Il
y a bien longtemps que je n’avais pas été aussi chamboulée physiquement. La
fièvre, les éternuements, la sensation de flotter, une nuit réveillée toutes
les deux heures et malgré tout, je le vis comme une délivrance. J’ai l’intime
conviction que tout ceci est la conséquence d’un changement de vibration, un
nettoyage très profond, un ajustement à des fréquences élevées.
Ça reste de l’ordre
de l’impression mais comme je ne suis ni angoissée, ni triste, comme je ne me
sens pas malade, comme je ne vois pas cela comme un genre d’échec puisque nos
vibrations créent, ça m’apparait comme une chose bénéfique.
Déjà rien que le
fait de ne pas reculer devant des états d’être qu’avant je qualifiais de
désagréables ou négatifs, c’est une immense progression qui témoigne que je sors
des conditionnements humains.
L’humain qui associe la santé à la performance,
la valeur, qui ne supporte pas de se sentir inférieur, de ne pas contrôler sa
vie, ses émotions, ses pensées, surtout s’il se dit spirituel. Tout ça est en
train de se dissoudre et c’est très bien.
Nous sommes l’amour et la lumière, la
perfection divine, la création de la source, de l’intelligence vivante, la vie
éternelle et ça n’est pas une quête à chercher dans le ciel, encore moins dans
les églises mais en nous même.
Une sensation/évidence à retrouver à l’intérieur, au-delà
justement de tous les conditionnements, par la reconnaissance des blessures qui
voilent cet amour lumière intérieur, qui nous font croire que nous sommes une
victime impuissante.
Ces blessures sont des portes qui nous ouvrent le cœur, qui
peuvent laisser notre essence divine émerger à nouveau, elles nous donnent l’occasion
de retrouver l’amour que nous sommes en les éclairant de notre conscience bienveillante.
En reconnaissant qu’elles sont la preuve que nous sommes l’amour que nous
sommes l’innocence, que nous avons un cœur sensible et que nous aspirons à la
paix, l’amour.
Cette innocence, c’est l’enfant que nous avons été et si nous
sommes encore sensibles derrière les carapaces, les comportements que nous
avons adoptés pour nous protéger de l’extérieur d’éventuelles blessures, c’est
parce que c’est notre nature essentielle.
Cette vulnérabilité et les masques
que nous avons adoptés pour protéger l’enfant en nous, c'est l’expression de
notre essence divine qui appelle à être reconnue, éclairée de notre conscience
d’adulte.
En choisissant de porter un regard bienveillant sur l’enfant en nous,
en le laissant exprimer toutes les pensées émotions de peur, de révolte, de
tristesse, nous allons retrouver l’innocence et la capacité d’aimer.
Cet amour
lumière va guérir l’enfant en nous, s’activer à nouveau et se répandre sur tous
nos corps subtils.
Quand nous venons au secours de notre vulnérabilité en
portant un regard bienveillant sur l’enfant innocent, nous laissons la source
père mère sacraliser nos énergies masculine et féminine, nous devenons les
parents bienveillants dont l’enfant intérieur a tellement manqué.
Le manque est
comblé lorsque nous nous autorisons à accepter ces aspects internes fragiles
que la société en quête de performance rejette ou considère comme faibles.
Quand on accueille pleinement l’enfant qui pleure en nous, nous lui offrons la
consolation qu’il a cherché à l’extérieur au travers de personnes dont l’enfant
était aussi en quête de guérison, de réparation. Lorsque deux personnes se
rencontrent et « tombent » amoureuses, ce sont leurs parts en
souffrance, en manque, qui se reconnaissent et qui s’attirent, en espérant être
guéries, comblées.
Une relation de devoir, d’interdépendance va naitre et pour
être sûr de maintenir la relation, toute une stratégie va être déployée. Le mariage
a été institué en ce sens, et les enfants viennent cimenter la relation. On se fait croire que le mariage assure un cadre sécurisant, une structure à l'enfant mais c'est plutôt les parents qui s'enferment mutuellement dans une relation d'interdépendance.
L’enfant
va être le support d’attachement du couple et il va porter un poids sur les
épaules qu’il n’est pas sensé porter.
On
voit comment un couple qui divorce se déchire la garde des enfants qui
vont alors projeter la haine du parent pour le conjoint qui a trahit le couple.
Dès la naissance l’enfant
porte le poids de la responsabilité, il devra satisfaire les attentes de ses
parents tout comme dans le couple chacun devra aussi donner dans l’espoir de
recevoir.
Tout est faussé dès le départ simplement parce que chacun attend que
l’autre comble le manque, le vide, le besoin de réparation.
Tant que les rôles
de victime bourreau et sauveur ne sont par ramenés à l’intérieur, tant qu’on
cherche en l’autre la consolation, l’amour qu’on va donner sera conditionné,
calculé, perçu en terme de mérite et de récompense.
Pourtant
chacun est capable de prendre en charge ses propres blessures. Nous sommes
dotés de tout ce qui est nécessaire pour que la guérison se réalise, nous
sommes le père, la mère et l’enfant.
En activant la triple flamme, en unifiant
ses énergies de la source père mère avec celles de l’enfant, par la conscience
bienveillante vis-à-vis de notre vulnérabilité, de nos pensées émotions douloureuses,
nous restaurons l’ordre, la famille intérieure et devenons entier, autonome
affectivement, capable d’aimer sans attentes.
Chacun
peut en faire l’expérience mais très souvent nous avons pris l’habitude de
refouler les peurs, les pensées dites négatives, nous avons peur de sentir et d’être
submergé par ces émotions.
Cependant, si face à la peur on se contente de l’observer
sans la juger, on va sentir et voir qu’elle se transforme.
En commençant par
reconnaitre que nous fuyons face à nos pensées émotions négatives, en acceptant
simplement de reconnaitre que nous avons
peur de la peur, que nous avons élaboré des stratégies de fuite, déjà, on
devient plus lucide et on peut se dissocier de ses conditionnements. Le seul
fait de ne pas résister à ce qui est, créé une sorte de détente qui va permettre
d’être en confiance.
Le
gros rhume que j’ai en ce moment me montre à quel point j’ai toujours fait en
sorte de contrôler mon corps physique, comment j’ai toujours été dure avec
moi-même et nié les besoins, rejeté les faiblesses du corps physique. Et déjà,
le fait de reconnaitre cela sans me juger, sans me reprocher cette dureté et ce
besoin de contrôle, je n’ajoute pas de culpabilité.
Je reste solidaire
intérieurement sans m’identifier à la maladie ou au besoin de contrôle, je me
contente de constater tout cela, tous ces mécanismes de refoulement, de déni,
de rejet.
Accepter ce qui est dans l’instant, tant l’état fébrile que les
pensées qui rejette l’idée d’être malade, affaibli, maintient la paix en moi,
ne créé pas de division.
Je n’ai aucune idée si ça va durer, comment ça va
évoluer mais j’ai la conviction que le fait de ne pas lutter intérieurement est
le bon choix.
On se fait tout un cinéma au sujet de l’amour qu’on imagine comme
un film hollywoodien où tout est rose mais l’amour c’est tout simplement l’accueil,
l’acceptation, l’ouverture, le non jugement, le fait de ne pas lutter contre
soi-même ou contre les autres.
Comme le disait Jérôme Matanael dans une de ces
vidéos, l’amour inconditionnel que nous portons en nous et qui se révèle dans
notre comportement vis-à-vis d’un enfant, c’est celui la même qu’il nous faut
avoir pour nous-même.
Il ne s’agit pas de jouer l’enfant avec les autres, de
décharger sa responsabilité sur une personne qu’on verrait comme un sauveur, un
père, une mère, mais de permettre à la source en nous d’agir.
D’être son propre sauveur en
appliquant cet amour sans conditions pour nos aspects non éclairés, et lorsque
la lumière éclaire l’ombre, celle-ci est absorbée, on comprend que c’était un
effet d’optique, une croyance.
A l’instant,
après une série d’éternuement, une toux douloureuse, la colère s’est exprimée
et l’idée que je ne sais pas si je serais capable d’endurer cet état est
apparue mais je n’ai rien réfréné ni jugé.
C’est ça qui est difficile, déjà de
s’autoriser à exprimer tout ce qu’on pense dans l’instant puis de ressentir ce
qui se manifeste.
Mais une fois que c’est dit, comme c’est extériorisé, ça ne
peux plus avoir d’impact en soi. Le truc c’est de ne pas croire, de ne pas s’attacher
à ses pensées, de se dire que c’est normal, humain, d’avoir ce genre de
réaction d’autant plus quand on sait qu’on a toujours fonctionné dans la
contrainte, la dissimulation, la lutte et le contrôle.
Et
quand on apprend à faire la paix avec soi-même, avec ses mondes intérieurs, on
ne cherche plus au dehors, un responsable, un sauveur ou un coupable. On
comprend que chacun fait de son mieux, agit selon ses croyances, et plus on a
de la compassion, de la compréhension vis-à-vis de soi, moins on accuse les
autres.
Cette
tendance à désigner les autres comme responsable de notre état d’être se répand
à mesure que nous avons accès aux infos, que nous pouvons savoir ce qui se
passe aux quatre coins du monde. Et comme toutes ces infos mettent le doigt sur
ce qui est extrême, sur les pires choses qu’un humain puisse faire, ça maintient tout le monde hors
de lui-même et on se satisfait d’être moins pire, moins pauvre, plus libre,
plus aisé, confortable.
Tant qu’on ne sort pas du jugement, de la comparaison,
on reste enfermé dans les jeux de rôle, identifié aux apparences, en conflit
avec nous-même et par extension avec les autres, on se place et se situe par
rapport aux autres, en mieux ou en pire, en ‘nous’ contre ‘eux’.
A
moins de revenir en soi, de recontacter notre être véritable, de retrouver l’innocence,
la pureté, la spontanéité de l’enfant, on s’enferme dans un rôle, on est dans
le déni, le mensonge et la souffrance. On comprime, on enferme la vie en
essayant de contrôler son expression et de ce fait on nourrit la division, la
séparation et le conflit.
Et ce qui est en nous se reflète à l’extérieur afin
justement que nous puissions revenir au cœur de ce que nous sommes. Tout la
violence, les injustices, les manipulations sont l’expression de ce que nous
vivons en nous-même.
La
fièvre trouble un peu mes pensées et j’ai prévu d’aller faire des courses mais
je ne sais pas si je vais en être capable. La période de Pâques est assez lourde
à vivre parce que nous sommes dans les énergies du sauveur extérieur, celle des
attentes, des croyances illusoires, des rituels, des sacrifices et cet agneau
qu’on tue au nom des religions c’est le symbole du sacrifice de l’enfant en
soi, de l’innocence qu’on assassine. Cet enfant qu’on cache, qu’on rejette,
juste pour donner au monde l’impression qu’on est fort, adulte, sage même, cet
aspect interne, c’est la vie même.
Quand on embrasse cet enfant intérieur, on perd le besoin de prouver aux autres notre valeur, on devient de plus en plus transparent, on ne craint plus d'être authentique, sincère, transparent. Je crois que c'est ce qui me touche le plus dans le message de Simon Leclerc que je viens de trouver à l'instant dans ma boîte mail.
Pour la majorité de gens et encore plus ceux qui croient au pouvoir de la pensée, la loi d'attraction, la conscience que nous sommes cocréateurs, affirmer sa foi en cela exige de montrer, de démontrer ce pouvoir créateur.
Tout un comportement est mis en place afin de mettre en avant la réussite, la force, la puissance de ce que nous sommes, la lumière qu'on voit comme une force capable de réduire à néant les "méchants", les forces de l'ombre, mais si on regarde simplement l'effet de la lumière sur l'ombre, déjà, c'est elle qui la créé en rencontrant un objet dense, puis quand elle se pose dessus, elle l'absorbe en silence, sans détruire, sans éclats.
La force de l'amour c'est sa capacité à englober tout ce qui est, à relier, à agir dans la douceur, la transparence, sans s'imposer.
La lumière est vérité, clarté et donc honnêteté, sincérité, elle montre tout ce qui est sans juger, sans tricher.
Pouvoir reconnaitre ses faiblesses et oser les dire sans complexe, c'est à mon sens ce qui peut aider chacun à trouver sa propre lumière. Reconnaitre qu'on a compris de travers et ne pas se sentir minable pour ça, c'est le signe d'une grande maturité parce que la puissance divine passe au travers d'un cœur humble.
Et c'est ce que peut apporter l'enfant en soi lorsqu'il est accueilli en soi sans jugement, il est le pont entre l'humain et le divin et aussi entre les humains, tout comme l'âme.
J’ai
écouté avec grand intérêt la conférence de Gregory Mutombo à propos du corps
physique, du fait que nous sommes notre propre médecin et que les émotions se
présentent à nous afin d’être reconnues et libérées.
Il fait le parallèle entre
le patient qui va chez le médecin et ces pensés émotions refoulées qui frappent à
la porte de notre conscience afin d’être vue, entendue, acceptée, pleinement ressenties
dans l’instant.
Notre conscience divine, c’est le médecin qui a le pouvoir d’accueillir,
de guérir les blessures de l’âme, les blessures de l’enfant, d’entendre dans la
bienveillance, le non jugement, ce que l’enfant exprime en vérité.
Je
remets le lien qui permet d’accéder aux vidéos du "Sommet de la conscience"
Inscription
ici : http://sommetdelaconscience.com
Bien que la sienne ne soit plus accessible gratuitement, j'ai trouvé une interview où il explique la même chose.
A partir de 18 minutes, il explique comment agir pratiquement, bien que l'acceptation soit par définition l'arrêt de la lutte, de vouloir changer les choses:
« C'est quoi le bonheur pour vous Grégory
Mutombo ? »
Un
autre intervenant m’a interpellé dans son approche qu’il appelle constellations
familiales et ça ressemble beaucoup à ce que je vis et fait vis-à-vis des
aspects intérieurs. J’ai toujours senti que la clef de guérison c’est justement
le contact et l’unification de tous les aspects de l’être, le fait que nous soyons
complets intérieurement et donc auto-suffisants. Si je met en évidence le fait que j'aie été inspirée à agir comme d'autre qui en ont élaboré des techniques issues souvent de savoirs ancestraux, ça n'est pas pour me la péter mais pour montrer que chacun peut être inspiré, guidé pour trouver les moyens de guérir les blessures.
Comme je l'ai toujours dit, la source qui est omnisciente, omniprésente et omnipotente étant en chacun de nous et nous ayant créés à son image, nous a donné les moyens de savoir par nous-même, de devenir autonome en étant juste connecté, relié et conscient de ce que nous sommes. Et nos outils de guérison, ce sont notre propre corps, notre propre conscience, l'amour et la lumière que nous sommes en essence.
C'est à mon sens là où se situe la justice de dieu, par le fait que chacun et tous, nous puissions accéder à la vérité de l'être, de l'intérieur.
Il est clair que c’est dans l’échange
qu’on s’épanouit, qu’on grandit mais tant que nous ne sommes pas en mesure de
rassembler, d’unifier tous les aspects internes, on ira vers l’autre rempli d’attentes,
d’espérance et notre comportement sera faussé par cela.
On veut être aimé,
reconnu, accepté mais on n’est pas capable de s’accueillir en totalité, on
passe son temps à se renier, à se juger, à s’invalider et on espère recevoir en
retour ce dont on pense manquer. Il y a quelque chose d’illogique dans ce
raisonnement parce qu’on attire ce qu’on vibre le plus intensément et si la
vibration dominante est celle du manque, du rejet ou de la peur, on sera face à
cela.
Tant que nous rejetons l’enfant en nous, nous renions notre vérité
humaine et en même temps divine. Les pensées émotions qui sont contenues enfermées
prennent de plus en plus d’ampleur jusqu’à exploser et se manifester dans la
matière sous la forme d’un kamikaze qui se fait péter dans une gare. C’est très
symbolique et le choix de la gare n’est pas dû au hasard puisqu’elle symbolise
tant le départ que la fuite, le voyage, le transit et l’attente.
Selon notre positionnement, notre vision, nous pouvons interpréter les choses de façon totalement inverse et si nous percevons depuis le cœur/conscience, nous aurons une vision qui rejoint celle des gens en résonance avec notre pensée/ressenti. Il apparait que depuis le cœur/conscience, nous percevons tous les choses de la même façon parce que cette perspective est celle de l'âme, de la conscience Une.
Nous
fuyons sans arrêt notre responsabilité, notre pouvoir et courrons après des
fantasmes, des illusions à propos de l’amour, du divin. Nous avons idéalisé ce
qui en nous est naturel, inné mais qui est tellement recouvert de voiles qu’on
ne sait plus qui on est, on n'arrive plus à reconnaitre que ce que nous cherchons à l'extérieur est et à toujours été en nous. Enfant nous le savions mais nous ne pouvions pas le définir, c'était juste naturel d'aimer, d'être en harmonie et en paix.
On se fait des idées sur ce qui est, sans oser en faire
l’expérience en vérité.
On préfère projeter plutôt que d’être présent à soi
parce que ça nous fait peur.
On a peur de contacter nos douleurs, peur de voir nos
aspects fragiles et de découvrir que nous ne sommes pas ce que nous avions
imaginé.
On préfère penser que dieu est loin de nous, qu’il est intouchable
plutôt que de le chercher en nous parce que ça demande de passer par la vérité
de l’humain, par les sensations qu’on trouve désagréables et elles le sont tant
qu’on y résiste.
Pourtant, quand on regarde la peur en face, elle perd son
intensité et très souvent on verra qu’elle n’est qu’une pensée, une idée, une
projection, une croyance et pas la réalité.
Il y a les peurs instinctives qui
nous préservent d’un danger immédiat mais la plupart ne sont fondées que sur
des croyances, des superstitions, des suppositions, des interprétations.
Tant
qu’on ne fait pas l’expérience directe de quelque chose, on serra dans l’imaginaire,
le fantasme, l’illusion, la projection, le mirage et la vie nous resservira la même situation afin que
nous puissions voir en nous-même. Voir ce qui est éveillé par les circonstances
extérieures, voir quelle blessure a été activée.
Je tiens à remercier au passage, la Vie, qui au travers de tous ces hommes que je rencontre virtuellement et qui par leur clarté, leur sincérité, leur capacité à être vrai, m'aident à me réconcilier avec le masculin, à ne plus chercher à rejeter cet aspect interne mais au contraire à le laisser émerger en conscience, dans la connexion à la source, le désir ardent d'être dans l'unité intérieure, par l'acceptation de "mes faiblesses".
Des hommes qui osent parler de la vulnérabilité, des émotions, qui perçoivent le corps comme un temple et non comme un objet, au-delà du genre, de l'aspect physique, du désir qu'il peut susciter, de toutes les illusions et de la vérité du divin qui s'aborde dans l'humilité, la reconnaissance et l'acceptation de sa "fragilité".
C'est en embrassant cette vulnérabilité que la force véritable se déploie.
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l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog :
« Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr