Ce
matin, la journée commence dans l’énervement malgré une bonne nuit de sommeil.
J’ai voulu installer skype et comme ça se compliquait, le stress s’est installé.
J’ai fait la méditation du jour de Deepak Chopra et bien que je sente encore
des tensions à l’intérieur, le mental est apaisé.
C'est clair que le personnage soumis à la peur se manifeste en ce moment et le seul fait de le reconnaitre en défait l'intensité. Savoir revenir au centre, au calme, à la détente générale, restaure l'unité intérieure et ramène à l'essence de l'être. Il suffit de peu pour en perdre conscience et de la même façon il suffit de quelques respirations profondes pour retrouver cette vibration, cette conscience d’Être.
Je repense à ce que j’ai
écris hier au sujet des croyances et au fait que l’humanité ait progressé par
le contact avec la source, la lumière, l’amour, en choisissant la paix plutôt
que la réaction primaire. Chaque individu qui s’est libéré des masques, des
conventions, des croyances et superstitions religieuses, a participé à l’éveil
des consciences, de la conscience collective, de façon directe et c'est encore le cas aujourd'hui.
On parle du
siècle des lumières parce qu’il correspond à une période où l’accès aux
connaissances n’était plus réservé à une élite, aux nobles et aux bourgeois. Même
si ces connaissances étaient et restent limitées à l’aspect humain de l’être,
le fait de pouvoir apprendre à lire, écrire et compter, a permis au plus grand
nombre de devenir plus autonome. Les érudits tout comme les initiés ont
empruntés des chemins isolés, ont voyagé, rencontré différentes cultures, afin d’élargir
leur vision et leur compréhension de l’humain. L’accès à Internet aujourd'hui, produit le même effet d'ouverture des consciences et en même temps pose la question du discernement.
Les églises ont causé beaucoup
de tort aux humains en instituant des croyances, des superstitions et la
crainte d’un dieu éloigné des hommes. Mais d’un autre côté l’ignorance de l’humain
au sujet de sa vraie nature et la vision d’un dieu autoritaire ont créé ces
chefs, ces hiérarchies, ce système patriarcal.