vendredi 28 avril 2017

« Garde confiance en la puissance de l’amour, de l’acceptation, de l'observation neutre »





27 04 Ce matin après 48 heures à maintenir mon désir de paix et d’unité, les douleurs violentes aux reins se sont calmées et l’espérance est à nouveau présente. Ceci dit espérance non pas en un monde meilleur dès demain ou après les élections mais en la possibilité de s’affranchir de toute forme d’attachement excessif, de toute violence envers soi-même et envers toute vie. Ou en d’autres termes, l’espoir en la possibilité de vivre dans la paix, l’harmonie, l’équilibre, la tempérance, à l’intérieur, dans le respect mutuel entre tous les aspects de l’être.
Par nature, le système électoral qui consiste à choisir un camp, fait émerger toutes les luttes humaines, les conflits et les divisions, les peurs. Chacun défend ses intérêts, son clan, sa tribu, sa vision d’un monde idéal, sans se rendre compte que tout ce qui se passe à l’extérieur est le reflet de ce qui se vit en soi. 
Et bien évidemment que c’est à l'intérieur qu’il faut « agir », choisir.

Savoir déjà cela est essentiel parce qu’on aborde les choses avec du recul, on ne se laisse pas embarquer par les mouvements de masse même si il y a une force dans l’union, dans le fait de porter une intention commune.
Comme les pensées, les émotions et les intentions c’est de l’énergie et de l’énergie qui en se rassemblant selon la résonance vibratoire, selon la similitude des fréquences, créé une masse énergétique où on peut puiser, les choix que nous faisons sont déterminants.

Ces égrégores peuvent nous donner un semblant de force mais celle-ci se nourrit de notre souffrance, de notre mal-être, de la division et du conflit interne tant que nous ne sommes pas conscients de tous ces mécanismes et si nous nous identifions à la personnalité qui se croit seule et impuissante.

« Écarter le voile de la souffrance » Message de l'Ami (Jésus) reçu par Agnès Bos-Masseron





Question sur la difficulté à ne pas se sentir pris par la souffrance dans le monde, à mettre son attention seulement sur la lumière. Comment le changement se produit-il ? Y a-t-il séparation du monde de troisième dimension ?
L'Ami répond :
La réponse n'est pas dans l'absolu. Que fait chaque être de ce nouvel âge ? En quoi et avec quelle intensité chaque être crée-t-il par sa vision le nouvel âge ? Il n'y a pas de fragmentation entre la troisième dimension, la quatrième, la cinquième, la sixième, la septième… Les dimensions n'existent pas. L'on ne parle là que d'illusions, de voiles ou de projections.
La dévotion est de maintenir la vision de "seule est la lumière". Cela n'inclut pas la perception de la souffrance. Cela n'exclut pas l'intensité de compassion. 
La dévotion est de rappeler à chaque être la dimension la plus subtile, la plus heureuse, la plus totale. La dévotion est de n'animer que l'harmonie.

La souffrance n'existe pas. Il existe des jugements sur des événements, des enfermements sur des points de vue. L'on peut prendre la même situation, elle peut être vécue avec bonheur infini par une personne, avec malheur infini par un autre être.

La création n'est pas figée. Le regard manifeste la création. La dévotion est de s'abstraire de cette adhérence à l'illusion de la souffrance.