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mardi 19 juillet 2016

« 13 novembre, 14 juillet... » Gregory Mutombo





« Les temps actuels, par leur intensité, nous obligent à réaliser de profondes prises de conscience
La principale doit nous conduire à mesurer notre responsabilité dans le déroulement et le contenu du spectacle du monde
Les temps ne sont plus à commenter avec effroi, stupeur, colère, indignation, résignation ou sentiment d'impuissance ce qui se joue devant nous, comme si cela était séparé ou indépendant de nous, comme complètement coupé de nos scénarios intérieurs
Car, que nous l'assumions ou non, ce qui se joue devant nos yeux est le fruit de nos entrailles
Ce qui se joue devant nos yeux est l'expression manifeste de ce que nous portons et produisons individuellement et collectivement
Ce qui se joue devant nos yeux est la densification terrifiante de toutes les paroles et pensées que nous émettons, si souvent empreintes de dualité, de condamnation, de jugement, de rejet, de peur

Si nous nous croyons étrangers à l'expression du monde, et particulièrement dans ce que nous lui trouvons de plus vil, de plus obscur, de plus violent, de plus cruel, alors nous perpétuons encore et encore l'idée que le problème vient de l'autre et, par conséquent, que la solution arrivera de l'extérieur
 Si nous nous croyons étrangers à l'expression du monde, nous nous privons, de fait, de notre capacité à le faire évoluer par notre implication vibratoire collective

samedi 26 mars 2016

« Le corps physique, outil de connexion, de libération, de guérison, par l’acceptation de ce qui est » & vidéo Grégory Mutombo





Il y a bien longtemps que je n’avais pas été aussi chamboulée physiquement. La fièvre, les éternuements, la sensation de flotter, une nuit réveillée toutes les deux heures et malgré tout, je le vis comme une délivrance. J’ai l’intime conviction que tout ceci est la conséquence d’un changement de vibration, un nettoyage très profond, un ajustement à des fréquences élevées. 
Ça reste de l’ordre de l’impression mais comme je ne suis ni angoissée, ni triste, comme je ne me sens pas malade, comme je ne vois pas cela comme un genre d’échec puisque nos vibrations créent, ça m’apparait comme une chose bénéfique. 
Déjà rien que le fait de ne pas reculer devant des états d’être qu’avant je qualifiais de désagréables ou négatifs, c’est une immense progression qui témoigne que je sors des conditionnements humains. 
L’humain qui associe la santé à la performance, la valeur, qui ne supporte pas de se sentir inférieur, de ne pas contrôler sa vie, ses émotions, ses pensées, surtout s’il se dit spirituel. Tout ça est en train de se dissoudre et c’est très bien. 

Nous sommes l’amour et la lumière, la perfection divine, la création de la source, de l’intelligence vivante, la vie éternelle et ça n’est pas une quête à chercher dans le ciel, encore moins dans les églises mais en nous même. 
Une sensation/évidence à retrouver à l’intérieur, au-delà justement de tous les conditionnements, par la reconnaissance des blessures qui voilent cet amour lumière intérieur, qui nous font croire que nous sommes une victime impuissante.