mercredi 15 juillet 2015

« Vibra-conférence du 13 juillet et soins les 17 et 18 juillet » par Lulumineuse






Et bien, la fête entre voisins a été agréable et j’ai su doser l’alcool en écoutant mon corps. Un repas le midi, exposé au soleil au travers des parasols, ça peut faire des dégâts. Quelques femmes de la tablée sont allées se baigner les pieds dans la rivière mais j’ai préféré rentrer au frais m’allonger, comme d’habitude. 
Malgré la musique, je n'ai pas dansé pour éviter de souffrir. 

On fait les choses la plupart du temps pour plaire, pour séduire, pour se mettre en valeur mais rarement pour le bien-être physique; Les chaussures à talons, ou très serrées, les jean's qui s'incrustent dans la peau, les produits pour les cheveux, les cosmétiques...ne font que nourrir le doute de soi et éloignent de l'être véritable, nient les besoins essentiels du corps physique. 
Si c'est fait dans une énergie positive, si on se maquille avec joie, sans culpabiliser, les produits n'auront pas de conséquences néfastes mais si c'est fait dans la peur de ne pas être vue, aimée, ça change les choses. 
Pareil pour l'usage d'alcool ou de drogues récréatives, si on les prend pour cacher la misère intérieure, les souffrances, la tristesse, le déni de soi...leur impact sera douloureux et laissera des traces sur le corps physique. 

Mais si c'est fait pour nourrir l'envie de vivre, en sachant que ça n'est pas la panacée, pour se désinhiber en faisant un travail émotionnel en parallèle ou tout simplement sans peur ni culpabilité, les effets néfastes seront moindres. 
Encore plus si on parle à son corps physique en lui expliquant notre point de vue sincère, nos limites et nos faiblesses qu'on accepte d'offrir à la source. 
On peut lui demander son aide et surtout prendre conscience qu'il nous parle au travers de signes, symptômes, malaises et qu'il a donc une conscience, une intelligence.