27 04 Ce
matin après 48 heures à maintenir mon désir de paix et d’unité, les
douleurs violentes aux reins se sont calmées et l’espérance est à nouveau
présente. Ceci dit espérance non pas en un monde meilleur dès demain ou après
les élections mais en la possibilité de s’affranchir de toute forme
d’attachement excessif, de toute violence envers soi-même et envers toute vie. Ou
en d’autres termes, l’espoir en la possibilité de vivre dans la paix, l’harmonie,
l’équilibre, la tempérance, à l’intérieur, dans le respect mutuel entre tous
les aspects de l’être.
Par
nature, le système électoral qui consiste à choisir un camp, fait émerger
toutes les luttes humaines, les conflits et les divisions, les peurs. Chacun
défend ses intérêts, son clan, sa tribu, sa vision d’un monde idéal, sans se
rendre compte que tout ce qui se passe à l’extérieur est le reflet de ce qui se
vit en soi.
Et bien évidemment que c’est à l'intérieur qu’il faut « agir »,
choisir.
Savoir
déjà cela est essentiel parce qu’on aborde les choses avec du recul, on ne se
laisse pas embarquer par les mouvements de masse même si il y a une force dans
l’union, dans le fait de porter une intention commune.
Comme
les pensées, les émotions et les intentions c’est de l’énergie et de l’énergie
qui en se rassemblant selon la résonance vibratoire, selon la similitude des
fréquences, créé une masse énergétique où on peut puiser, les choix que nous faisons sont déterminants.
Ces
égrégores peuvent nous donner un semblant de force mais celle-ci se nourrit de
notre souffrance, de notre mal-être, de la division et du conflit interne tant
que nous ne sommes pas conscients de tous ces mécanismes et si nous nous
identifions à la personnalité qui se croit seule et impuissante.