dimanche 9 mars 2014

"Pour en finir avec le combat noirceur/lumière" par Bianca Gaïa






Depuis hier, c'est comme si j'avais retrouvé mon enfant intérieur, tel qu'il était avant tout les drames de ma vie! Je vis selon qui je suis en réalité, libérée de toute obligation. J’avoue que je m'inquiète un peu concernant mon devenir au niveau du travail mais comme j'ai de plus en plus confiance en la vie, aux "signes", aux synchronicités et en la réalité que tout est déjà accompli, qu'il n'y a plus qu'à se laisser guider par le cœur, l'inquiétude s'envole, les questions cessent. 
Depuis janvier que je me dis que la légèreté, la facilité, sont les énergies de cette année, et bien je me laisse porter par elles. Tout ce qui me tombe sous la main, les yeux, m’invite à lâcher totalement prise. 
De toute façon ruminer, s’interroger, ne fais qu’amplifier le mal-être et n’apporte aucune solution. Après tout, je suis ici pour vivre et chercher à contrôler, c’est tout simplement s’emprisonner volontairement. 
Les peurs appartiennent au passé, aujourd’hui, j’appelle mon plein potentiel créateur à se manifester dans la joie, mon âme à déverser tous les acquis, la sagesse, les talents récoltés au fil de mes incarnations passées. Il est temps de vivre pleinement !

"L'illusion de la séparation"...*






Ce matin, j’ai apprécié de pouvoir me recoucher et profiter de deux heures de sommeil supplémentaires. Le travail énergétique effectué continue de libérer des émotions et les douleurs sont de plus en plus rares. Je n’ai aucun doute quant à l’efficacité du travail ni des compétences de la personne qui l’a réalisé mais plutôt vis-à-vis de la pertinence de demander des renseignements, que je devrais avoir la patience de recevoir moi-même. 
Je suis convaincue de canaliser mes guides, ou ange ou mon âme, et il n’est pas vraiment utile de connaitre leur nom, leur « distinction » puisque tout est Un et que mon désir, c’est de retrouver l’unité, de libérer les croyances basées sur la notion de séparation. 
Le fait d’étudier les corps séparément, c’est plus pour mieux comprendre comment je fonctionne et surtout pour apprendre à aimer chaque aspect de ce que je suis. Il ne s’agit pas de sélectionner un corps, de le placer au-dessus de tous les autres mais au contraire de les unifier dans le cœur. 
Même quand je parle du cœur, et que je cherche à m’y situer, c’est parce qu’il est au carrefour, au centre de tout ce que je suis, l'endroit où la communion avec le divin et aussi avec l’humain, s’effectue. Je ne doute pas qu'on contacte l’invisible par le troisième œil ou par les corps spirituels puisque tout est relié mais je ne veux pas connecter le divin au mépris de l'humain, il me semble que l'équilibre est au centre.