine. J’ai dormi d’une seule traite, de 22h à 6h, ça change tout! C’est un créneau horaire qui me convient parfaitement. Seul bémol, je me suis réveillée avec une double poche sous l’œil gauche !
J’ai eu l’impression d’être retombée en enfance hier ! Comme par hasard, ma sœur m’a envoyé un SMS très court où elle ne parle pas de la visite de ma mère. Je lui ai répondu que j‘aurais aimé qu’on se concerte avant qu'elle décide de l’inviter. Comme nous sommes éloignées de 800km et qu'elle nous visite en même temps, j'étais agacée qu'elle décide les choses sans me demander mon avis. Je n’étais pas trop en colère pour ce fait mais j’ai tout de même ressassé à ce sujet. J'ai bien senti que ma colère venait de très loin et qu'il me fallait tempérer les choses pour m'exprimer sans en rajouter. 
J’ai beaucoup de mal avec les gens qui veulent diriger les autres, décider pour tout le monde et qui sont égoïstes. Avec qui on est toujours obligé de mettre des limites…

Bon là, j’ai un aperçu de ce qui demeure en mon inconscient. Même si je peux dire que je le savais plus ou moins, je sais maintenant que tout ceci a besoin d’être extériorisé, que c’est en moi et que ma sœur me renvoie ce reflet depuis l’enfance. J’ai donc appliqué l’accueil des émotions et comme je n’en pouvais plus parce que ce qui rend le sevrage difficile, c’est d’une part de ne pas être habitué à ressentir les émotions « normalement » puisque par l’effet des médicaments, le corps est un peu anesthésié et d’autre part, d’avoir eu l’habitude de refouler systématiquement tout ce qui faisait des vagues en dedans. Comme je diminue les doses, il y a un effet amplificateur de la sensation émotionnelle qui limite ma capacité à prendre du recul. Du coup, j’ai bien du mal à ne pas m’identifier à l’enfant intérieur.